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elle se présente à vous.
Tandis que nos doigts
désarpègent
Le chaos carmin de l'été La pluie martèle la marelle Des incohérences feutrées Il est trop tard à morte-rive Sous la véranda ajourée Elle est trop lente la dérive De nos alliances éthérées A l'heure où l'embarcadère Dénude son plastron lustré L'ourlet gracile de la mer Charrie nos ivresses luxées Il est trop tard à morte-digue Lorsque le ciel tait ses frissons Elle est trop blême la rengaine Que roucoule notre horizon *** ->
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Créé le 1 mars 2002
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