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il se présente à vous.
C'est comme si la chair n'était pas la chair ni les hommes homme Comme si la petite fille ou le vendeur de fruits du coin ou le vendeur de journaux, pour dire quelque chose étaient des déguisements prêts à tomber Comme s'ils n'avaient pas de chair, ni d'os, ni de langue Comme si la mort n'était pas la mort Être seul Essayant de pétrir de la glaise muette sanglante Sachant que dehors il y en a tant Il y en a tant *******
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Créé le 1 mars 2002
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