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elle se présente à vous.
Du temps perdu à déchirer la fleur un jour ne restera, desséchée, que la tige entre nos mains fanées et le silence, une dernière fois, nous offrira son nom. Et nous verrons-nous la toute première étoile ? Entends... Nos voix absentes à la chair des orages, ombres vives enfin se donneront un pardon de pain et ce savoir trop simple pour nos chemins de sel et de cendres: Seul le ciel est exact. ******* ->
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Créé le 1 mars 2002
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