| Auteur | Message | ||
     eric dubois |
l'amour et la mort | ||
| Morgane |
Nocturne pectore Le sang comme élixir de vie, déjà mort. Ange incarné de l'éternelle nuit, fière et sombre majesté des profondeurs de temps effacés., Tentante désillusion d'une illusion parfaite. Symbiose de l'aigle et sa proie. Vol d'amertume avec un manteau sombre, Regard défiant l'humanité dans un cri de rage enseveli. Épines de ronces, cercueil de plaisir. Envie insoutenable... Chercher l'enfant, Chercher l'innocent, Pulsion, passion ... Un voile déchiré, merveilleuse et douloureuse réalite. Suppot d'Hadès au regard de miel et de chant sacrilège. Leur vie mienne et moi leur esclave, enchaînés dans un battement de tambour. Boire vivememt l'amour et la vie! Extase et châtiment. Obession du cercle inachevé. Prison du libéré où la fuite et la peur deviennent l'ivresse d'un moment, d'une rencontre éthérée. Beauté perverse d'une blanche gorge déjà rougie. Brûlure d'âme évaporée. Voilà pour la mort et l'amour fusionnés, j'attends maintenant le tien.  amicalement Morgane | ||
| Hélène (Hélène) |
Beau texte Morgane. j'espère que tu viendras souvent. et qu'Eric écrira un poème dans son style très différent très moderne . | ||
| Hélène (Hélène) |
AIMER LA BLEUE NUIT Mourir unie à toi qui me donnes la vie Souvent . Celle que j'attendais Celle qui porte l'ombre d'un espoir incertain de plénitude Sombre . Je ne sais pas . Peut être que peu à peu Tes bras embrasent la peur séculaire . L'inconnu s'illumine La Faucheuse sourit surprise D'être comprise . Il suffit que mes sens allument le regard vers la plaine infinie. Au centre de l'oubli Images confondues nous volons vers la nuit Viens La bleue nous poursuit. | ||
| eric dubois |
au-dedans de moi une nappe d'anges circule en vaisseaux de feu et de poison cicatrisez mes oublis pansez mes pensées enterrez mes regrets je t'ai aimée mais je suis mort ne cherche pas à pleurer vis et aime inédit ERIC DUBOIS | ||
| Hélène (Hélène) |
bonne illustration du thème Eric . j'aime les contrastes. | ||
| JG |
La tendresse a vingt ans Tu es née à vingt ans au passé sous un masque La tendresse enfantée sous un ciel de bourrasque Avec tous tes chagrins comme au temps des averses Engendrés de regrets qu’un souv’nirs traverse En sommeil pour te prendre dans un lit d'écriture Pour fermer ta valise la béante coupure Quand ces airs en septembre te reviennent en avril Quand ton coeur vient se fendre aux douleurs de l'exil Tu es née à vingt ans au passé sous un voile Née d'un rêve enchanté enivrée d'une étoile Emportant avec lui ses "je t'aime" mélodiques Où sa voix dans ton cœur vient graver sa musique Combien de fois déjà m'étais-tu apparue ? Maquillée sur parole accrochée à tes rêves Dans ce songe éperdu au détour d’une rue Comme à l’ombre d’un roi au soleil qui s'achève Comme un astre de Mai en cadeau vient s'ouvrir Aux plus clair de son ciel parsemé de sourires Quand tes lèvres s'assemblent en bouquet de violettes Jusqu'aux larmes…Une fleur… Une nuit qui s’arrête Moi je n’ai plus vingt ans et je suis toujours là A l'amour vers la mort tant le temps se fait bas Avec tous mes chagrins loin du temps des caresses Aux regrets… Aux souv’nirs… Oh !Ma tendre jeunesse | ||
| Anonyme |
Wouaouh JG le début me colle à la peau . On peut naître plusieurs fois , mourir à n'importe quel âge et renaître toujours chaque saison a son berceau Mais tout cela est une autre histoire qui deviendra un autre texte peut être . | ||
| Malaïka |
JG Ta tendre jeunesse, La jeunesse Elle aura aussi un jour passé dans ma vie Mais, jamais ne m'aura laisse un aussi beau récit que le tiens . Malaïka |