| Auteur | Message | ||
     Rémy |
Janvier, vieil ange vengeur, vient à mes jours ajouter un an. Vantez, sages rangés des jeux, les joues rougissantes des jeunes gens à franges ! Que tout s'arrange, et que l'an soit joyeux, pour changer, dès janvier ! | ||
| Rémy |
Janviers aux gants de neige, où je vis guêtres aux jambes, J'en veux aux gens au chaud, aux janviers sans gels, J'envie et je suis jaloux, en janvier. | ||
| Jarod de Jaïpur |
Janvier, j'en vois des jeux aux joies gelées, j'agite un journal blanc comme neige qui jure d'agir sur les geôles injustes. Jurons jurassiques des jours de Giscard, jam session de John Lennon et Janis Joplin, joints dans un même jetstream jaïniste. Jours jonchés de Jivagos qui jaillisent des joncs des marécages sur un air de jazz au jasmin, style Django Darjeeling, qui jouxte la jolie jambe de la jeune gitane. | ||
| Anonyme |
Je corrige : un journal jaune jonquille (et non pas blanc comme neige), et un air de jazz au jasmin genre Django Darjeeling (au lieu de style Django Darjeeling). Sinon ça jure ! | ||
| J'attaque jeudi |
Bien joué ! Jolie targette ! Plus jouissive qu'un joker japonais ! J'en jubile en agitant la jupe de Jennifer ! By Jove, que les Jedis m'enjôlent et ma fassent surgir de la fange, d'étage en étage, de la géhenne de Juppé jusqu'au joyau de l'Ajna Chakra, j'en veux jusqu'aux bajoues ! Jumanji ! | ||
| regime léger |
En janvier j'envie les gens qui déjantent encore j'enferme les jeux , j'ai des jubilations en jouant à jeûner je jouis de jus de poireaux legers juste insipides et j'ai jeté déjà les chocolats géants qui me faisaient gémir. Quelque goujats me gênent dans ma gymnastique et je jure de rage . je crie à l'injustice je mangerai en juin je ferai la jointure je suis bien trop joufflu je vous en laisse juge | ||
| tamos |
janvier le jamais jour des justes jour de jonchées de geôles, un jour jamais juché sur la jetée des gerbes jamais de jupes jumelées juchées joyeuses justes jugées les jouvencelles janvier le julep jaune des jacinthes jaillissement de gerbes j'aimerai | ||
| Anonyme |
Et le v de janvier, vous le voyez, vous ? | ||
| vamos |
vah? v'est vrai, va... | ||
| Rémy |
Janvier renvoie le vent des villes aux champs ; les gens y vont pour en jouir. Vagis, vent givré du géant janvier vigie, vagin, Gévéor, gingivite, viager, voyage, Javel etgévéra, etgévéra. En janvier, vous vengiez. Je crois que c'est le seul anaphone - en entendez-vous d'autres ? | ||
| Leezie |
Enfin. Quand le sombre dessine un recul. Que je pose mon coeur sur la pierre. Chaude et qui frissonne et crisse dans le rayonnement courbe des mosaïques. Qu'une confiance étendue et aveugle mais sans motif replie les doutes de mon corps. Et peut-être qu'au delà du bleu des arbres qui démasquent le pur désert, rejoint une infime étincelle. Son nom je le range au dessous du temps. Il coule sans disparaître. Ce nom est autre. C'est lui qui fabrique la fibre de mes forces Au fond de sa caverne, dans la chaleur de toute forge, ma chair reprend son coeur. Plus loin. Se divisent les routes. | ||
| p |
l'hiver a effacé mon nom j'écrirai sous forme de confession de n'avoir jamais laissé quelque chose qui ne parte pas au soleil des mots trouvés quelque part entre la vieille neige et la nouvelle je t'avais promis de belles choses je cherche encore il fait froid |