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Leezie
| Envoyé jeudi 11 novembre 2004 - 16h53: | |
pour commencer cette rubrique de manière non conventionnelle :-), voici une traduction que je m'étais amusée à faire du poème "Genova" de Steph. A la relecture, comme ça, je trouve que ça pourrait être pire, mais qu'il y manque une certaine clarté et simplicité typique du français de Steph Bon, enfin, ça m'avait bien plu d'essayer ça... xxx -- Genova -- levels as long as centuries -sometimes no time exists - I have long been rubbing skin against thy dirtiest house I play, I bend my knees never dance any more wig thrown onto the earth and we are so fully belated on our hair, its time I’m looking on the earth looking for shadow it would be sweet to exactly fall upon with legs apart then arcades do utter will you my black companion be a gnomus passing low to underline a hazy flood cleaning my limbs saying yes to the town and as she does believe you reach the Indies and be so wrong as she does cover the walls with paint the esoterical side of the foot centuries as levels set in a solid tear sometimes our time is asking much in your fleece ocher and grey I swam so long and I gave you back upon a place a little farther on the one I had found you Genova, 12-03-2004 xxx (le texte original) -- Genova -- étages comme des siècles - parfois le temps n'existe pas- je me suis frotté longtemps contre ta maison la plus sale je joue à plier mes genoux - je ne danse plus j'ai jeté ma perruque à terre et nous sommes bien plus tard que du temps de nos cheveux- je cherche sur le sol les ombres sur lesquelles il serait doux de tomber exactement avec leurs jambes de chaque côté de moi les arcades demandent veux-tu être mon compagnon noir le gnome qui passe sous moi pour me souligner la rivière floue qui nettoiera mon corps ? répondre oui à la ville et comme elle croire atteindre les Indes et se tromper comme elle peindre sur les murs la face ésotérique du pied siècles comme des étages serti dans une larme solide -parfois le temps en demande trop- j'ai longtemps nagé dans ta toison grise et ocre et je t'ai rendue à peine un peu plus loin que là où je t'avais trouvée Genova, 12-03-2004
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