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Amel
| Envoyé mercredi 01 juin 2005 - 11h01: | |
Tendances de juin anis, fuschia et rouge courent les rues |
Amel
| Envoyé vendredi 03 juin 2005 - 17h23: | |
Rangement tardif une année de journaux et des mains noires |
phl
| Envoyé dimanche 05 juin 2005 - 12h44: | |
et mes doigts de terre aux rêves des mes yeux sincéres la taupe gratte la nuit |
phl
| Envoyé dimanche 05 juin 2005 - 12h50: | |
attend géranium la goutte glisse longs cils fragiles tendre brillance du ciel |
Amel
| Envoyé lundi 06 juin 2005 - 12h28: | |
La fleur tombe s'éparpillent précieuses larmes de rosée |
phl
| Envoyé lundi 06 juin 2005 - 12h54: | |
bourgeon ébahit vient couvrir l'ombre tendre rose claire d'une caresse |
phl
| Envoyé lundi 06 juin 2005 - 12h56: | |
vent au noisetier la branche doucement penchée fleur dans tes cheveux |
Amel
| Envoyé lundi 06 juin 2005 - 18h55: | |
Envolée de jasmins sur les draps de l'enfance ce geste vespéral |
phl
| Envoyé mardi 07 juin 2005 - 08h44: | |
la soie enroulée tendre feuille sous la peau claire doigts au mot à mot |
phl
| Envoyé mardi 07 juin 2005 - 08h49: | |
tremble géranium je tiens aux creux blanche peau la houle persiste rêve incandescent je vais la lune au corps blanc |
Amel
| Envoyé mercredi 08 juin 2005 - 16h47: | |
Beau mirage tes mots tracent le contour d'un rêve interdit sous l'assaut du soleil la source miroite et tarit |
phl
| Envoyé mercredi 08 juin 2005 - 19h02: | |
visage d'une ombre aux ritournelles vivantes sens frémir tes yeux l'histoire, une marée oblique dans le fleuve noyée |
Amel
| Envoyé jeudi 09 juin 2005 - 18h23: | |
Reflet de lune tourmenté par les vagues soupirs dans la nuit comme une litanie ton nom j'ai cru pouvoir l'oublier |
Dji
| Envoyé vendredi 10 juin 2005 - 00h00: | |
Unis par le vent Ciel et nuages jouent ensemble Dépot sur le mont |
phl
| Envoyé samedi 11 juin 2005 - 10h05: | |
oubli de silence mes douces mains enfermées juste le vent froid je ne sais plus rien de moi j'ai perdu ta vie |
aglaé
| Envoyé dimanche 12 juin 2005 - 21h39: | |
De Isabelle Hebert, forestière dans le Jura D'abord la brisée puis l'éclair roux du chevreuil trois fois. Radio-Londres ? J'adore! aglaé |
Amel
| Envoyé lundi 13 juin 2005 - 11h13: | |
Bonjour Aglaé, très beau ! Au rendez-vous des mots à flot l'encre coule pensées croisées |
aglaé
| Envoyé lundi 13 juin 2005 - 12h05: | |
Boujou! comme on dit ici! De Isa de nouveau: Dix yeux long fardés Prudents mais pas trop pressés Cinq chamois. Emoi. j'aime aussi!!! Où sont Ali et cécile, Une fugue tous les deux? Glaé
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phl
| Envoyé lundi 13 juin 2005 - 16h43: | |
aux mots nouveaux ailes sur le devant du feu tes mains écoute le vent rire
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Amel
| Envoyé mercredi 15 juin 2005 - 11h26: | |
Blanche mouette dans la froidure des quais le feu du partir
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phl
| Envoyé mercredi 15 juin 2005 - 15h13: | |
chemins de sable le chaud reflets de tes yeux la vie a tes mains
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Amel
| Envoyé mercredi 15 juin 2005 - 17h34: | |
Mon doigt trace ton nom le vent se joue du sable oublie une lettre |
ali
| Envoyé jeudi 16 juin 2005 - 03h11: | |
Awwow!!Mon Aglaé est là!Pardon!!J'étais avec les pierres nous parlons des eaux et de mes feux de méandres,le ciel était loin sauf la terre en témoigne voici la suite mon Aglaé de mon âne de conte,tes histoires m'enivrent je marche sur tes pieds ,la vie c'est simple sinon c'est de la haine sans rais des ombres.Silence aux lèvres abruties!!! L'âne de retour l'achwari plein de dattes le conte avance La soirée tendait vers sa fin .. Les premières lueurs de l’aube commencèrent à paraître dans l’horizon derrière une grande chaîne de montagnes où les premières forêts avaient été implantées par les douces mains divines des milliers d’années avant la création des bêtes... (D'ailleurs , On continue, même à croire que les arbres ne sont qu’embruns des baves angéliques lâchées par un très chaud jour d’été du haut du ciel par les anges et leur progéniture lors du filant passage céleste du cortège divin. ) Le lion Mon Aglaé après un long chemin ,-en compagnie ,de ses plus proches bêtes vers la jungle s’aperçu qu'un très grand nombre de ses sujets étaient resté avec l'éléphant ,le mammouth,le dinosaure et le rhinocéros et que ses messagers comme la tigresse,le loup ,ses espions comme le chacal et le renard n'étaient pas encore de retour. Il arrêta son cortège , demanda au léopard de s’occuper de l’affaire et continua son chemin comme si de rien n’était . Quand le léopard arriva à la place où se tint encore le bal,il ordonna à ses sentinelles d’assiéger toute la place par tous ses coins ,angles et issues de façon à ne laisser aucune bête s’enfuir du carnage programmé par l’intelligence d’une féroce panda qui voulait donner par cette occasion une historique leçon, à tout ce monde animal en fête,de l’absolue souveraineté du lion sur la jungle. L’assaut commença sous l’ordre du léopard , la panda joyeuse sourit du haut d’un roc , le lynx jovialement saute d’un cèdre et par un signe grincheux de ses dents transmit l’ordre à ses troupes ,l’ours frappa son tronc des deux mains comme un gorille et d’un agile geste par sa tête vola un frais bisou de la joue d’une louve qui vient ,déjà de tuer une dizaine de brebis qui étaient entrain de bavarder autour d’un carré vert de luzerne ; » un bisou de reconnaissance ! » , lui avait il dit. la louve en était très flattée ,elle papota un court moment avec l’ours puis par courtoisie,elle lui offrit un morceau de chair d’un cabri qu’il avala,d’un coup, en l’air .. Le désordre s'installa dans la place ,les cris de douleurs des bêtes s'éleva dans les cieux ,les grosses bêtes ;éléphant,baleine ,hippopotame et compagnie montèrent une cellule de crise,d'autres étaient déjà dans le champ de bataille entrain de distribuer ,à gauche et à droite, des coups de pattes ,de dents,de queue ou de cornes .D'autres ne sachant pas quoi faire ;foulaient adroitement de leur gros corps ceux des carnassiers ,qui n'hésitaient pas à arracher ,à chaque fois que l'occasion se prête à leurs crocs, de gros morceaux de chair de ces bêtes aux gros corps. Les deux grenouilles dont on avait parlé retranchées au bord de l'étang dans un coin à l'abri de cette tempête de sang regardaient tristement ce douloureux spectacle.. Elles étaient restées un long moment sous l'eau à composer des haïkus sur le monde aquatique avant de remonter au bord de l'eau pour voir de plus près cette hécatombe qui se déroule sur le sec sous leurs beaux yeux de batraciennes .L'une d'elles s'apprêta à lancer un haïku de condamnation de cet horrible acte quand sa compagne lui ferma la bouche d'un geste de patte postérieure lui ordonnant de se taire car pour elle ,l'heure n'est pas au chant! Alors, pour lui dire que la situation est confuse et qu'il est difficile de"figer"une scène ou une image par haïku dans ce grand désordre animalier ..Elle lui dit dans un ton de peine et de regret: Zizanie au zoo le zélé zoom zéro zigzag et zut Et à voix basse , la grenouille pour ne pas mettre en colère son amie la peureuse ,elle lui répondit en demandant d'elle s'il n'est pas temps de faire leurs "ploucs" dans l'étang .Car la situation s'apprête,de plus en plus à s'aggraver dans la grande place entre toutes ces hordes de carnivores d'herbivores et d'insectivores qui n'arrêtaient pas de s'entretuer !.. Même les plus dociles d'entre elles, étaient obligées de faire la guerre ..Les insectes de toutes sortes aussi, chacun avait ,librement ou par nécessité ,choisit son camp .Il n'y avait pas de neutre !Tous pour la guerre! Mourir ou survivre tel était le pari!.. C'était la grande première occasion pour les bêtes de mettre en examen l'utilité de leurs divins accessoires .Un événement majeur qui avait ouvert le chemin à l'avènement des omnivores,mais malheureusement aussi à la disparition définitive de plusieurs espèces ,qui n'avaient pas de moyens efficaces pour au moins se défendre contre l'ennemi..;Toutes les bêtes cubiquement rampantes aux formes triangulaires ou de losange avaient y trouvé ,à jamais leurs fin. ..Ainsi que les animaux aux cinq pattes ou à trois. Les bêtes que Dieu n'avait dotées que d'une patte étaient les premières à disparaître de la nature .Il y avait même une espèce de bêtes en forme de roues de tracteur ,qui chassaient leurs proies on y passant dessus, puis à reculons sur la proie écrasée, tout de suite, elles l'avalaient.Ces trucs divins de roues n'avaient pas la chance à ce que le bal se passait dans un terrain tout plat ou dans un plateau pour pouvoir écraser leurs ennemis ou au moins pouvoir fuir, comme de vrais pneus d'un VTT l'enfer de ces féroces carnassiers. Les pauvres après plusieurs combats, un commando d'une trentaine de pumas et de tigresses les avaient surpris coincées entre de gros rochers pas loin d'une grotte où ils croyaient, naïvement, pouvoir trouver refuge. L'âne avait de la chance ; lui, comme on avait dit, savait déjà la valeur de chaque accessoire, de chaque conduite animale et le pouvoir de chacune des bêtes qu'il continuait a regarder se battre entre elles à partir de sa petite cachette isolée derrière un arbre tout près de cette grotte dont on vient de parler. L'âne avait déjà senti lors des premières attaques des carnivores que des ailes invisibles,-que Dieu lui avait promises, lui poussaient en ces moments difficiles. C'est pourquoi il s'était immobilisé dans cette endroit tout près de la grotte car il avait y trouver une paroi entre deux rochers ; un bon refuge Mon Aglaé, d'où il pourrait, au cas d'un danger, donner des coups de sabots aux gueules de ses prédateurs sans qu'eux ne puissent l'atteindre ni au dos ni au ventre ni à la tête.D'ailleurs plusieurs d'entre les pumas, les lynx avaient essayé de le dévorer, en vain .Il n'avait survécu à l'hécatombe que grâce à cette astuce,qui lui avait bonnement permis aussi d'attendre patiemment et tranquillement ses ailes mûrir .. La tâche correctement accomplie ;les survivants furent conduit vers la jungle où le lion,impatiemment les attendait . Ils avaient été presque tous délogés,par les hordes du lion, des rochers, des arbres,des terriers ,des tanières et des autres recoins isolés de la place où chacun d’eux croyait trouver son meilleur refuge. Il ne restait dans les lieux qu’un petit nombre d’animaux qui auraient la chance au moins de pouvoir faire tranquillement et librement leur chemin vers la jungle . ils y auront peut être même la chance d’échapper aux corvées qu’imposeront les toutes nouvelles lois de la jungle. La vache , -après avoir était informée par un puceron du calme total qui régnait dans la place ,sortit de sa cachette toute en sueur. Elle scruta précautionneusement d’un seul et lent regard tous les coins ,avança vers l’âne qui déjà lui était au cœur de la place prêt à décoller au cas d’un éventuel danger. Il vient juste d’essayer le vol avec ses petites encuirrassées ailettes invisibles, il a vu tout de sa petite ronde céleste : - »aucun danger !»lança à sa campagne « et du présent et du futur madame la vache ! nous vivrons tous les deux dans les étables des humains un jour ! » La vache pas très sûre de ce que dit l’âne rétorqua d’un air moqueur : -« quel visionnaire !!! » -« Et ouuuuiii ! lui répondit l’âne « j’ai le don des mésanges !! » L’âne la rassura encore une fois de la paix qui règne dans les lieux depuis le départ de la dernière sentinelle des loups . Il lui avoua ses petites prouesses et histoires , la vache fit de même ..Elle lui raconta, avec enthousiasme comment elle a pu avoir ses accessoires ;cornes, mamelles et longue queue. L’âne par gentillesse ne commenta pas les dires de la vache parce qu’il savait que rien ne servira à ce pauvre mammifère pour échapper à ses futurs prédateurs.. Ils décidèrent tous les deux d’appeler tout le monde ,encore caché sous les rochers,sous les arbustes ou dans les méandres des grottes et des vallons à sortir de leur cachette. -harrrrrrrrrrrrrrrrrrrhahharrr !! -mmmmouhmmmmouhhhhh !! l’âne en grand amateur des haïkus arrêta de braire et demanda à la vache de figer l’instant par un haïku, cependant la vache ne trouva pas les mots pour décrire ce qu’elle voit.. elle sourit en guise d’acquiescement et demanda à l’âne d’attendre l’arrivée des autres bêtes ..le caméléon qui n’était pas loin d’eux,arriva le premier . A pas mesurés,il avança lentement sur la face lisse d’un rocher ,l’œil vif ;d’avant en arrière de gauche à droite et du haut en bas n’arrêta de clignoter. L’âne étonné de la démarche du caméléon n’hésita pas a s’en moquer : Lentement Doucement caméléon avance Moi je me tais ! Et la vache qui n’est pas du tout satisfaite de la teneur poétique du haïku sinusien beugla soudainement dans les airs son fameux haïku que les générations des rumineurs continuent toujours à perpétuer de nos jours : La place vide Danger guettant les bêtes La vache et l’âne ! L’âne en grand connaisseur de la bouddhéité animalesque admira la parole de la vache en hochements de tête et enchaîna : Que faire alors Comment porterai-je ce monde ? L’amour est de paix ! D’un coup la vache se cabra sur le roc ,-ne regardant ni à gauche ni à droite ,sans se soucier du caméléon qui vient de soulever pour la première fois sa tête de losange en murmurant un haïku de Bashô ,-si je m’en souviens bien il ne s’agirait que du célèbre haïku de la grenouille,mon Aglaé ! ,-elle estima dans son haïku que la situation exige une réflexion mûre sur le devenir de ses bêtes laissées ni à la mort ni à la vie, avant qu’elle ne repose ses deux pattes à terre elle entonna de sa voix rauque le haïku suivant : No man’s land faites vite mes bêtes avenir de jungle. (à suivre avec un gros bisou aglaéen(sourires)!!t'es adorrrable!!!)
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aglaé
| Envoyé jeudi 16 juin 2005 - 12h00: | |
J'imprime sur papier et sur mon coeur...et je reviens.... J'envoie les bisou en avant! Aglaé |
phl
| Envoyé jeudi 16 juin 2005 - 17h12: | |
si le vent devine je creuse sous ta peau racines vagues dégustées |
aglaé
| Envoyé jeudi 16 juin 2005 - 22h53: | |
"D’un coup la vache se cabra sur le roc ,-ne regardant ni à gauche ni à droite ,sans se soucier du caméléon qui vient de soulever pour la première fois sa tête de losange en murmurant un haïku de Bashô ,-si je m’en souviens bien il ne s’agirait que du célèbre haïku de la grenouille,mon Aglaé ! ,-elle estima dans son haïku que la situation exige une réflexion mûre sur le devenir de ses bêtes laissées ni à la mort ni à la vie, avant qu’elle ne repose ses deux pattes à terre elle entonna de sa voix rauque le haïku suivant : No man’s land faites vite mes bêtes avenir de jungle." Ali, mon ami, Tous les animaux de la création avec leurs haï ku personnels, celui de la grenouille qui est mon plus aimé dans la savane de Francopopo, grâce à ton talent de conteur, fait souffler sur ma normandie un vent chaud de grand sud dont je ne te remercierai jamais assez
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Amel
| Envoyé vendredi 17 juin 2005 - 14h17: | |
L'enfance, la vraie les contes de grand-mère la nuit dans son giron |
aglaé
| Envoyé vendredi 17 juin 2005 - 14h46: | |
Amel!!!! J'adore!!! aglaé |
Amel
| Envoyé vendredi 17 juin 2005 - 17h39: | |
Merci Aglaé!
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ali
| Envoyé vendredi 17 juin 2005 - 22h33: | |
Merci chère Aglaé.. Je viens de lire un nouveau texte de toi dans la rubrique "romans et nouvelles" je le relirai demain quand je serai chez moi..bises |
Amel
| Envoyé lundi 20 juin 2005 - 12h31: | |
Trois trous béants est-ce que sa peau saigne la pêche sous le bec ?
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aglaé
| Envoyé lundi 20 juin 2005 - 14h14: | |
pour Amel: Si gaie la vie Deux cerises à nos oreilles Si bonne aussi Les coins du petit beurre un peu brûlés Si rigolarde A deux dans la salle de bains Si fraîche avec Les cheveux tortillonnés de pluie Inoubliée à jamais l’intimité chuchotée des amants Si bête Le mur sourd de deux fronts butés Si triste la vie Dernier baiser devant le bureau du juge aglaé
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Amel
| Envoyé lundi 20 juin 2005 - 16h45: | |
Pour Aglaé amie: Superstition ! à trop rire le matin on pleure le soir Dans mon enfance, j'entendais souvent ces propos; je ne comprenais pas pourquoi il fallait payer ce tribut pour un moment de bonheur, pourquoi ces instants sont-ils si courts quoiqu'ils durent ! Je ne pense pas que je sois arrivée aujourd'hui à comprendre, à accepter, à dire : C'est la Vie !
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aglaé
| Envoyé lundi 20 juin 2005 - 17h24: | |
J'espère bien que tu n'acceptes pas!!!! je pens plutôt que le bonheur nous rend apte au bonheur. Nous avons remarqué avec mon mari que, dans notre entourage, ce sont des gens qui ont été heureux dans leur mariage qui se remarient une fois veuf ou veuve...Ils ont de bons souvenirs! Aglmicalement Aglaé |
phl
| Envoyé lundi 20 juin 2005 - 18h18: | |
les mots détournés sur les branches du cerisier rien après gelée |
Amel
| Envoyé mardi 21 juin 2005 - 17h09: | |
Ton optimisme fait plaisir à lire Aglaé, je partage ! |
Amel
| Envoyé mardi 21 juin 2005 - 17h10: | |
Il se balance lourde à souhait la branche l'oiseau né d'hier ( Image ramenée du dernier week-end à la campagne )
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aglaé
| Envoyé mercredi 22 juin 2005 - 15h24: | |
remake, pour rire: Il s'en balance lourde à souhait la branche l'oiseau né d'hier agla à amel |
phl
| Envoyé jeudi 23 juin 2005 - 12h40: | |
elle s'en balance souhait de branche lourde hier est né l'oiseau |
aglaé
| Envoyé jeudi 23 juin 2005 - 13h18: | |
A tes souhaits l'oiseau! Balancé sur la branche tu n'es pas né d'hier! Aglaécuicui |
Amel
| Envoyé jeudi 23 juin 2005 - 18h35: | |
Frémissements les oiseaux dans le lierre tout en chahut le soir |
aglaé
| Envoyé vendredi 24 juin 2005 - 10h01: | |
Oiseaux dans le hier Cui cui dans la nuit des oeufs demain ...de plus en plus tartignoles!!! Aglaé, piton à la rigolade!!!
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muz
| Envoyé vendredi 24 juin 2005 - 13h48: | |
Qui rit ? - pâte de fromage - La vache. |
ali de marrakech
| Envoyé vendredi 24 juin 2005 - 20h51: | |
François et Cécile tombent enfin de l'air Ballon de rugby un gros bisou à mon Aglaé
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Axel
| Envoyé samedi 25 juin 2005 - 12h00: | |
deux 'rrrou' sur un fil l'amour ne tient qu'à deux pattes pendant deux secondes |
aglaé
| Envoyé samedi 25 juin 2005 - 15h17: | |
deux rrrou sur un fil pan! pan! attention! petits pois pas loin Glaé |
Axel
| Envoyé samedi 25 juin 2005 - 17h18: | |
une pie observe juste un peu trop longuement un corps d'oiseau mort |
Axel
| Envoyé dimanche 26 juin 2005 - 12h41: | |
ou une pie observe dix secondes de silence un corps d'oiseau mort |
Amel
| Envoyé lundi 27 juin 2005 - 13h12: | |
Retour de week-end pris en faute les oiseaux nous laissent les chaises |
Cécile
| Envoyé lundi 27 juin 2005 - 19h08: | |
terre dans le ciel Marrakech se détache coucher du soleil Bisous Aglaé !!!! |
Amel
| Envoyé mardi 28 juin 2005 - 18h50: | |
Vacances enfin ! Les larmes de séparation devant le lycée |