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André
Filosa sélection avril
2008 Il se présente
à vous
où le temps, un instant, s'est assis ; Et, tirant ma chaise sur le seuil, bavarder avec moi. Qu'enfin la vie le cède à l'éternel. Les fleurs qui rêvent de la terre me consolent du ciel qui tarde à venir. Le temps me trait, le temps me trie, il m'étire, sans oeuvre moindre que couvrir d'une vierge inquiétude le chemin sans histoire. L'ombre du coureur inlassable devance ce que je venais dire. **** ----- > suite textes 2010 ->
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Créé le 1 mars 2002
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