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Anonyme
| Envoyé jeudi 19 janvier 2006 - 19h13: | |
je voudrais savoir lir ma main a mon coeur pour que perlent ces mots interieurs de cettes encre amére à la virginité du papier de mon coeur qui se térre au sentiment de liberté.je voudrais parvenire à dechainer cet esprit qui se crie trop souvent la douleur m'assome et me nuie quand mon être crie l'envie de vivre et renaitre, je voudrais que ma main à mon coeur se lie. |
   
mary
| Envoyé jeudi 19 janvier 2006 - 20h22: | |
Un exercice ! Je suis aussi une étrangère et je pense qu’il faut encourager toutes les tentatives d’écrire dans une langue qui n’est pas la « nôtre » (s’il y a une qui soit) Je trouve cette tentative très intéressante et touchante. Alors vous pouvez nous aider à corriger ce texte. Voici ma proposition maladroite : Je voudrais savoir lier ma main à mon cœur pour que perlent ces mots d’intérieurs de cette encre amère à la virginité de papier de mon coeur qui se tait au sentiment de liberté. je voudrais parvenir à déchaîner cet esprit qui crie trop souvent la douleur m'assomme et me nuit quand mon être crie l'envie de vivre et de renaître, je voudrais que ma main à mon coeur se lie. Et voici un maître qui voudrait aussi : Je voudrais posséder pour dire tes splendeurs, Le plain-chant triomphal des vagues sur les sables, Ou les poumons géants des vents intarissables ; Je voudrais dominer les lourds échos grondeurs, Qui jettent, dans la nuit des paroles étranges, Pour les faire crier et clamer tes louanges ;
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mary
| Envoyé jeudi 19 janvier 2006 - 20h25: | |
OH !j’ai oublié de donner le nom et le titre : Émile VERHAEREN : Cantiques Recueil : Les bords de la route
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Cécile
| Envoyé jeudi 19 janvier 2006 - 23h44: | |
pas évident la traduction ! qui est le maître ? On voit chez le maître, une recherche de la rime, de la technique de la poésie française... Ta proposition est toute autre... Tu as le texte original ? |
   
et comme ça?
| Envoyé vendredi 17 février 2006 - 22h20: | |
je voudrais savoir l'ire ma main a mon coeur (pour) que perlent ces morts interieures de cettes encre amére à la virginité du papier de mon coeur qui se térre au sentiment de liberté je voudrais parvenire à dechainer cet esprit qui se crie trop souvent la douleur m'assome et me nuie quand mon être crie l'envie de vivre et renaitre je voudrais que ma main à mon coeur se lise. |