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L'étranger
| | Envoyé jeudi 20 mars 2003 - 12h03: | |
Coquillage
Et les yeux et la voix ont tracé des limites
J'ai perdu les chansons de mon premier amour
Des taches de couleurs invitant la jeunesse
Seulement souviens-toi de la première neige
Des odeurs de tabac trahissent les attentes
Je n'ai qu'un demi mot un rempart de mémoire
L'orgueil inavouable et tant d'incohérences
A garder la chanson de mes premiers secours
Dehors les rues sont vides, dedans je trouverai
Un signe de brisure entre ma peur et moi
Une femme en amour qui se dénudera
Un frisson de ma terre et je serai nuage
Les secrets sont profonds affrontent le langage
C'est un feu incliné blessant à contre vent
Entre tous les visages je rêve pour mieux dire
L'amour multiplié d'un temps désespéré
Tu laisses des clartés sur la vague en rupture
A la fin du poème, des coquilles d'étoiles
Un éclat résumé sur ma ligne de vie
Une larme de toi et tous les mots me manquent
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caroline
| | Envoyé jeudi 20 mars 2003 - 13h56: | |
je suis sans mots, c'est très réussi parce que j'ai le sentiment que tu me parles et cette manière est très très belle
merci et sois le bienvenu
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Leezie
| | Envoyé jeudi 20 mars 2003 - 17h05: | |
ah HA, un auteur de chansons, des déroulants d'alexandrins, bienvenue à toi, l'étranger!
tiens tu me donnes une idée de thématique, rendez-vous plus bas tout à l'heure... |
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