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il se présente à vous.
J’emprunte aux sens l’inévitable
la charge du temps au seuil de l’être Ton odeur de passagère de l’âme tes draps tendus par l’alcool de tes gestes Mes mots sont faits de tes larmes recommencés sans cesse J’ai fait plier la bête et l’ai subjuguée j’ignore comment la terrasser Ce sentiment d’appartenir en moi à quelque chose de grand Est comme le goût de ta vulve (Décembre 2007) ******** ->
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Créé le 1 mars 2002
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