Liens & Événements Glanés
sur la toile quelques
ponts de signes |
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AVRIL-JUIN 2025
Événements / Sites
& revues en ligne Événements
Le 42e Marché
de la Poésie Paris, place St Sulpice, du mercredi 18 juin au dimanche 22 juin 2025 : demandez le programme ! Les manifestations jour par jour, le journal Marché des lettres, les participants – auteurs et éditeurs, revues… (sur le site https://www.marche-poesie.com/). Et aussi, les événements en marge du marché, au-delà même de ses dates d’ouverture, comme par ex. plusieurs soirées dédiées à la poésie palestinienne à diverses dates (16 juin, 24 et 25 juin, 26 juin) et en différents lieux. En effet, l’invitée d’honneur du Marché de la poésie 2025 est La Poésie Palestinienne, avec une délégation de 12 poétesses et poètes palestiniens, en référence à l’anthologie établie et publiée en 2022 par Abdellatif Laâbi (voir la chronique dans note revue, au numéro d’automne 2024). 1ère page du journal Marché
des lettres – n° 265 Sites & revues en ligne
La revue en
ligne Recours au poème –
n° 232 (mai-juin 2025) Ce numéro nous propose un Dossier – Poésie à l’Est, dont des Fleurs polonaises de Julian Tuwim (présentation
et traduction par Maja Brick), mais aussi, dans ce même cadre, la
poursuite des « enquêtes criminelles » menées par le poète Ara
Alexandre Shishmanian, ancien opposant au régime communiste en
Roumanie : ici, sous le titre I.P.
Couliano, la dernière victime, portant sur l’assassinat en 1991, à
l’Université de Chicago, de l’écrivain et historien des religions I. P.
Couliano, disciple de Mircea Eliade. Dans sa sélection de poésie, la revue dirigée par Marilyne
Bertoncini et Carole Cercillo Mesrobian nous offre cette fois des poèmes de :
Philippe
Tancelin, Danielle
Helme, Vincent
Lambert, Martin
Payette, Jean-Paul
Gavard-Perret, Louis
Bertholom, Gaël
Tissot, Stéphane
Mongellaz, Reha
Yünlüel. Dans le sommaire très riche de la revue on remarque aussi : un
entretien-rencontre avec Cécile
Oumhani, réalisé par Carole Mesrobian, un entretien avec Jean-Pierre
Siméon, par Grégory Rateau, les chroniques du veilleur par Gérard Bocholier
– ici, sur Marie Alloy, l’article dédié par Marilyne Bertoncini au dernier
recueil, avec un choix de textes en sa traduction, du poète italien Daniele
Beghè, trop prématurément disparu, un hommage à Jean
Lavoué par Ghislaine Lejard, une étude sur l’œuvre de Jean-Claude
Goiri, par Jean-Yves Guigot, une lecture, par Pierre Tanguy, de l’édition
des Lettres
à une jeune femme de Rainer Maria Rilke, une
présentation avec choix de textes du poète indien Deepankar
Khiwani (1971–2020), par Bernard Turle, et enfin, de nombreuses notes de
lecture, concernant des auteurs tels que Gérard Leyzieux, Valérie Rouzeau,
Lucie Grall, Sophie Loizeau, Domi Bergougnoux. Et une belle surprise pour nous : dans la rubrique Revue des
revues (numériques), à côté de Possibles
(lecture par Pierrick de Chermont), Ce
qui reste et Terre
à ciel (par Carole Mesrobian), une belle et très compréhensive
lecture du numéro de printemps de Francopolis
(par Carole Mesrobian également) ! On ne résiste pas à citer la fin de
ce bel hommage à notre revue, perçue comme « la poésie en
archipel » : « Pour la diversité de ses entrées (du
haïku filmé à l’essai érudit), pour sa mémoire vivante (des
centaines de dossiers disponibles en ligne), et pour cette façon singulière
de tisser sans hiérarchie la poésie et les arts, la création contemporaine et
la redécouverte patrimoniale, Francopolis incarne, en somme, une
francophonie poétique connectée, polyphonique et généreuse — un archipel que
l’on explore à la manière d’un atlas hypertexte, en se laissant guider par la
houle des liens. »
Merci, Carole ! (Dana Shishmanian) |
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JANVIER-MARS 2025
Événements / Sites
& revues en ligne Événements
Le
Printemps des Poètes 2025 est VOLCANIQUE ! Bien évidemment il ne peut y avoir question de faire écho ici ne
serait-ce qu’à une infime partie des milliers d’événements prévus dans
l’intervalle (14-31 mars) et qui se prolongeront sans doute au-delà. Mais
pour l’heure nous reproduisons ici quelques annonces de lectures, signatures,
manifestations organisées par nos amies et amis : Fatima Guemiah, pour L’Harmattan : Nicole Randon et les invités des Lundis
des poètes (Société des Poètes Français) : Marilyne Bertoncini et son voyage en poésie (faisant suite à l’embarquement poétique), à
Nice : Le Printemps
des poètes à la Maison
de la Poésie Jean Joubert de Montpellier Le Printemps
des poètes à la
Baleine Rouge à Sète Sarah Mostrel en signature « Dimanche 23 mars, 15h, à l'occasion du mois célébrant
les femmes (et après le 8 mars, journée de leurs droits fondamentaux), je
serai en signature avec mon essai Femmes inspirantes (éd. Non Nobis)
lors de l'expo 4Art "Drôle de dames" à l'espace des Blancs
manteaux (mezzanine sud). Ce beau livre sera aussi présent. » Maria
Desmée au Musée Jeanne d'Aboville. Maria Desmée
met les poésies en peinture dans ses livres d’art au musée Jeanne-d’Aboville : article paru dans l'Aisne
nouvelle et aussi dans l'Union.
L’exposition
est ouverte du 1er au 29 mars (de 14h à 17h30). Les actualités des éditions
Rafael de Surtis En 2025 nous poursuivons la fête du
Centenaire du Manifeste du surréalisme, et restons plus que jamais dans la
fête en poésie... Du 28 février au 3 mars, les éditions
Rafael de Surtis sont au 20e festival de la Parole Poétique « Sémaphore » à
Moëlan sur Mer (29). Paul Sanda sera sur scène pour une performance autour du
livre édité par nos soins « Rouilles & Diamants, le chant de Joan Baez ». Du 7 mars au 19 avril, exposition « La
Nuit & ses Prestiges » à la Médiathèque du Pays Cordais de Cordes sur
Ciel... Les collages de Rafael de Surtis illustrent les textes d’Aloysius
Bertrand. Un ouvrage préfacé par Paul Sanda, postfacé par Marc Petit et par
Bernard Schürch. Vernissage le vendredi 7 mars à 18h00, avec une conférence
de Paul Sanda sur Aloysius Bertrand et sur les poètes symbolistes qui, depuis
le XIXe, ont inspirés les surréalistes... Le 2 mai, à la Médiathèque du Pays
Cordais de Cordes sur Ciel, dès 9h00, Arnaud Marquet tentera de battre le
record du monde Guinness au piano, en jouant 840 fois le morceau d’Erik
Satie, intitulé « Vexations ». Nous accompagnerons Arnaud toute la nuit et le
lendemain pour fêter l’éventuelle victoire sur le record à 20h00 environ ; ce
sera donc le samedi 3 mai. Le vendredi 4 juillet, à la Médiathèque
du Pays Cordais de Cordes sur Ciel toujours, nous vous invitons à une
conférence à 18h00 sur le Transcendantalisme Américain, animé par François
Dutrait. (Dana Shishmanian &
Éric Chassefière)
Sites & revues en
ligne
La revue en
ligne Recours au poème –
janvier-février 2025 Dans ce numéro de printemps, la revue numérique dirigée par Marilyne
Bertoncini et Carole Cercillo Mesrobian nous offre avant tout, comme à chaque
édition, une belle sélection de poésie – et c’est un vrai régal que de
(re)découvrir ces poètes, dont on ne peut s’abstenir de citer quelques vers
qui vous accrochent et vous poursuivent : Ne pas disparaître. Affronter l’heure
nue, la sentir peser sur la peau comme
une lame, sans fuite, sans rêve creux, sans ces échappatoires tissées d’ombres. Laisser l’instant cogner, qu’il frappe jusqu’à l’os, qu’il creuse dans la chair ses racines
brûlantes, sans esquive, sans détour. Du poème considéré comme acte
révolutionnaire nous exigeons ceci : un nouvel Il pleut un ciel en écharpe : mouise des langues marécageuses ou firmament de combat mais lequel (…) Au-dedans de soi au-dehors de moi ni ne commence ni ne s’achève… IL N’EST QU’UN RÊVE Des oiseaux sur un rivage roux parfois tu
rôdes loin de
toi tes
traces vacillent errance
entre les mots tu réclames les ombres glanes
des miettes d’enchantement Sylvestre
Clancier, L’ÊTRE EN QUESTION QUESTIONS DE LETTRES – Abécédaire
existentiel et symbolique : Attire Tu avais
du mal à rentrer dans la danse Philippe Tancelin nous plonge aussi dans
une très inspirante réflexion sur les relations intimes qu’entretiennent
entre eux le
théâtre et la poésie dans la mesure où est mise en scène la parole –
de part et d’autre : auteur-acteur/lecteur-spectateur : « Le
théâtre confronte ainsi l’idée d’Homme, avec la représentation qu’il
s’en fait... » Dans les critiques, nous remarquons une
belle lecture de la poésie
de Jean-Pierre Otte, par Jacques Vernant, une chronique aux recueils de
deux jeunes auteurs, Romain
Frezzato et Benjamin Porquier publiés aux éditions de la Crypte, par
Jean-Christophe Belleveaux, une autre, sur trois auteurs des éditions
PO&PSY : Gerald
Vizenor, Ouladzimir Stsiapan, Guilhem Fabre, lus par Daniele Faugeras, un
passionnant essai sur L’œuvre
poétique de Marc Alyn : un itinéraire alchimique, par Béatrice
Bonhomme, ou enfin, la Chronique du veilleur (58) de Gérard Bocholier, sur Guillaume
de Pracomtal. Mais aussi les chroniques Bertrand
Belin, La Figure, par Rémy Soual, Isabelle
Lévesque, Passer outre, par Jean-Christophe Belleveaux, Marie-Clotilde
Roose, En minuscules, par Philippe Leuckx, Giuliano
Ladolfi, Le
Journal de Didon / Jurnalul Didonei (traduction en roumain Sonia
Elvireranu), par Michel Herland. Une revue des revues complète ce panorama
(notamment sur Les
hommes sans épaules, La forge, Arpa). Deux dossiers d’investigation complètent
ce riche numéro. Béatrice Machet continue son exploration REGARD
SUR LA POÉSIE « NATIVE AMERICAN » (avec, cette fois, une présentation et
des extraits de l’œuvre poétique de Mikhu Paul). Alors qu’Ara Alexandre
Shishmanian nous dévoile les basses œuvres criminelles d’un régime révolu, en
Roumanie communiste, en enquêtant sur l’assassinat d’un grand prosateur,
l’auteur du roman-fresque Le plus aimé des terriens (non traduit en
français) : Marin
Preda – le plus haï des écrivains. La revue et l’édition
Poétisthme Une (encore)
toute jeune revue créée en 2018 et arborant un « programme » iconoclaste
qui nous ravit ! On se rappelle avec joie qu’on a fêté à peu-près à sa
naissance, le centenaire de l’avant-garde ! Un relent de Tristan Tzara
plane dans l’air… « POÉTISTHME n'a aucun
objectif, sa périodicité est “chaotique”, sa forme mouvante et son contenu
Ouvert. POÉTISTHME ne refuse rien
ni personne, c'est un champ libre et horizontal où germe l'expression de(s)
monde(s) singulier(s) aux destinations convergentes. POÉTISTHME tient son sens
et son existence de l’Exploration du réel et de la Relation entre nos
devenirs. POÉTISTHME est une
proposition poétique à l’épreuve du chaotique : elle n’a pas de manifeste –
elle se manifeste. Elle tente d’établir un langage-isthme pour
convaincre sans contraindre qu’il y a d’autres évidences, d’autres possibles
que ceux usinés par les pouvoirs, pensées hégémoniques et langues policées.
C’est un creuset où chacun est invité à calciner ses préjugés sans préjudice
pour découvrir autre chose. Le poétisthme est un isthme où
peuvent se (re)joindre nos demains. C’est un langage dont la signification
est en suspension pour constituer un horizon ouvert à toutes les voix, à tous
les vivants. Le travail du langage engagé à chaque numéro ne connaît pas de
point final : il s’accorde avec la mouvance de l’expérience vécue. Cette revue tente donc d’être un hermès au
carrefour des langues ; un point de repère qui les accueille en vue d’en
faire la synthèse et ainsi créer un langage venu de chacun et donné à tous
pour formuler notre commune présence. » Les numéros parus dont aussi des hors-série,
qui se donnent tous une allure thématique (comme Friches, Non, Majuscule,
Terre, Air, Eau, Feu, Jaune, Isthme, …) sont en accès libre: LES NUMÉROS - POÉTISTHME. La revue se dote aussi d’un complément en
édition numérique, en mode auto-service « sur l’étagère », dont
nous avons pu profiter pour avoir le double, en format électronique, du
splendide livre imprimé (sur papier glacé) d’Anne Barbusse – Loan Diaz – Louis
Ausquichoury : ohitza (Poétisthme, été 2024, 20 €),
dont voici la petite histoire, racontée par Anne : « Ce sont des textes co-écrits
avec Loan Diaz sur une proposiiotn qu’il m’a faite (car il savait que
j’écrivais sur l’image, de cinéma ou autre), d’écrire à partir de photos de
tourisme du début des années 60 ou 70, les photos lui étant léguées par Louis
Ausquichoury (…) J’ai écrit sur les photos, puis Loan a écrit lui aussi après
que je lui ai confié mes poèmes. Textes et photos se font écho, à travers
regards différents, d’époques aussi différentes. » (Anne Barbusse, lettre personnelle). « La rencontre par la poésie et par l’image, si l’on veut, mais
cette rencontre ne vaut que parce qu’elle est imaginaire, dépouillée
d’intention. Des femmes et des hommes vivent ; Louis Ausquichoury les saisit
et se raconte leur histoire ; Anne Barbusse voit les images et en écrit
l’histoire telle qu’elle se la raconte ; Loan Diaz lit les poèmes et
leur répond, avec sa propre histoire ; le lecteur traverse le recueil et
se raconte à son tour son histoire. » (Extrait de l’avant-voir de David
Paigneau.) Lire aussi la chronique
de Patrice Maltaverne sur Poésiechroniquetamalle
(13 octobre 2024), et le cycle d’articles paru dans la revue
FRAGILE : Tous deux - entre-deux (Loan Diaz) Trois
générations, six yeux : un regard neuf (Anne Barbusse et Loan Diaz) Où suis-je
? C’est ce que j’appelle être arrivé (Kévin Balouin) La revue en ligne RAL,M
(Le Chasseur Abstrait) Dans
sa riche et foisonnante revue hebdomadaire en ligne (RAL,M pour : Revue
d’Art et de Littérature, Musique), Patrick Cintas nous offre des chroniques à
de nombreuses nouvelles parutions (sous sa propre plume ou signées par des
collaborateurs fidèles tels que Jean-Paul Gavard-Perret et, depuis quelques numéros,
Catherine Andrieu, ), des récits et nouvelles, des poèmes (dont Catherine
Andrieu, Jean-Michel Guyot, Gilbert Bourson, Pascal Leray, Robert Vitton…).
Et aussi des livres électronique, ainsi le recueil "sur le rivage où les
étoiles" de Catherine Andrieu, préfacé par Paul Sanda:
https://www.lechasseurabstrait.com/revue/spip.php?article23958. Le blog Couleurs poésie Créé et animé par Jean Dornac, ce blog se
présente comme une revue en ligne, avec des contributions créatives et
critiques : l'écriture, poésie, romans, théâtre, articles politiques et
de réflexions... Parmi les contributeurs : Jean Dornac ;
Michel
Bénard ; Béatrice
Pailler ; Claude
Luezior ; Nicole
Hardouin ; Jeanne
Champel Grenier ; Eliane
Hurtado ; Sonia
Elvireanu ; Bernard
Delpech ; Barbara
Auzou ; Gérard
Leyzieux ; Kathleen
Hayden-David ; Abderrahmane
Zakad. Parmi les parutions depuis janvier nous
signalons : la chronique de Michel Herland au volume d’Ara
Alexandre Shishmanian, La Létale de la lune, deux poèmes d’Ara en version
bilingue français-anglais (traduction en anglais : Flavia Cosma), la
chronique de Claude Luezior au recueil Aires
de vent, de Gérard Le Goff
(Éditions Encres Vives, Collection Encres Blanches No 835, hiver 2025),
l’annonce du recueil Palindromes au carré de
Gérard Leyzieux, ou enfin l’émouvant poème Dans la
foret blanche d’Ukraine de Jeanne Champel Grenier. Les
Belles phrases,
le blog littéraire d’Éric Allard Un riche éventail de lectures-chroniques signées par des
collaborateurs assidus parmi lesquels Philippe
Leuckx, Sonia
Elvireanu, Jean-Michel
Aubevert, Claude
Luezior, Nicole
Hardouin, Barbara
Auzou, Christophe
Pineau-Thierry, Éric
Allard. Le Lieu improbable
(rencontres de la poésie et des arts) Créé et animé par la poétesse, écrivaine et
artiste peintre Alena Meas (nombreuses présences à Francopolis), le Lieu
improbable – aussi bien virtuel que réel – réunit tous les 2-3 mois des
poètes et artistes à l’atelier d’Alena ou ailleurs, pour des lectures
poétiques et performances artistiques et musicales. Sur le site, parmi les derniers articles,
des entretiens réalisés par Alena avec ses amis poètes et peintres : Laurent
Lardinois, Benoît
Sudreau, Briac,
et des lectures-chroniques, dont nous remarquons tout particulièrement celle
de Silvia
Majerska au dernier recueil de poèmes d’Alena Meas, Pour
toi (éditions Unicité, janvier 2024). La revue Le Littéraire : entretien avec
Eva-Maria Berg Éloge
de la sagesse : entretien et présentation réalisés par Jean-Paul
Gavard-Perret, en marge du recueil Eva-Maria Berg, Philippe Barnoud &
Aurélie Dekeyser, Murs Murs La ville chuchote, éditions Pourquoi
viens-tu si tard ?, 2025 (78 p., 15 €). « Eva-Maria Berg est poète. De langue allemande, elle publie
également en français, anglais et espagnol. Et rien de mieux pour la définir
que ces quelques mots (précieux) : "Le partage, le côté humain
est pour moi l’essentiel dans la vie et dans la poésie." Son écriture est
rare car elle est dense sobre pour traduire sa sensibilité, sa porosité au
monde, le tout enrichi d’interrogations et de réflexions. Sa poésie s’ouvre à
des dialogues multiples : avec les poètes qui traduisent ses textes et celles
et ceux qui sont peintres, photographes, musiciens, performeurs ou
danseurs. » (Jean-Paul Gavard-Perret) Voir aussi la chronique
à ce recueil par le même auteur, toujours dans Le littéraire. (Dana Shishmanian) *** La
revue L’Altérité La revue littéraire en
ligne l’Altérité, tenue par Hervé Rostagnat, se destine : • À créer un site d'échange d'idées, une sorte de club de réflexion à travers
la publication de textes portant sur des thématiques propres à mieux
comprendre notre monde ; et de former ainsi un espace sans frontières entre
la littérature, la philosophie, l'économie et toute autre discipline puisant
son authenticité dans l'histoire de l'homme, à laquelle des modèles
quantitatifs et rationnels souhaiteraient substituer un homme sans histoire.
L'accès à cet espace de publication de chroniques est gratuit pour tous les
internautes désirant nous rejoindre. • À mettre à disposition une maison d'édition en ligne très impatiente
de connaître et de faire partager une production littéraire variée :
manuscrits oubliés dans un tiroir, écrivains encore anonymes, talents cachés,
mémoire évoquée, essais, romans épistolaires, chroniques littéraires ... Beaucoup de poésie en ligne. Un tri par auteur est possible. On
trouvera dans la rubrique « Nos publications » les derniers
articles : poèmes, recueils de poèmes, chroniques, etc… La revue Poetiquetac Voici ce que nous en dit la
responsable, la poète Claire Raphaël (www.claire-raphael.com) : « Poetiquetac est une revue numérique de
poésie très contemporaine. Elle se propose d’apporter un éclairage sur
l’œuvre d’auteurs reconnus par le milieu littéraire et d’ouvrir ses pages à
de nouveaux poètes. Elle vise à donner à lire en présentant des œuvres
publiées qu’on pourra commander en librairie ou chez l’éditeur, et en
exposant les travaux de poètes parfois très jeunes, dont le travail mérite
d’être encouragé, car il faut certainement de la détermination pour
construire une œuvre poétique à une époque où la littérature est centrée
quasi exclusivement sur le roman. Elle met en valeur une poésie portée par un
regard, un regard sur soi-même ou sur le monde, un regard parfois brut,
parfois doux, toujours aiguisé par la passion. Elle privilégie donc une
poésie qui porte une vision et un sens, au travers d’une voix structurée par
un rythme et une sonorité. » La revue est à télécharger
gratuitement sur le site. Poèmes, chroniques, annonces de parution, de prix
littéraires etc… se partagent la cinquantaine de pages de chaque numéro. (Éric Chassefière)
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mars 2002
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