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Leezie
| Envoyé samedi 06 décembre 2003 - 18h21: | |
sur le site pleutiL aujourd'hui, une très belle nouvelle de Stéphane Méliade, La Découverte "j’ai envie de leur expliquer qu’ils se trompent de sens que le temps ne va pas de la peau vers la pierre mais de la pierre vers la peau"
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Leezie
| Envoyé samedi 20 décembre 2003 - 15h02: | |
et ça dérive sec, Rob Cuffi sur pleutiL aujourd'hui "Quel temps fait-il sur mes amours? Il pleut. J’embarquerai à vide. À vide ? pas tout à fait." http://pleutil.net/cote_rue |
Hélène
| Envoyé samedi 20 décembre 2003 - 15h59: | |
Merci Leezie . je viens de lire. Un beau poème d'une sensualité nostalgique et passionnée. De belles amours. |
Leezie
| Envoyé mardi 06 janvier 2004 - 10h16: | |
Des nouvelles du pays où il pleut des textes tous les jours eh bien, cette semaine figurez-vous qu'un très mystérieux personnage, comment s'appelle-t-il déjà? ah oui... INGERVAR, voilà voilà, Ingervar, donc, est "choix des lecteurs de pleutiL" http://pleutil.net/cote_cour/choixdeslecteurs/ et si vous ouvrez aussi la quotidienne très belle page du site http://pleutil.net/cote_rue vous lisez aujourd'hui "Pétales de lucarne" de Stéphane Méliade...! (D'autres auteurs de Francopolis, ou membres du comité, Hélène Soris, Philippe Landreau, Jean Michel Niger, Ile Eniger, Aglaé Vadet, etc... etc.... publient régulièrement de très beaux textes là-bas, allez-y !)
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Leezie
| Envoyé vendredi 23 janvier 2004 - 20h55: | |
c'est la semaine Francopolis, sur pleutiL, Gertrude Millaire, Yves Heurté, Philippe Landreau aujourd'hui, de Gert : CE SILENCE Ce silence que tu portes à bout de bras Comme si à chaque pas ton corps s’enfonçait dans l’interdit. Ce chant monte comme de solitaires aurores boréales Et couvre tes nuits pour ne pas que tu prennes froid ce chant que la foule porte sans savoir sans rien connaître de ce vent inquiet qui penche ton corps par en avant Et toujours ce silence qui te creuse les reins ce silence-fluide glisse sur tes fenêtres closes Jusqu’où iras-tu à bout de bras… et ces flaques de lacs solitaires qui stagnent dans tes terres inhabitées. Jusqu’où iras-tu comme ça à bout de mots, à bout de souffle ? Gertrude Millaire
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Leezie
| Envoyé vendredi 23 janvier 2004 - 20h59: | |
pour faire vous aussi partie des auteurs de pleutil, vous pouvez proposer un de vos textes à leur comité de lecture
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info (Admin)
| Envoyé lundi 01 mars 2004 - 16h32: | |
Philippe Landreau, aujourd'hui sur le site pleutiL "Ce sont des matins qu’on dit plus bleus lorsque sur la table le bouquet de delirium tremble et vibre d’une stridence d’aigue-marine et de chevelures d’algues déracinées. En moi cela ne fait pas le même bruit de lumière désertée, mais une sorte de lenteur qui remonte des profondeurs, peut-être une musique un peu fauve, presque rudimentaire qui fait appel, en Écho, aux esprits de la forêt «Bachianas brasileiras» d’un bois plus rude que la pierre branlante de la peau tannée par les pluies et les soleils effondrés."
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Leezie
| Envoyé mercredi 03 mars 2004 - 23h26: | |
James Sacré sur le site pleutiL le 9 mars prochain !
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île et la pluie
| Envoyé jeudi 08 avril 2004 - 19h01: | |
et regardez ce qui brille aujourd'hui dans les yeux de pleutiL comme choix des lecteurs de la semaine? :-))))))))
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Eh oui
| Envoyé jeudi 08 avril 2004 - 19h14: | |
"Texte" qui brille dans quelques yeux...
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