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il se présente à vous.
En mode jazz le vent traverse les cellules du corps. Mors aux dents, le sang heurte le revers des tempes. Les pieds touchent à peine le sol, l'homme dégringole la pente, saute, plane dans le vide, étend ses ailes au-dessus des prisons de la chair, de l'esprit. Il sait.
Il n'appartient pas aux parents de payer
Il ne peut comme samouraï suspendre le
Deux yeux dessinent dans le miroir un *** ->
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Créé le 1 mars 2002
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