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Anonyme
| Envoyé mercredi 21 janvier 2004 - 09h43: | |
A la demande d’un nombreux public Attends voire (sic) Ca y’est t’as écris les trois premiers vers de l’épopée de 35000 strophes qui va les éblouir. Ca va fumer, un remake de celle de Gilgamesh façon Chanson de Roland, ou l’odyssée, parce que je le vaut bien… ! Hi, yé ! Ces p. de vers, il leur manque toujours un orteil, un pied, une guibolle ! Là, cool , c’est bon,1,2,3,12 et de… ,la,la, lo=12. Putain, putain, je plane çaaaaaaaaa riiiiiiime !!!!! J’Alexandre !!! Je suis grand, non, je suis géant ! Mais restons modeste comme il nous sied si bien. Bon pas de triomphalisme, je peux p’têtre poster les 3 premiers, en acompte, façon Harpagon, pour les allécher, (les boules qu’ils auront) le reste on verra plus tard, pour l’instant ça s’arrose, 1,2,3 verres. Je poste ?
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Anonyme
| Envoyé mercredi 21 janvier 2004 - 09h58: | |
aller Victor, poste, sois pas timide, la timidité ca donne de l'urticaire, prends ton crayon et une bière chaude, tu verras, tu guériras, tu seras toi, tu seras roi, les filles se jetteront à tes orteils, elles t'enlèveront les minuscules canifs noirs qui trônent sous tes ongles, comme des pharaons, aller vas-y, jette-toi, rien que ton crayon est déjà un poème, avec sa mine mal appointée, et ses craquellures qui courrent dans la peintur de bois, aller vas-y Fausto, vas-y Anquetil. |
   
Anonyme
| Envoyé mercredi 21 janvier 2004 - 13h40: | |
poste :-) t'attend quoi ? |
   
Juliette
| Envoyé mercredi 21 janvier 2004 - 16h52: | |
perso je les préfère froides, les bières ;-) à ta santé ami inconnu. les buveurs sont mes amis ! |
   
Juliette
| Envoyé mercredi 21 janvier 2004 - 16h58: | |
pour trinquer, voici un vieux machin... en un jet en un jet je vide mon rêve à ta santé pur jus de peau à s'enivrer la goutte tombe dans les étoiles le sexe croqué en croissant craque croque grignotte les miettes à vider le désir suce bouffe respire les vies à violer les soupirs ça saigne ça gicle ça tangue j'ai le mal des mots brisée, beuglante, j'avale ma mémoire la mémoire m'engrosse comme une mer vers ma pâle histoire, je débarque et traîne casser le présent, encroûter le corps j'ai mal à la mer mal à la mémoire Juliette |
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