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Née en 1975, Camille
Dautremer a été dans une première vie musicienne professionnelle
pendant une vingtaine d’année. Concertiste et enseignante, elle est
également beaucoup intervenue dans les champs de la santé et du handicap.
Elle vit à Annecy et travaille aujourd’hui dans l’administration
culturelle.
Titulaire d’un Master
d’histoire de l’art ainsi que d’un Master de direction de projets
culturels, elle a notamment travaillé dans ce cadre sur les usages
politiques des pratiques poétiques contemporaines sous le prisme de la
pensée de Hanna Arendt.
En effet, ce qui fait
vivre Camille par-dessus tout c’est la poésie. Elle s’en nourrit, la poésie
l’augmente, lui est indispensable, même si elle ne sait pas à quoi (J.
Cocteau). Elle sait simplement que la poésie c’est comme les lunettes,
c’est pour mieux voir (J-P. Siméon), elle écrit, donc, pour mieux naître au
monde et tenter de vivre chaque événement quotidien dans les coordonnées de
l’éternité (E. Guillevic).
Elle a publié trois
recueils de poèmes aux éditions Encretoile (La
couleur du silence, 2024 ; Il faudrait lui dire,
2025 ; Mémoire maritime, 2025). Certains de ses poèmes ont fait
l’objet d’une exposition au Centre Hospitalier Annecy Genevois à l’occasion
du Printemps des Poètes 2025, en partenariat avec le photographe Jean-Yves
Dubost.
Elle a également contribué
aux revues Libres mots, Hespérie, Concerto pour marées et silence, Lichen,
Terre à ciel, au site Décharge et à l’anthologie numérique de poésie
féminine Poétesses8.
Instagram est devenu
depuis quelque temps déjà son carnet d’écriture partagée : https://www.instagram.com/dautremercamille/.
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