Clara Sermier chante Rimbaud (Paris)... Log Out | Thèmes | Recherche
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Cécile
Envoyé mercredi 01 février 2006 - 21h09:   

La compagnie Melusine et 3 clés music

Présentent



Clara Sermier

Chante

Arthur Rimbaud


17 poèmes en chansons pour traverser l’univers fulgurant d’Arthur Rimbaud


musique de léo férré, Jannick Top, Sylvain Griotto, Claude Salmiéri, mise en scène de catherine Pierre




Rimbaud a cette sauvagerie qui cherche sans fin « la vérité vraie », le « pur amour ».C’est la nature profonde de son acte poétique et sa volonté farouche à vouloir qualifier l’inqualifiable qui me porte. Chanter Arthur Rimbaud c’est aussi le plaisir sensuel d’entrer dans sa débauche de mots ; j’aime les nombreuses facettes de Rimbaud : son humour sombre, sa fulgurance, sa sauvagerie, ses ricanements, sa sensualité et aussi sa qualité de silence. Arthur Rimbaud foudroie, littéralement il fout droit. » Clara Sermier






au Théâtre du Renard 21 février au 11 mars 2006

du mardi au samedi 21h

12 rue du Renard 75004 PARIS- 01 48 65 97 90 métro Hôtel de ville / rambuteau


Ce que la presse commence à en dire…

« Il fallait du culot: Rimbaud dit et chanté par une femme ! Du culot, Clara Sermier en a, et à revendre. Elle s’est lancée à corps perdu dans l’aventure, ne laissant rien au hasard, surtout pas le choix de ses compositeurs, de ses musiciens ni de leurs musiques. Il fallait faire un choix de poèmes, elle en a voulu dix-sept, parmi ceux que nous avons découverts et aimés au collège, qui nous ont réconciliés avec l’adolescence, et que nous relisons depuis. La voilà, dans une robe brillante et qui lui ressemble, ardente, belle, blonde et pieds nus. Ca démarre. Sylvain Griotto, au piano, a presque tout composé et arrangé, Christophe Panzani est au saxophone et Guillaume Grosbard au violoncelle. Ils sont excellents, leur musique débridée est chatoyante. Le tour de chant déferle le long de la débauche de mots rimbaldienne que Clara aime, la musique prend le pas sur le langage et le poète semble parfois un joli prétexte à ce qui se passe sur scène, mais on est heureux. » Marie Ordinis / Monde et Vie


« Clara Sermier nous promène une petite heure et demi chez le thaumaturge des mots, aidée en cela par un pianiste compositeur créateur de musique à vertiges, un violoncelliste oscillant entre les clones rapetissés de Rostropovitch et Nigel Kennedy réunis dans sa frimousse, et un saxophoniste qui nous décline ses instruments « from soprano to bass » en passant par le ténor dans des envolées non seulement « dé-anchantes » en diable (on virevolte aux frontières du monde étrange des acouphènes), mais encore enchantantes pour nos tympans si mis à contribution dans cette salle Une cure fugace de poésie avec ce quatuor et participer ainsi à la reconstruction du puzzle qu’ils nous proposent : la musique sur les mots ou tout simplement l’inverse » Dionxu / billet réduc


Clara Sermier chante Arthur Rimbaud
Il fallait oser, après l¹envoûtant Léo Ferré, donner à entendre une nouvelle fois ces textes mythiques d¹Arthur Rimbaud. Clara Sermier réussit cette belle performance. Elle s¹impose discrètement au fur et à mesure de son récital. Sa personnalité semble surgir lentement du fond de l¹âme des instruments qui l¹accompagnent : un piano, un saxo et un violoncelle. Les musiciens - Sylvain Griotto, Christophe Panzani, Guillaume Grosbard et Jean-Philippe Audin - sont un peu plus que des accompagnateurs. Leurs interventions, doucement alertes, offrent un fond de scène dont l¹ambiance souligne la présence en premier plan de la chanteuse. Elle-même se laisse emporter par la musique des belles lettres de Rimbaud, tourbillons de griseries verbales et sonores. L¹ensemble est syncopé par la chanteuse qui occupe le plateau avec une densité sympathique et communicative. On prend ainsi plaisir à s¹abandonner à un petit voyage à travers les pans vaporeux de notre nostalgique mémoire. Certains détournements musicaux plutôt saugrenus et quelques fantaisies contemporaines nous font apparaître sous un nouveau jour des poèmes qui nous étaient trop familiers. C¹est le cas pour la version « jazzy » de Ma bohème ou l¹accompagnement décalé du Dormeur du Val. Ainsi peut-on véritablement redécouvrir Arthur Rimbaud, grâce à l¹énergie et le charme de cette sympathique formation. On vit un bon moment, en toute simplicité.


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