| Auteur | Message | ||
     un 7 février |
Centenaire de la naissance de Jean Amrouche Le poète Jean el-Mouhouv Amrouche, dit Jean Amrouche, naît le 7 février 1906 à Aghil Ali en Kabylie. Berbère, chrétien, normalien, proche d’André Gide, Jean Amrouche reçut à son micro de la radiodiffusion française les plus grands écrivains de son temps. Egalement porte-parole des intellectuels algériens, il écrivait "Nous voulons la patrie de nos pères, la langue de nos pères, la mélodie de nos songes et de nos chants sur nos berceaux et sur nos tombes". Jean Amrouche meurt à Paris en avril 1962. sources : Célébrations nationales 2006 (min. Culture), Ephémérides RFI http://www.kabyle.com/article.php?id_article=10296 ali | ||
| sandrine |
Il a vraiment l'air tèrs intéressant cet auteur ! Je te remercie de me permettre de le découvrir. | ||
| sandrine |
très :-) | ||
| ali |
Le centenaire de Jean El Mouhouv Amrouche commémoré en son village natal IGHIL ALI dans le département de Bgayet. http://www.kabyle.com/article.php?id_article=10369 Pour une sortie médiatique, c’en est vraiment une ! La nouvelle équipe qui compose l’association culturelle Taous et Jean Amrouche a organisé 3 journées pour le centenaire de sa naissance. Des invités, beaucoup d’invités, venus de tous les coins de la Kabylie ont afflué tot le matin de ce mercredi 15 février 2006, vers le lieu de pélérinage. Ighil Ali, cette petite bourgade a vu naitre et vivre les Taos Amrouche, et ses frères. Abdenour Abdeslam a autour du tème brossé un tableau sur ce que fut Jean El mouhouv Amrouche. Aammi Yahia a quant à lui effectué un témoignage sur les déboirs d’un militant qu’il fut le jour où il a eu "l’audace" de défier le FLN de 1965 en baptisant l’école du village du nom de JEAN AMROUCHE. Deux expositions ont orné le vastes salle du local de l’association qui -faut-il le rappeler- a été construit avec le seul argent des villagois. Un galas artistique a cloturé cette première journée, qui a l’heure où nous écrivons ces lignes continue de remplir de joie des dizaines, -que dis-je- des centaines de jeunes. Ighil Ali chante Jean Amrouche. Taous peut dormir tranquille. Nous reviendrons sur ces journées qui iront jusqu’au 17 du mois courant. Demain, à 14 heures, il est prévu un plateau qui regroupera M. BOUAMARA Kamal du département Amazigh de l’université de Bgayet ainsi que de Abdelkrim Djaad journliste et écrivain issu lui aussi d’Ighil Ali. | ||
| ayt slimane |
"Jean El-Mouhoub Amrouche - Mythe et réalité" le 1/03/06 à l’ACB.paris Mercredi 1er mars à 19 h à l’ACB L’ACB Ouvre les Guillemets à Réjane Le Baut pour : " Jean El-Mouhoub Amrouche - Mythe et réalité " (2005 - Editions du Tell) Réjane Le Baut retrace avec clarté et sans rien omettre, le parcours aux multiples voies de Jean Amrouche. Elle lève ainsi le voile - ici en Algérie - sur " cet inconnu " comme le désignait Kateb Yacine. Soirée animée par Arezki Metref 37 bis, rue des Maronites - 75020 Paris Métro : Ménimontant | ||
| C’est grâce à Jean Amrouche |
C’est grâce à Jean Amrouche que Ighil-Ali jouit d’une réputation nationale. Sans lui, et accessoirement, sa mère Fadhma Aït Mançour et sa soeur Marguerite Taous, Ighil Ali aurait été un village anonyme de la Basse Kabylie, comme le sont tant d’autres alentour... ...Enfant d’une histoire contrariée. Enfant de destins tragiques et singuliers. Celui notamment de Fadhma Aït Mançour, sa mère, fille naturelle, et de sa grand-mère maternelle. Celui aussi de son père Belkacem. Que n’a-t-il pas fallu de courage et de conviction pour s’excommunier de sa fratrie et devenir, avec une certaine insolence, chrétien ! Que d’insultes, de quolibets, de haine n’a-t-il subis, surtout dans sa propre famille. http://www.kabyle.com/article.php?id_article=10444 |