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yh
Envoyé jeudi 30 décembre 2004 - 11h47:   

Information sur Brèves, revue de référence de la Nouvelle.
*
VIENT DE PARAÎTRE



BRÈVES N° 73

(actualité de la nouvelle)

144 pages – format 12 x 22

« Duos et autres couples improbables »

Duos d’enfer ou pas, les couples, ça ne va jamais ! Pas vraiment bien, jamais vraiment mal. Électriques ou pas assez quand le fil n’est pas rompu par un événement imprévu. Parfois, c’est le duo que l’on forme avec son double, avec l’image de soi-même que vous renvoie la rumeur. Ou encore duos que l’on forme avec son destin, avec sa compagne, ou même avec Dieu. Les écrivains n’ont pas fini de s’interroger sur ces attelages ordinaires que les passions poussent dans des voies si souvent contraires.
C’est dans ce registre que dix nouvellistes nous livrent leurs histoires, dramatiques ou drôles, fantastiques ou mélancoliques. Et tous y mettent un brin d’ironie. Sans quoi, que vaudrait la littérature ?

Nouvelles inédites de
Silvia Larrañaga, Isabelle Minière, Bernard Gallois, Jean-François Bianco , Solander, Michelle Labbé, Philippe d’Amato, Guy Chaty, Henri Alloy, Alexandre Mercereau

Entretien
Eugène Durif par Boris Beyssi : «De plus en plus de gens deviennent gauchers »

Pas de roman, bonne nouvelle !
Wallace Stegner, Soledad Puertolas, Kressmann Taylor, Frédérique Martin, Graham Parker, Zhu Wenyin, William Saroyan, Hervé Laroche, Léo Lamarche, Liao Zixin

Les “petites brèves”, actualité littéraire

Invité du numéro : Elbio Mazet

Visitez notre site : http://www.atelierdugue.com
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pHilippe
Envoyé vendredi 31 décembre 2004 - 19h33:   

la référence ?
comme s'il y avait des références en littérature ou des rêgles !


Philippe
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PhiliPPe
Envoyé vendredi 31 décembre 2004 - 19h40:   

Il y a " nouvelle donne " également et " l'encrier renversé". Une chose est certaine, il y a moins de revues de nouvelles que des revues de poésies et peut-être moins d'auteurs de nouvelles que de poètes !
Les nouvelles, c'est des petits romans, je crois, non ?

Sur ce, je souhaite une bonne année au monde de la francophonie.
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yv
Envoyé samedi 01 janvier 2005 - 00h14:   

Tu as raison, Philippe pour mon mot de référence qui peut être pris tout de travers. Je voulais dire par référence revue qui ne publie et n'a d'intérêt éditorial que pour le genre nouvelle. Pas mal de revues publient aussi des nouvelles mais ce ne sont pas des revues dédiées à la nouvelle mais des revues de littérature générale.. Par exemple la revue d' Anvers Archipel. Dans certains pays les auteurs majeurs ont été ou sont des auteurs de nouvelles comme Tchékhov et tant d'autres grands écrivains slaves japonais ou américains actuels. En France, il s'écrit aussi beaucoup de nouvelles mais il s'en publie peu, c'est un lot commun avec la poésie. Cependant, la nouvelle est en train de regagner chez nous du terrain pour quantité de raisons littéraires et sociales.
La nouvelle n'a rien à voir avec le roman. C'est un genre particulier qui répond à une écriture assez bien déterminée et choisit des sujets qui ne pourraient être exploités dans un roman. Un nouvelliste comme Maupassant est un des écrivains français les plus connus et traduits à l'étranger. Pour mon compte j'écris assez volontiers des nouvelles. C'est un genre qui me plaît par sa difficulté et ses possibilités d'entraîner rapidement le lecteur vers son propre imaginaire. Dans un roman on doit s'efforcer de tout dire. Dans la nouvelle, si tout est dit elle est ratée.
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PhiliPPe
Envoyé mardi 04 janvier 2005 - 19h34:   

Alors, elle est réussit cette nouvelle ?
car je l'ai envoyé à la revue brève il y a quelques mois.
Ceci dit, j'ai pas envoyé l'enveloppe libellée à 0,58 euros pour le retour.
Ne serait-il pas temps d'accepter enfin de recevoir des textes par courriel ?

Philippe



Le café du bord de Seine.

Un jour, dans la périphérie ouest de Paris, j’entre dans ce vieux café situé entre le pont de Bezons et l’île des impressionnistes.
Sa situation au bord de ce fleuve, et, en bas du village de Carrière-sur Seine creusé dans la roche en fait, un emplacement unique.
Mado, la propriétaire du lieu tient les rênes depuis cinquante ans, c’est une figure locale par son caractère à tirer les couteaux ; sa réputation a rejoint les alentours.
Mado raconte à ses habitués qu’elle peut écrire, une histoire pour chacun.
Sur le rivage de ce fleuve, où les sacs en plastiques sont accrochés aux branches se trouve un terrain réservé aux joueurs de boules.
Les boulistes viennent se désaltérer depuis que le café est ouvert afin d’y compter les points. Il semble leur appartenir ; ils constituent la principale clientèle du troquet.
Je suis entré pour parler, pour passer le temps et le rendre probablement, plus intéressant.
Le fils de Mado travaille seul depuis l’handicap de sa mère.
Elle a glissé en lavant le carrelage. Sous le poids de son corps, les vieux os ont cédé en mil morceaux. Le résultat c’est fini dans une chaise roulante sans qu’elle puisse se mouvoir seule, elle, dont le tempérament était si remuant.
Cet accident la rend nerveuse: elle ne l’a pas l’accepter.
Le café est rudimentaire, ouvert jusqu’à tard le soir et d’une hygiène douteuse, aussi, j’y consomme des bières en bouteilles. Le fils de Mado est un soixante-huitard d’allure, qui porte un grand pull très large, à la manière du mouvement hippie, mais quand j’ai discuté avec lui, il n’en a que l’apparence. Sa théorie de la société ne coïncide pas avec les témoignages de mouvement qui a sa source, dans la philosophie Hindou.
Le fils de Mado est un amateur de bons vins rouges, au comptoir, les rares maraîchers encore présents dans la ville lui apportent les légumes du champ, alors que des bateaux à moteur passent lentement, à la ligne de point de fuite du regard.

D’ici jusqu’à Croissy-Sur-Seine, cette portion du fleuve a servi la tradition folklorique régionale des premiers bateaux où les navigateurs se faisaient tomber dans l’eau, à l’aide de gaules. Les dimanches sont aux scènes champêtres de la frivolité d’Auguste Renoir. Plus loin il y a eu le bal de la Grenouillère où la bonne société du temps se faisait luxe d’y venir, afin de côtoyer les gens du faubourg : Napoléon 3 n’y avait pas échappé.

C’est à l’occasion du premier tour des élections présidentielles de mai 2002 ; il y a chez moi, une disposition à la provocation verbale, c’est en général sans réponse, et je n’obtiens que des silences.

- Jean-Marie, Jean-Marie crie un habitué, c’est Jean-Marie qu’il nous faut !
Je lui fis savoir ce que je pense. Dans son regard, ce consommateur croit simplement que son désespoir peut se transformer en espoir.
Ce client non-bouliste est drôle. Parfois, il s’habille en cow-boy, parfois, il vient dans des tenues extravagantes avec son moyen de locomotion : un vieux vélo des années quarante, qu’il a arrangé à sa façon.
- Jean-Marie, Jean-Marie, c’est Jean-Marie qu’il nous faut !

C’est ici alors, des va et viens de retraités. Un d’entre eux, est une femme sur le retour qui s’habille en jeune. Immédiatement, le troisième âge tourne autour. C’est charmant : ils portent des maillots et des shorts blancs.

- Hep, patron, une autre bière !
- Température ambiante ou fraîche ?
- Fraîche, merci.

Être assis dans la salle, à côté des joueurs de belotes ne réjouit guère Mado. Son fils n’est pas enchanté de travailler, il rend service uniquement à sa mère.
Des désespérés du chômage boivent quelques kirs au vin rouge, en expliquant leurs malheurs.
Mado ces derniers temps a investi dans une terrasse couverte.
Derrière, il y a les bouteilles vides pour la consigne, et un peu plus loin, les W-C à la Turque ; c’est vieux et d’une autre époque.
Ainsi passait le temps au café des marronniers. Je me rappelle avoir discuté, de littérature.
Plus tard, je suis revenu, mais j’ai trouvé la porte fermée, sur celle-ci était inscrit : Fermeture définitive pour cause de décès.
Trois mois plus tard, tout avait changé. Le bistrot était rénové et portait une autre enseigne et je ne sais pas pourquoi mais je n’ai jamais voulu boire à nouveau une bière en bouteille.

Philippe
http://www.philippebray.net
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yv
Envoyé mardi 04 janvier 2005 - 23h17:   

Ton mot m'inspire ce genre de réflexion, qui n'est pas parole d'Evangile !
J'ai rencontré les époux Delort une seule fois, quand j'étais dans leur coin: un minuscule village. Ils font partie de ceux qui ont accepté la pauvreté pour satisfaire leur passion et sont d'une très grande exigeance sur les oeuvres qu'ils publient, ce qui leur donne leur position internationale. Ils s'en sortent en faisant eux mêmes une grande partie des travaux d'édition,et avec quelques aides de l'état et de la région. Celle ci a remis en question toutes les aides culturelles qu'il ne contrôlait pas politiquement. (Le président de région est un dictateur un peu mégalo)
C'est dire que l'abonné est pour eux le salut et que fournir un timbre pour toutes les réponses une charge étant donné le nombre de lettres et de manuscrit qu'ils reçoivent. Comme ils n'ont pas de comité de lecture, leur réponse se fait souvent attendre plusieurs mois. Ce fut mon cas.
Sur le plan de ton texte, à mon avis, ce n'est pas une nouvelle mais plutôt un récit, genre sensiblement différent. Le genre de la nouvelle a quelques rêgles et surtout un ton difficile à décrire. Le récit décrit, la nouvelle suggère. Elle a un début rapide et une fin inattendue dite *chute* Elle n'est pas forcément brève. Certains plaisantent en disant qu'une bonne nouvelle n'a qu'un début et une fin et rien entre. Souvent, elle égare le lecteur qui doit se poser en permanence la question : où l'auteur va-t-il en venir ? Son rythme est rapide et parfois haletant
Ton texte est descriptif (on y est ) d'une ambiance vécue et sa fin inattendue et déjà nostalgique passe bien.
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PhiliPPe
Envoyé mercredi 05 janvier 2005 - 12h43:   

mERCI pour l'info.

Je connais depuis assez longtemps, la réputation des Delort, bien avant le net. Il n'y a pas de doutes que leur travail et leur choix demandent des sacrifices.
Mais quand même il devrait pouvoir accepter de lire les manuscrits par courriel ou dans des formats comme le Pdf. On peut créer des Pdf gratuitement sans acheter le logiciel d'Adobe.
Ils gagneraient du temps et peut-être de l'argent. Je le dis simplement, car j'ai des revenus très modeste et l'envoi de tapuscrits me coute dans mon budjet.
La lecture est très supportable avec adobe reader. Je lis des livres dans ce format que je ne peux pas me procurer en papier ou qui sont indisponibles ou encore épuisés.

Pour mes textes, d'après tes définitions, je dois avoir écrit des nouvelles également.
Une petite remarque au sujet des nouvelles.
Raymond Carver est en Amérique et en Europe "classé" comme nouvelliste, pourtant, il me semble que ces petites histoires décrivent bien plus qu'elles ne suggèrent. Je pourrais citer d'autres exemples.
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yv
Envoyé vendredi 07 janvier 2005 - 00h22:   

Je t'avais longuement répondu et cette réponse s'est volatilisée, je ne sais pourquoi. Je te disais en résumé:
Que ton texte était bon, qu'il tenait à la fois de la nouvelle et du récit, ce que Brèves accepte finalement. (Ce ne sont pas des puritains.) Que la réponse est souvent longue à venir et leur choix des textes très sévère, car en définitive ils en publient peu dans la revue Brèves et qu'actuellement les subventions traînent. (mais ils en touchent très peu) ce qui les a obligés à maintenir la revue et à ne plus publier de recueils jusqu'à nouvel ordre. . Ils ne tiennent le coup que grâcé au fait qu'ils font tout, depuis les lectures, le choix, la mise en page, la diffusion, etc.
La plupart des petites maisons d'éditions tournent avec un budget très serré mais reçoivent un nombre considérable de textes. Si l'on multiplie par le nombre de timbres, cela fait à la fin des sommes rondelettes.
Pour le problème des envois par courrier électronique, la lecture est plus pénible et l'impression coûte cher en encre et papier.
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PhiliPPe
Envoyé vendredi 07 janvier 2005 - 13h08:   

Merci pour ton mot.

La lecture est agréable dans le format.Pdf
le lecteur d'adobe reader est conçu pour la lecture des textes électroniques, cela n'a rien à voir, avec ce qu'on peut lire dans un logiciel courrier ou dans un forum.
Il n'y a besoin également d'acheter le logiciel acrobate. Ily a des petits programmes (en open source =gratuit)) très facile à utiliser qui font ces formats que le lecteur lit avec adobe reader. ( il ne cesse de progresser et il n'y a pas besoin de papier ni d'encre d'un coté comme de l'autre). C'est beaucoup plus pratique et agréable à lire, à tout point de vue que la lecture de tapuscrits.(on pratique ses propres réglages pour son confort de lecture )
Je crois que les auteurs et les lecteurs ne le savent pas assez.
Pourquoi donc ne pas profiter de ce qui s'offre à nous et rester eternellement dans ses anciennes habitudes quand il y en a de meilleurs a prendre ?
Je pense que c'est par manque d'information, tout simplement. Je trouve dommage de se passer de cela. Mais je suis un près certain que cette pratique rentrera un jour ou l'autre dans les moeurs.

Amicalement, Philippe


http://sebsauvage.net/pdf/


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yh
Envoyé samedi 08 janvier 2005 - 00h55:   

Merci pour ces renseignements, Philippe ! Il y a sûrement à glaner là dedans. Mais envoyer un seul texte et en lire quelques centaines n'est pas la même chose. La saturation sur écran est plus rapide pour des raisons de fonctionnement cérébral et d'influence du rayonnement de l'écran sur ce fonctionnement.De toute façon la plupart des maisons d'édition te demandent un CD avant de publier pour des raisons économiques. Ils n'ont pas à faire la saisie, ce qui leur revient cher et l'auteur ne peut pas protester s'il persiste des coquilles.
Mais il est deux moments de l'édition où l'utilisation du texte sur ordinateur est difficile . Les correcteurs n'aiment pas du tout le support informatique pour proposer des modifications à un auteur et quand l'auteur doit donner son bon à tirer et corriger dans les marges ou modifier son texte il ne l'aura pas facile avec un texte informatisé, ne serait-ce que pour utiliser les symboles universels de correction qui n'existent sur aucun clavier..
Une grosse maison d'édition La Martinière, qui est en train de bouffer d'autres grands comme le Seuil demande aux auteurs de présenter leur oeuvre sur le net avant tout envoi . Si ce résumé et ta biblio ne les intéresse pas ils ne liront pas une ligne de ce que tu auras écrit. Si tu passes ce premier barrage alors effectivement ils te demandent une saisie informatique et non du papier.
Un inconvénient également du texte long lu sur écran c'est que le support est très important. On ne fera pas la même lecture du même texte sur un livre et sur un écran. Et, encore plus surprenant, si on crée une oeuvre avec le clavier et l'écran, à partir de la même idée de départ, pour des raisons d'ordre physiologique de fonctionnement cérébral on n'écrira pas la même à la main ! Il ne s'agit pas là de modernisme ou de progrès mais de la façon dont nous fonctionnons de tout temps. Ceci dit je vais m'enfiler dans un lit non virtuel ! YV
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PhiliPPe
Envoyé samedi 08 janvier 2005 - 12h21:   

Oui,je suis d'accord avec toi sur plusieurs points,
- Le livre numérique n'est pas comparable avec un livre traditionnel.
- On n'écrit pas de la même façon à la main (la sensation n'est pas la même) également, mais l'écriture manuscrite n'interesse personne, contrairement à autrefois.
- Pour la correction des epreuves, le tapuscrit est plus pratique.

Pour les reste de la chronologie, les différentes étapes, les Symboles universels de corrections et le fonctionnement cérébral et l'influence du rayonnement de l'écran sur ce fonctionnement j'en sais rien, je n'ai pas vécu encore cela !
Je sais seulement qu'il m'arrive de lire des livres en.pdf parce que je ne peux pas me les procurer autrement et que c'est mieux que rien.

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