Auteur |
Message |
Pascal
| Envoyé vendredi 12 août 2005 - 20h12: | |
Envol de mottes de terre Dans ses habits neufs Un golfeur débute Le vieux général africain Publie ses mémoires Ecrites par un nègre Le prédicateur atteste Connaître la vérité Les fidèles baillent
|
Dji
| Envoyé samedi 13 août 2005 - 02h07: | |
C'est de l'humour... noir ! (ça fait rire que moi ? bon d'accord ... ) |
ali
| Envoyé samedi 13 août 2005 - 15h36: | |
J'ai aimé le dernier..ça me fait penser à nos parlementaires qui dorment d'un sommeil de pets.. |
Hélène
| Envoyé samedi 13 août 2005 - 19h01: | |
Si cest drôle . je ris aussi . ce n'est pas si méchant , possible , et j'aime les doubles sens le présent est respecté, mois le compte de syllabes our des haïku classiques je le appellerais peut être senryu mais le premier est bien un instantané d'image . |
Pascal
| Envoyé samedi 13 août 2005 - 20h24: | |
Senryu ? Pourquoi pas je pensais composer des Haïkus libres mais, qu'importe, l'essentiel reste le plaisir de les écrire et les partager ! J'espère simplement ne pas avoir offensé quiconque par mon humour (notamment les joueurs de golf qui débutent !)
|
Hélène
| Envoyé dimanche 14 août 2005 - 09h37: | |
ah comme moi tu a adopté cette formule haïku libre? j'ai lu les tiens et y ai d'abord pensé; mais comme ils parlent plutôt de personnages et sont teintés d'humour j'ai ensuite pensé senryu la frontière est difficile. Il faudrait que j'arrive un jour a coopter un membre de l'AFH ou qu'on ait Daniel Py comme conseiller . pour moi c'est le meilleur pour les nuances
|
Pascal
| Envoyé mercredi 31 août 2005 - 09h52: | |
Oui Hélène, J'aimerai bien aussi avoir leur conseils sur cette forme libre qui semble être à la frontière des genres et peut, sans doute, offusquer les Haïkistes plus puristes que moi. J'aime particulièrement créer un fil de réflexion qui richoche sur une série de "Haïkus" voici un autre exemple de mon apostasie : Haïkus de la décision de vivre « Je crois qu’il est temps d’être bien » paroles sages qui me reviennent Parfois tout semble vouloir nous échapper comme d’une amphore fissurée Bien peu de certitudes résistent aux assauts du doute aux fruits de l’expérience Il suffit de bien peu en réalité pour un bonheur partagé Recevoir l’offrande douloureuse des sanglots humiliés S’arrêter sur le champ et s’intéresser à l’autre comme son meilleur ami Donner un peu de soleil un sourire un regard au visage peint de souffrance Même infirme chacun peut se dire « Je crois qu’il est temps d’être bien » A celui qui avance guidé par la simplicité ses pas fleuriront derrière lui Amitié poétique Pascal |
à Pascal Hélène
| Envoyé mercredi 31 août 2005 - 11h39: | |
j'ai envie de les interroger et s'ils donnent un avis je le mettrai ici ça peut servir à tous
|