Recueil qui vient juste de paraître en numérique exclusivement, chez François Bon sur son site marchand www.publie.net

et sur d’autres plateformes de téléchargement:
(iTunes, Amazon.com et KindleStore, FeedBooks, Fnac.com,
Bibliosurf.com, Dialogues, ePagine et l'ensemble de ses libraires
partenaires, L'Immatériel-fr, AbeBooks, Cultura, Virgin, Furet
du Nord, etc...) et aussi de bibliothèques et libraires. (2.99
euros)
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Dans ce recueil, le dernier en date, Eric Dubois maîtrise
totalement son art poétique ; il se présente à
nous comme envahi par un voile de désespoir,
désespoir de la vie et aussi, sûrement, de sa propre vie.
Par une suite de questionnements, il tente, par touches
successives, de donner des réponses à cette
inquiétude latente qui ne finit pas de le tarauder. Dans cette
recherche, il nous donne des moments de forte intensité comme :
Nous ne sommes rien
que la lumière des jours
les mots ne sont pas assez forts
un peu d’air pour nos bouches
dans le claquement du vent.
En une cinquantaine
de pages, il montre à ses lecteurs qu’il est le poète
à l’écoute de sa propre vie, à la forte
intériorité et qui rappelle les peintres
impressionnistes, lesquels, touche après touche, arrivaient
à suggérer un moment, une émotion, une situation.
Oui, sa poésie est de l’ordre de l’impressionnisme. On pourrait
qualifier sa manière d’écrire (comme on parle d’une
manière de peindre) de « poésie-impressionniste
» Son procédé poétique est de même
nature et le résultat final de la même qualité que
certains peintres du XIXe siècle.
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