Mars-Avril
2021
Une Vie, un
Poète :
Malcolm de
Chazal – vu par Jeanne Gerval ARouff
(*)
« La conscience androgyne couplée
à l’ascèse enfante chez le poète un psychisme prodigieux où l’Être est
parole créatrice, fluidité spontanée fabuleusement puissante. L’être devient parole (Bachelard).
Le verbe est vie. Il exprime sa vérité intime et éternelle. « Cet arbre que je crée est immortel.
C’est mon verbe », écrit Chazal.
(extrait
de Malcolm de Chazal, Mage
mutant, communication de Jeanne Gerval ARouff, au colloque
international pluridisciplinaire Malcolm
de Chazal : hier et demain, Port-Louis, 10-13 septembre 2012,
publiée dans Francopolis en septembre
2014).
« Pourquoi écrire ? Eh bien, parce qu’il faut que
l’arbre donne ses fruits, que le soleil luise, que la colombe s’accouple à
la colombe, que l’eau se donne à la mer, et que la terre donne ses
richesses aux racines de l’arbre.
Pourquoi écrire ? Mais afin de se donner. Et le don
enrichit. Cette "richesse" grandit la personnalité. Et l’on
monte. Où ? En soi-même. J’ai nommé la délivrance. Il n’y a pas
d’autre forme de libération. »
(extrait
d’un texte publié par Malcolm de Chazal dans Le Mauricien du
14 octobre 1961, cité dans Malcolm
de Chazal. REFLEXIONS INEDITES ET CONTES.
Textes choisis et présentés par Robert Furlong, Port-Louis, L’Atelier d’écriture, 2011)

Malcolm de Chazal, Dodo solaire, gouache, [1973] (exposée à Gallery 101, Rand
Central, Johannesburg – 16th July, 1973) : reproduction
d’après le site Art Archives –
South Africa
|
Jeanne Gerval ARouff, Le Dodo humain
: le guetteur, 1994 (Collection privée, Bambous, Maurice)
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(*)
Les deux
textes de Jeanne Gerval ARouff reproduits ci-dessous font suite à sa
communication, alors inédite, sur Malcolm de Chazal que nous avons publiée
dans cette rubrique même en septembre
2014, et font par ailleurs partie d’un ensemble de
textes d’elle (dont des lettres adressées à Malcolm, du vivant du maître et
d’après). Ils font état d’un accompagnement fidèle et
créatif : le compagnonnage fertile et enrichissant d’une artiste-écrivaine
engagée sur le même chemin de l’« émerveillement ». « Guettant
de l'œil ouvert amusé du ‘Mage’, un éclairage... de l'Absolu qu'il a
rejoint », comme elle le dit. Preuve, s’il en faut, la toute
récente publication de Jeanne, Éloge de l’émerveillement, que nous
saluons à la rubrique Vue de
francophonie de ce même numéro.
Le premier texte publié ici est une « lettre à
Malcolm » datant de décembre 2002, que son auteure a incluse dans une
publication dont elle a assuré la conception et le suivi de la réalisation,
mission confiée par Dr. Sheshcoomar Seetohul, président de la National Art
Gallery de l’Île Maurice, dont elle était devenue membre du Comité
de Direction (fonction qu’elle allait remplir pendant trois ans). Il s’agit
de Carnet pour Malcolm de Chazal, livre d’art de 420 pages réalisé
dans le cadre de la célébration du 100ème anniversaire de la
naissance du peintre-poète-philosophe mauricien (12 septembre 1902 – 1er
octobre 1981). Jeanne Gerval ARouff a
également contribué à cet ouvrage en écrivant la présentation de Malcolm de
Chazal et en y insérant le portrait qu’elle avait réalisé de
lui et qui est reproduit ci-dessous.

Jeanne Gerval
ARouff, Pour Malcolm - L'Œil de la
perception, 24.01.03
(portrait
sur fond de lettres d’imprimerie inclus dans Carnet pour
Malcolm de Chazal,
National Art
Gallery, Port-Louis, 2003)
Le texte intitulé Lettre 5 à Malcolm est donc une des contributions directes de Jeanne Gerval ARouff au sommaire
de ce livre rare, qui, non mis en vente, n’a été distribué qu’en un nombre
restreint d’exemplaires, notamment lors du vernissage d’une
exposition des œuvres du maître à la NAG, le 31 mars 2003 à Port-Louis – la
réalisation de cette exposition étant en grande partie due à Jeanne, qui a
été responsable de la recherche d’originaux des tableaux de Malcolm de
Chazal.

Le carton d’invitation au lancement du Carnet
pour Malcolm de Chazal lors du vernissage de l’exposition, le 31 mars
2003
Le
second texte publié ci-dessous, intitulé « Sens Plastique »
ou Malcolm dans tous les sens, est paru dans le quotidien mauricien
L’Express du 1er septembre 2003, quelques mois après
l’exposition susmentionnée ; nous avons pu retrouver l’intégralité de
cet article dans l’archive numérisée du journal disponible online (https://www.lexpress.mu/article/sens-plastique-ou-malcolm-dans-tous-les-sens).
Dans
les prochains numéros de Francopolis nous poursuivrons ce périple à la
(re)découverte de ce grand esprit îlien et universel du 20e
siècle, à travers les yeux d’un autre grand esprit îlien et universel, qui
passe le flambeau au 21ème.
D.S.
|
Lettre 5 à
Malcolm
(dans Carnet
pour Malcolm de Chazal, National Art Gallery, Port-Louis, 2003)
L’Île
Maurice, votre terre natale, trop étroite pour votre vastitude, Cher
Malcolm, ne sut pas reconnaître en votre heure, son peintre, poète et
philosophe de génie. Cette douloureuse expérience, Vous la rappelez en ces
termes : « Sens Plastique fut édité rue de l’Église à
Port-Louis par Thomy Esclapon, qui fut dans la circonstance un héros. Parce
que quand le livre parut, ce fut un grand éclat de rire dans le pays. C’est
le livre d’un fou ! s’exclama-t-on de partout. Les calomnies à
l’appui, ce fut L’OBSTACLE. Depuis, je n’ai connu dans mon pays qu’une
opposition, qu’un refus qui auraient pu me briser, qui durent, cachés mais
toujours, frénétiques. »(1)
G.
André Decotter, un des rares « esprits excellents » qui
comprirent alors votre œuvre, écrit : « Au-delà de la mort,
Malcolm de Chazal reste la légende de son temps. Une légende qui prendra
toute sa dimension dans dix ans, dans vingt ans peut-être, quand des
esprits nouveaux analyseront son œuvre écrite et son œuvre peinte. »(2) Ainsi, après vous avoir ri au visage et
ignoré pendant un demi-siècle, l’île se rachète de ses calomnies. Elle
célèbre, enfin, ‘son’ génie. Elle s’enivre au rythme de sa célébration du
centenaire de votre naissance. Revues spécialisées, quotidiens, presse
audiovisuelle, conférenciers, écrivains, chercheurs, cinéastes… tous s’y
mettent.
On
a revu, émerveillés, vos paroles mises en images par Claude-Roland(3),
L’Île Magique de Malcolm de Chazal. Que je nomme L’Île Maurice
féérisée. Comme indiqué dans ma lettre du 5 décembre, le Blue Penny
Museum a, durant deux mois, exposé vos gouaches aux visiteurs d'ici et
d'ailleurs : Malcolm en Bleu. Des lycéens s'ouvrent à votre
œuvre, tant littéraire que picturale. Ils en proposent leurs interprétations
au long d'une Promenade dans le monde merveilleux de Malcolm de Chazal.
Bien des plasticiens se réclament aujourd'hui de vous : Malcolm et
Nous. L'Alliance Française présente Couleurs, vos gouaches, dont
certaines transposées en tapisseries, des objets-fée, des ateliers
de poterie et de sérigraphie pour enfants...le premier Musée-Malcolmland
miniature est né. Grâce à Héléna(4) des premières heures.
Le
Parlement vote un Malcolm de Chazal Trust Fund pour donner corps à
de multiples projets : musée, galeries, conférences, études, livres
...La Rue du Vieux Conseil à Port-Louis est rebaptisée Parcours Culturel
Malcolm de Chazal. S'associant aux célébrations, la National Art
Gallery publie un Carnet pour Malcolm. Une gouache transposée en
tapisserie et un choix divers de vos propos s'y retrouvent. Des pages
blanches invitent le lecteur à y insérer d'autres citations de l'auteur, ou
encore à y confier ses propres réflexions.
A
Paris, ce fut l'inverse. À la sortie de Sens Plastique, l'on cria au
génie. Mais, ce fut un feu de paille. Ce déclin soutenu vous aura laissé
une plaie profonde. Et vous direz de ce même Jean Paulhan qui vous sacra génie :
« Jean Paulhan était un littérateur donc un butineur. Ce
papillonnement c'est tout Paris - Le brillant prime sur le profond. »(5) Mais aujourd'hui, cher Malcolm, on Vous
célèbre aussi ‘là-bas’. Comme ‘ici’. Presses de toutes sortes, conférences,
livres, expositions... Hommage vous est aussi rendu ailleurs, comme en
Inde. En somme, 2002, c'est L'ANNEE CHAZAL.
Il
arrive, par ailleurs, pour vous rendre hommage et vous faire découvrir par
les jeunes, que l'adulte soit tenté de peindre "à la manière de
Malcolm de Chazal." Qu'en diriez-vous ? Votre propos du Samedi 6
mai 1972 dans les colonnes du Mauricien nous remonte en mémoire.
« ...Toutes les formes d'art peuvent être imitées, parce qu'elles
partent d'une école, d'une chapelle. L'art de l'innocence n'a pas
d'origine. L'art de l'innocence EST L'ORIGINE. On pourra emprunter à
l'art de l'innocence SA MANIERE. Mais cela est facilement décelable.
Et ça ne produit rien. »
L'engouement
entraîne une certaine Chazalemanie. Le Week-End du dimanche 24 novembre
2002 rapporte qu'"à l'issue" d'un "atelier chazalien"
prodigué aux maternelles, pour leur apprendre à "s'exprimer à la Malcolm",
une sélection de la "quarantaine d'œuvres" recueillies sera faite
"en vue d'une exposition prévue en 2003..." L'on apprendrait à
des "maternelles" à peindre "comme Malcolm". On leur
dévoilerait vos arcanes. Apprend-on à l'enfant à être Chazal ? Ne le
porte-t-il pas en lui, comme Chazal porte en lui l'enfant ? Que
deviendront ces innocents à l'identité faussée ? Fauchée ? Que
fera-t-on d'une île Maurice aux mille Chazal ?
Île
Maurice - 18 décembre 2002.
(1) Sens Unique - Les
Éditions Le Chien de Plomb-p.7.
(2) Pour Mémoire - Une Anthologie du
Souvenir p.311.
(3) Claude Roland Sauzier, photographe et cinéaste.
(4) Héléna Langlois.
(5) Le Pré-Natal 1976 - De la
collection personnelle de Jeanne Gerval ARouff.
©Jeanne Gerval
ARouff
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« Sens
Plastique » ou Malcolm dans tous les sens
(dans
L’Express, 1er septembre 2003)
Deux événements se
chevauchent, qui mettent Malcolm de Chazal, poète, peintre et philosophe
mauricien, au premier plan de l’actualité. Il s’agit du Concours de
dissertation : J’ai rencontré Malcolm organisé par le Malcolm
de Chazal Trust Fund Board. Et du lancement, titré Donner des ailes à
Malcolm, par Air Mauritius et Khal Torabully, poète et cinéaste, d’une
réédition de Sens Plastique parue chez Gallimard. Œuvre qu’ils
pensent être représentative de la pensée chazalienne. Ils prolongent ainsi
la célébration du centenaire de sa naissance, commémoré l’an dernier (12
septembre 1902-1er octobre 1981)(1).
Malcolm en
direction des autres. Pour sa première activité, le Malcolm de Chazal Trust
Fund Board ne pouvait mieux choisir : un concours de dissertation, destiné
à des Mauriciens âgés entre 15 et 21 ans, et intitulé J’ai Rencontré
Malcolm, invite en effet à mieux connaître l’homme. Le mot
"Rencontre" peut être lu à différents niveaux : physiquement,
poétiquement, métaphysiquement. Nous voudrions attirer le plus grand nombre
de jeunes vers notre ambassadeur littéraire unique. Car si nous en avons
d’autres, il est le seul de sa trempe, par son originalité, sa pensée, sa
vision, dira Lilian Berthelot. Ainsi : les textes imprimés, d’environ
3 500 mots, doivent être rédigés en français et envoyés avant le 27
septembre 2003 à La Secrétaire, Malcolm de Chazal Trust Board, Ministère
des Arts et de la Culture, 7e étage, NPF Building, rue Maillard,
Port-Louis. Un prix unique de Rs 25 000 récompensera le gagnant.
Si l’œuvre de
Malcolm de Chazal demeure pour beaucoup hermétique, elle contient, malgré
tout, des textes fort abordables. L’Ile du Dodo en l’an 2000 en est
un.
Cette œuvre,
inédite jusqu’à septembre 2002(2), a été révélée dans Malcolm de Chazal
en perspectives. Édité par L’Association des diplômés de l’enseignement
français (AMDEF), sous la direction éditoriale de Shakuntala Boolell,
Hélène Laprévotte, et Danielle Tranquille, le livre fut lancé le 13
septembre 2002, au lendemain du centenaire de la naissance de Malcolm.
Évoquer ici L’Ile
du Dodo en l’an 2000 a pour but avoué d’aguicher le jeune lecteur, de
le lancer à la rencontre de Chazal. De le prendre par le merveilleux, et la
fibre patriotique. Il y verrait aussi la pertinence de l’auteur. Ne
comptant que quelques pages, la vision de Malcolm y est, pourtant, des plus
tangibles. Voilà qui ne rebuterait pas l’éventuelle velléité de certains.
C’est dire aux jeunes qu’ils ne se laissent pas rebuter par certaines
étiquettes. De plus, ce texte, comme bien d’autres, est aussi attrayant par
son caractère légendaire, mythique et prophétique. Ils apprécieraient tout
autant sa vision politique, son attachement à son île, à son développement,
et à celui de ses compatriotes ; comme de l’Humanité. Une constante de
son œuvre intégrale. La recherche personnelle du jeune élève lui révélerait
bien d’autres ; les Contes, par exemple. Les journaux sont, à eux
seuls, une vraie mine d’or. Chazal a collaboré pendant des décennies aux
grands quotidiens de l’île. Le style de ses chroniques est fort simple,
mais non dénué de féerie. Il y décline, entre autres, sa théorie de la
robe-fée, de la tapisserie-fée, des objets-fée. Sa peinture est aussi une
autre voie d’accès à l’homme et à son œuvre. Il y en a pour tous les goûts.
Il suffit de vouloir chercher. Bonne rencontre.
« Sens
Plastique » raconté à ma petite-fille. Cela se
passait à l’île Maurice. Tu n’étais pas encore née. Il y avait un Monsieur
que tout le monde appelait Malcolm. C’était un homme-enfant. Il vivait
d’une manière très spéciale. Il connaissait beaucoup de choses. Il écrivait
beaucoup aussi. Pour partager avec les autres ses pensées, ses proverbes,
ses images. Tous très beaux. Rapportés d’un pays spécial, comme lui. Un de
ses livres se nomme « Sens Plastique ». C’est quoi « Sens
Plastique » ? Tu vois, tu touches, tu goûtes, tu sens, tu
entends. Tu as donc cinq sens. Disons qu’ils habitent chacun un pays : tes
yeux, tes mains (ton corps), ta bouche, ton nez, tes oreilles. Et si tu
avais un autre sens, qui te permettrait, à la fois, de voir, de toucher, de
goûter, de sentir, d’entendre, cela te ferait un sixième sens. Lui, n’a pas
de pays bien à lui. Mais il est dans tous les pays en même temps. Tu
avoueras que c’est magique ! C’est cela le « Sens Plastique ».
C’est ainsi que Malcolm nomme cette faculté, cette capacité merveilleuse.
Ce « Sens Plastique » t’aurait permis de connaître, disons ce
caillou, sous tous ses aspects, de tous côtés, en un instant. Cela te
ferait « co-naître », en somme, le caillou. Co-naître signifie,
veut dire, naître avec. C’est comme si tu devenais le caillou, et lui
devenait toi. Cela, en même temps. Il n’y aurait pas de secrets entre vous,
lui et toi. Ainsi, tu pourrais tout connaître autour de toi. Tu serais dans
la vie. C’est une richesse qu’aucun argent ne peut acheter. Il faut en
faire l’expérience ; c’est-à-dire la vivre. Mais, je suis sûre, que si
tu avais les mots, tu me dirais que c’est ainsi que tu vis. Ne t’ai-je pas
vue tenir le coquillage que je t’offrais entre tes trois doigts, le pouce,
l’index, le majeur, et les promener sur sa surface, comme si tu le
buvais ? Tu me faisais voir ses deux faces. Comme pour me dire :
« Tu vois ? Ici c’est rugueux. Là c’est lisse ». Voilà pourquoi
Malcom dit que les yeux des enfants sont toujours « au pays
des fées », celui du « Sens Plastique », de tous les pays à
la fois. Qu’ils le comprennent mieux que les grandes personnes.
Malcolm,
lui, a su retrouver cette faculté des enfants de ton âge. C’est que les grandes
personnes, tu vois, croyant tout savoir, s’empressent à juger : c’est grand
; c’est beau ; c’est méchant. Au lieu d’être dans la vie. De co-naître
l’autre. Écoute ce qu’écrit Malcolm dans son livre « Sens
Plastique » : « Brise dans une même direction fait
chanter le feuillage. Vent qui joue à cache-cache dans les feuilles fait gazouiller
la feuillée, et donne à la plante des rires d’enfant. »
©Jeanne
Gerval ARouff
(1) Jeanne
Gerval ARouff a participé à cette commémoration avec plusieurs articles
remplissant les deux pages « Culture » du quotidien L’Express
du 9 septembre 2002 (qu’on peut voir dans la photo ci-dessous),
notamment :
- "Malcolm de Chazal ou l'essence unique" (p. 11) ;
- "Chazal, en vers et contre tous : « Le
Pré-Natal » ou la Genèse selon Chazal ; "L'île du dodo en l'an
2000 : entre imagerie biblique
et mythologie lémurienne", et
"Bibliographie" (p. 12).
(2) L'île du dodo en l'an 2000, texte
jusqu’alors inédit de Malcolm de Chazal, qui faisait partie de la
collection personnelle de Jeanne Gerval ARouff, a été rendu public par ses
soins, étant offert par elle, par le biais de Robert Furlong, à l'AMDEF
(Association des diplômés de l'enseignement français) pour la
publication dans Malcolm de Chazal en Perspectives, Port-Louis, 2002, livre hommagial auquel elle a participé.
(notes par D.S.)
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Cette photo, prise par Marcel Lindsay
Noë en 2006, lors de l’exposition Autour
de Malcolm (Malcolm de Chazal Art Gallery, Lake Point – Curepipe, 8-26
mars 2006), représente Jeanne Gerval ARouff à côté de son œuvre Un basalte nommé Malcolmsmok, exposée à cette occasion.
Sur le mur on peut voir les 2 pages
du cahier "Culture" de L’Express du lundi 9 septembre 2002 contenant
des articles d’elle sur Malcolm de Chazal, et, suspendu, le livre d’art Carnet pour
Malcolm de Chazal, lancé et distribué le 31 mars 2003.
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Une vie, un
poète
Malcolm de
Chazal / Jeanne Gerval ARouff
Francopolis
mars-avril 2021
Recherche
Dana Shishmanian
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