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Leezie
| Envoyé lundi 21 avril 2003 - 02h47: | |
Solsbury Hill Voici je montais sur la colline à Solsbury et dans le vent le temps comme arrêté quelque chose de beau la nuit comme un aigle est venu puis quand je m’approchai cette voix qui vrillait chaque fibre en dedans je n’y croyais pas juste imaginer -et mon cœur qui cognait cognait- elle disait viens ! je suis venu te ramener chez nous … après je n’ai plus jamais parlé on me prenait pour un fou de ceux qui changent l’eau en vin de ceux qu’on chasse je rabâchais dans mon ornière comme poussé dans le décor comme échappé de tous et ce cœur qui cognait cognait « je suis venu te ramener chez nous » roulé dans les filets dans les semblants jamais là où je veux jamais libre et pour toujours observé par ces contours vides aux yeux fermés mais qui observent impitoyables mais je vais leur montrer un autre moi aujourd’hui même je n’ai pas besoin qu’on me remplace je vais leur expliquer tout ce qui est dans mon sourire -et mon coeur qui cogne, cogne- hé, je leur dis vous pouvez garder tout ça moi je retourne chez moi
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Noel chaque jour
| Envoyé mardi 10 février 2004 - 22h39: | |
comme j'ai du en manquer des émotions a ne pas pouvoir traduire toutes ces chansons qui déja , m'en ont tant donné ... merci ... |
Leezie
| Envoyé mardi 10 février 2004 - 23h47: | |
"Par dehors la fenêtre Un nuage illuminé de rouge Au rouge rocher très haut Se dresse l’Ombre avec sa lance C’est ici une terre de force Une puissance sous mes pieds Nourrie de sang Nourrie de chaud (…) D’incertitude au regard du profond La poussière enveloppe En moi est désormais l’esprit Je me soumets à la confiance ..." (the rhythm of the heat )
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