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il se présente à vous.
Et j’aurai les mains dans la brume
terminale j’y croiserai par poignées le bruit utile des baisers Et Je regarderai les fleurs parmi leur cœur comme un papillon qui y cueille le désir Et Sur une de mes larmes je poserai l’espoir j’aimerai tant voir ton ciel bleu Et Tes mains sur mes hanches tes doigts dans ma bouche tes pensées plein mon cœur voici L’aube Et Toi allongée dans l’attente, tes jambes qui dansent ton petit pas qui se devine tes mains qui se tendent Et Tu te dresses dans les idées d’un French Cancan, sur la nouvelle ère d’un Moulin Rouge d’où le dessert qui nourrit ces ombres tout sera la nuit Tu en essoreras la pluie tu couvriras le désert d’un tapis de sel d’où pourtant naîtrons nos roses bleus Et S’il fuit d’un désir de banquise notre désir note qu’il faut fuir avec lui à la poursuite de la lumière pour ce qu’elle touche en nous C’est féroce la nuit c’est carmin c’est la chair le si beau fruit Et Ruissellement l’eau coule toujours quand elle se connaît de l’amour d’une fleur d’un parfum tout t’inonde et mes mains qui sortent de l’ombre… *** ->
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Créé le 1 mars 2002
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