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Elle se présente
à vous
Pas encore vieux Beautés à contre courant On te dit encore Que le temps n’est plus à l’improviste Qu’hier est loin et demain improbable Qu’il faut renoncer À l’étincelle, au creux de joie Ces belles indomptées Encore attendues toujours accueillies Même au bord de l’obscur Même face au visage de commandeur Ce père fouettard rouge et or Ta vie Une taille de diamant Une plongée de mandala Et ton cœur s’emballe encore pour trois pas de valse La mer, le ciel, les étoiles Un jardin, des fleurs (y compris des roses) Une estive pour les bêtes L’éclair unique, l’illusion des amants De l’or dans un rai de lumière Toutes ces paisibles beautés poncifs dit-on De poètes périmés rêvant à rebours Ta légitimité dans ce chaos parallèle ****
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Créé le 1 mars 2002
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