Vincent
Deyveaux,
sélection février 2009
il se présente
à vous.
Le contre-coup
Le contre-coup te laisse coi
il faut marcher sur un trait large
A gauche à droite des tempes
se greffe (et la tête tangue)
une marge
Les doigts interrogent
la seconde suivante
oublient les mains
Les murs deviennent remarquables
Le scaphandre réapparut
dans un lieu hostile
Je me suis raccroché,naif,
à une lettre
et j’ai remonté à la surface sale
(Ca ne devrait pas durer
Un peu plus se dévêtir
Le terrain va se meubler
La constante revenir)
Au coin de l’oeil,des plis
retiennent les jours où l’on a souri
(Dit-elle)
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