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B.
Sophie,
sélection novembre 2009 elle se présente à vous.
Sans L’amour fou, toutes les horloges du monde lapidées Les regards ont aidé le temps, à endosser son grand linceul Sépulture suffocante, au seuil de l’inaccessible éternité Et ce silence là, lien de chair, de jour comme de nuit, nous étreint dans ses remous, que les oiseaux noirs , de nos aisselles hantent. L’attente, lame acérée qui impose à nos corps son fil d’acier Lourde roche en suspens Granit qui pétille Nos corps sous la torture exhalent les souffrances de nos incertitudes La salle est vide le rideau tombe et sa chute accablante, heurte nos mémoires. ->
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Créé le 1 mars 2002
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