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elle se présente à vous.
Ainsi il n’y aurait que l’apparence d’un rêve, loin de la consistance de la chair, comme une caresse qui n’oserait se poser, parce que tout peut se dissoudre. Il n’y aurait de réalité que dans le désir. Et qu’importe si on ne sait pas l’objet de ce désir. Mieux, il importe de ne pas savoir l’objet du désir. Sous peine d’amputer le rêve de sa part de réalité car, ô combien sont réelles les figures du rêve ! Combien sont intenses ses couleurs ! Amour, pourquoi as-tu un corps? Je ne puis plus rêver … ********
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Créé le 1 mars 2002
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