À la rive de claire où les scintilles se détachent promises languies près l’ourse en vive ardence et plus même les bruissées portent en leur écho la trace des soirs anciens, l’hormis des soupirées refluant sur la verse emmenée de grave puis les ornes aux landes jurées de chancelle en nascente ; ou le détour des lents se laine à l’effleure et parade aux veilles sa lune en chère valence érose impatiente un moindre allant sur l’aube à vive, des étés las vont tremble des rus d’ombre et par le geint régnant sur la déchire coulée de flores soleillées l’onde aux véranes abat tendre les cilles ; ou la riveraie de sèche en bord de grâce étrenne au cessant bel un élan des frémies comme ainsi les carmines et l’épars d’avril quand folle amance la rêvée cambre aux désirs navrait sa démesure, à l’estrelle emmenée de vaine tend ses marges pour en ériger la sinue de ronce allègre ; ou clair de brise à la jonche aimée s’ourle un velvet de nords dits juins malgré la Beire tant ruée qu’en renverse elle récite l’ondée rare, et tanne de mêle ambre le tardant fait lame sur la corante aux capriciées.




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