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elle se présente à vous.
tu souris rien qu’à voir ta mère bras tendus te visite le monde par ce qui rouge ou bleu n’a de vrai que ton arbre à peluches tu dors pas possible ta mère sursaute quand c’est dans les rêves que tu appelles pour ne pas rien dire tu vocales et vocalises faut les voir les herbes enfouies tes mains empoignées geôlières à peine tu les vois juste un brin bout qui dépasse tu girouettes indiques le vent tes babils m’y fait presque à force de t’entendre t’écouter n’est pas traduire rien faudrait que tu cesses dans ta bouche fourrer les mains car tu n’avaleras pas le monde le goûtant comme pas deux va sans dire source de magie tes pleurs ta mère y fait à force de t’entendre ce qu’il faut pour que pleurer ne tienne tu nids d’oiseau à peine te capte le monde s’émerveille t’éclates le ciel plus que moi ***
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Créé le 1 mars 2002
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