LECTURE - CHRONIQUE
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LECTURES – CHRONIQUES
– ESSAIS Été 2025 Le Maurice
Blanchard de Pierre Peuchmaurd (*) Par
Michel Herland |
Maurice Blanchard affirme le désert pour le
peuple. Toute la
vie jetée aux mots enragés, aux mots à face humaine. Paul Éluard
(1) Voici un an, Francopolis
accueillait un article consacré à Pierre Peuchmaurd
(1948-2009), poète prolifique, figure du nouveau surréalisme (2). Les poètes
sont nourris d’admirations diverses pour leurs pairs. Ainsi Pierre Peuchmaurd avait-il souhaité rendre un vibrant hommage à
l’un de ses aînés de la première génération surréaliste, Maurice Blanchard
(1898-1960), dans un ouvrage de la collection « Poètes
d’aujourd’hui » (Seghers, 1988). Ce livre est désormais réédité (avec un
nouveau titre) par les soins de l’éditeur Pierre Mainard, après d’autres
textes du même Peuchmaurd (*). Qui connaît Maurice Blanchard
aujourd’hui ? Une petite poignée d’amateurs sans doute, puisque connu il
ne le fut déjà guère de son vivant. Être apprécié, loué, reconnu comme égal
par des très grands (Éluard, Bousquet, Mandiargues)
n’a en effet pas suffi pour lui apporter la notoriété. Mais rembobinons le fil car cet
homme qu’on ne saurait réduite à la qualité de poète eut une destinée tout à
fait exceptionnelle avant même de se mettre à écrire : né en 1898 ;
élevé par sa mère dans des conditions de quasi-misère ; contraint malgré
de brillants résultats scolaires d’abandonner l’école à douze ans pour
devenir apprenti serrurier maréchal-ferrant ; ouvrier dans les
« bagnes industriels de Paris » entre seize et dix-huit an ;
engagé dans la Marine nationale ; autodidacte acharné en matières littéraires
comme scientifiques ; « as » de l’aviation pendant la première
guerre mondiale ; seul rescapé de l’escadrille Normandie ; reçu
premier en 1917 à l’École des ingénieurs de la Marine ; conçoit un
premier « hydravion de haute mer » ; crée son entreprise de
design aéronautique ; résistant pendant la deuxième guerre mondiale au
sein du réseau Brutus ; ingénieur dans diverses industries d’aviation
jusqu’à sa retraite en 1955 ; meurt à soixante-deux ans à la suite d’une
mauvaise chute (lui qui avait volé si haut dans ses avions !). L’écriture n’est pas venue tout de
suite. On raconte que l’une de ses premières lectures fut un Shakespeare
(dont il traduira plus tard douze sonnets) qui meublait les longues heures
d’oisiveté du marin. En 1929, il se sentit prêt à publier un premier recueil,
Les Lys qui pourrissent mais sous un pseudonyme. Entre 1934 et 1936
suivirent trois nouveaux volumes, toujours à compte d’auteur, cette fois sous
son nom. En 1937, enfin, il est retenu par l’éditeur de poésie Guy Levis Mano
(GLM) pour deux titres, puis un troisième en 1939. D’autres ouvrages suivront
jusqu’en 1955 et des éditions posthumes. Le « Poètes
d’aujourd’hui » consacré à Blanchard est une parfaite ouverture sur son
œuvre, l’introduction attentive et amicale de Peuchmaurd
comme les extraits des principaux recueils. Le premier, Les Lys qui
pourrissent, n’a pas été retenu par Peuchmaurd
qui le jugeait « artificiellement rimbaldien »), ce n’était de
toute façon qu’un coup d’essai et le maître se révélera dès le premier
recueil signé de son nom, Malebolge (1934),
un « livre véritablement panique » (Peuchmaurd)
où se déchaînent trente-cinq ans de rage : Je taille et je tranche
les lianes du passé. (3 – 83) Je suis seul dans la barque des
naufragés, un peuple humide autour de moi s’agite, ça braille, des doigts
blafards happent le plat-bord, je coupe les mains, je coupe les bottes de
salsifis : « Allez chez les Sirènes ! Allez chez les Phosophores Chanteurs !… » L’expérience est
concluante. (3 -
85) Rimbaud encore, oui, mais quel
souffle ! Et que dire de ces deux petits vers du « Chant des
ardeurs premières », toujours dans Malebolge
– Surgir la croix / Péter l’amour – et quelques vers plus loin, La plus belle
sculpture C’est le pavé de grès C’est le pavé cubique Le lourd pavé qu’on
jette Sur la gueule des
flics Par les chants et les
prières Par le sang le fer et
l’art De s’en servir. Ce Blanchard-là n’aimait pas
l’autorité quelle qu’elle soit, pas plus de l’Église que de l’État : j’avais
un compte à régler avec Dieu. (3 - 87) Sur l’appel du remugle, les
pontifes, à mains perdues, estimaient leurs floculations au poids des
génitoires, les yeux au ciel, avec la majesté des corps constitués, et
pensaient, en chantant des psaumes, à l’utilisation des honneurs, aux devoirs
accomplis, aux médiocrités subjuguées, aux jeux prochains sur les cuisses
juvéniles parmi les respects dégonflés. (3 - 87) C’est ici un poète au paroxysme de
sa révolte, une veine qui sera reprise, un siècle plus tard par un Demangeot, par exemple. Mais Rimbaud – et Lautréamont –
sont encore bien là dans le recueil suivant, Solidité de la chair
(1935) : Je tombai dans un puits immense aux
parois invisibles, mes ailes poilues gonflées des misères du monde, tendues à
craquer. Je pris un ris, j’en pris deux. La rage sifflait dans les haubans.
La peur chantait dans les ténèbres.
(4 - 92) Souvenir des navigations sur les
navires de la Marine nationale, puisque la plupart des cuirassés étaient
encore pourvus de mats et de vergues jusqu’à la première guerre mondiale.
Dans ce même recueil, un autre passage plus clairement autobiographique : J’ai laissé les fureurs au sommet de
coteaux ; J’ai laissé des cailloux, j’ai laissé des bijoux, j’ai pris ce
que j’ai pu. J’ai mordu dans la science, dans les plus gros morceaux, j’ai
mordu les miroirs et les génuflexions. (4 - 94) Blanchard rappelle là l’odyssée
pédestre, en 1908, qui le mena jusqu’à Toulon après son engagement dans la
Marine. Quant à la science on a déjà dit comment il y brilla. On aimerait tout citer. C’est bien
sûr impossible mais cette évocation du paradis perdu, dans un long passage en
prose, montre que Blanchard n’était pas non plus un thuriféraire du
capitalisme et du salariat : Quand une société qui existe depuis
l’aube des temps refuse de vendre et d’acheter, quand elle considère le
travail comme une souffrance et un châtiment et que soudain tout s’échange
contre une petite commission, que tout se vend trois mois d’avance au moyen
d’un petit pourcentage, que le travail c’est la liberté, la noblesse et la
raison d’être, c’est que les rats sont passés. (4 – 102) Sa révolte n’en fit pas pour autant
un adepte des révolutions. En 1952, répondant à une enquête du Soleil Noir,
il déclarait : Les partis révolutionnaires sont des
gangs qui veulent le pouvoir, non pour le bien des hommes, mais pour les
changer en sable, d’abord, et ensuite pour acquérir la propriété avec tous
ses avantages. Des gredins branlent le macaque, le fanatisent et le saoulent
puis le massacre terminé, s’emparent du butin en gueulant : camarades,
il faut savoir terminer une révolution ! (cité par Peuchmaurd
- 61) Pas dupe à propos du régime
communiste il avait, quelques années plus tôt (1947) ronéoté et distribué
(non sans risques) aux ouvriers de l’usine où il travaillait une série de
poèmes, Nous autres sans patrie, parmi lesquels une « Ode à
Staline » dont voici le début : - Chie-t-il, le bien aimé Gueledevachissime ? Chie-t-il aussi ? - Oui, IL chie. - Oh ! alors ! cela peut
changer la face du globe ! Mais dites-moi ! Est-ce de la merde
qu’IL chie ! Le génial-Père-des-Peuples ? Le bien-aimé Gueledevachissime ? Oh ! non ! Dites-nous
que c’est du cuir de Russie qu’il chie, Lui ! Mentez un peu ! Pitié
pour nous qui avons la Foi ! - Non ! IL chie de la
merde ! - Mais alors ! Son trou du cul
n’est-il pas en platine ?
etc. (in Peuchmaurd - 62-63) Faut-il rappeler qu’à cette époque,
des poètes moins lucides écrivaient d’autres odes, celles-là véritablement à
la gloire de Staline ! (5) Après Sartrouville (1936),
encore à compte d’auteur, Les Barricades mystérieuses paraîtront l’année
suivante chez GLM, lequel demeurera l’éditeur privilégié de Blanchard jusqu’à
la fin. On peut y lire en particulier ceci : Dans ma vie profonde, dans ma vie de
vache, je vois une barrière aussi haute que mon mufle (6 - 105) Et aussi : Elle était clapoteuse, la mer
immense de l’existence
(ibid.) La même année 1937 GLM publie Les
Périls de la route, plus précisément consacré comme l’indique le titre à
l’odyssée pédestre déjà mentionnée. Un récit agreste et plus léger que les
recueils antérieurs : Quand je sors la tête, ramoneur
délirant, gazouilleur de la nuit, je sors couronné de cresson frais, je fais
signe aux amis, aux relations et aux gens recommandés par leur député. Je
fais signe à l’orage mais sans insister. C’est un brave type qui n’aime pas
qu’on le dérange.
(7 - 116) Dans ce même texte-poème intitulé
« Plan secret de l’ergastule », ces pics éblouis de Paul Éluard
et ces feux tournant de Joë Bousquet,
hommages aux deux fidèles amis. Mais tout n’est pas de la même
eau ! J’ai repris des forces en piétinant
ma mère. Je chante à pleine gueule, va-du-bec vas-y voir je t’emmerde, je
pousse un petit caillou, je pousse mon ventre. (7 - 110) (Dans Les Barricades mystérieuses
il déclarait déjà : Un homme c’est un ventre. (6 - 107) C’est juste avant le déclenchement
de la deuxième guerre mondiale que parut C’est la fête et vous n’en savez
rien (1939). Blanchard s’y livre au passage à quelques fantaisies
linguistiques à base de contrepèteries et de paronomases dans la veine de sa
tentative juvénile d’inventer carrément un langage. Il est prouvé depuis peu que tout
n’est que vanité et afflesprit d’iction, qu’il n’est rien de nouseau
sous le voleil, qu’une hirando
ne fait pas le tomprents, qu’il est tout pour
temps, qu’il n’est pas de mufée sans feu. (8 - 124) Selon Peuchmaurd,
la double publication des Barricades et des Périls marquerait
une rupture franche avec les textes antérieurs, une volonté nouvelle de
dépasser l’expression de la simple révolte individuelle. Il cite à ce propos
un passage significatif de l’Art poétique de Bauchard : Pour écrire un poème, ou plutôt pour
qu’un poème s’écrive, la délivrance est nécessaire. Mais elle n’est pas
suffisante. Il lui faut aussi l’anagogie. C’est elle qui permet aux autres de
participer au poème, c’est elle qui choisit les images collectives […] Le
récit du rescapé n’est pas anagogique. L’effusion de Pascal :
Joie ! Pleurs de joie ! ne l’est pas non plus. (Peuchmaurd
- 33-34) Ce texte (inédit) date de 1948, dix
ans après la rupture supposée. S’il est vrai que la plupart des textes de
Blanchard postérieurs à la deuxième guerre mondiale n’ont pas la même
tonalité égotiste que les précédents, il est difficile, au vu des extraits
ci-dessus, de repérer une rupture significative à compter de 1937 et du
passage chez GLM. On aura noté par ailleurs l’emploi du mot
« anagogie », un terme appartenant au vocabulaire de la théologie,
qui signifie soit l’extase mystique soit l’exégèse des saintes Écritures.
Blanchard semble vouloir dire ici que le poète doit faire l’exégèse de son
premier jet et le modifier afin de lui donne une portée générale, ce que
confirme le passage suivant : Comment appliquer cette méthode ?
Se débarrasser de ce qui est individuel en l’écrivant à part. En 1943 paraissent Les Pelouses
fendues d’Aphrodite, Cahier n° 2 de La Main à plume, le groupe de
poètes résistants et admirateurs de Blanchard. À en juger par le bref extrait
suivant, le poète n’a pas encore vraiment changé de méthode. L’étrange pouvoir de la parole
conduisait le navire. Et moi, cloué au fronton des chouettes, je planais sur
les eaux soulevées, seul ennemi d’une vaste présence. (9 - 136) Les textes d’après-guerre marquent
bien, par contre, une inflexion. Les élans du début sont tempérés désormais
par des passages plus prosaïques, voire moralisateurs, avec parfois une
adresse directe au lecteur. Particulièrement caractéristique à cet égard, L’Homme
et ses miroirs (Le Cornier, 1949). Accoutumés aux villes de lâcheté et
de vile sécurité, il est rare que les mains de la peur puissent enfoncer
leurs ongles dans votre couenne. Vous vous tenez à l’intérieur de vos
murailles et de vos chiens. Ce n’est pas étonnant que vous ayez l’air de vieilles
dentelles. Vous payez cela très cher, vous êtes quelque peu esclaves ;
soit dit sans vous offenser !
(10 - 151) Le Monde qui nous entoure (La Part du sable, 1951) contient
une page, titrée « Les délices de la guerre » (sic) dans laquelle
l’ancien pilote de la première guerre mondiale livre certaines confidences
qui éclairent d’un jour nouveau sa personnalité. Les années de cruauté furent les
années heureuses. Ne plus être au monde. Être l’absolue puissance. Avoir un
droit sur la mort : la négation. Et vivre en dehors. Vous avez senti
cela, vous autres qui m’avez vu une fois, mais pas deux. Vous fûtes une
pincée de tabac dans ma pipe quand j’avance contre le vent […] La conscience, c’est Jeanne
d’Arc qui s’avance vers le bûcher. (11 - 169) La cruauté est à nouveau évoquée,
associée à la joie dans le dernier recueil publié du vivant de Blanchard, Le
pain, la lumière (GLM, 1955). Ah ! Non ! Ce n’est pas
chez vous que j’ai respiré l’odeur de la joie, mais là où j’ai vécu, au pays
de la cruauté, au pays où les âmes deviennent des lignes géométriques, au
pays où d’autres âmes s’évaporent lentement comme une cervelle sur les
pierres brûlantes de la création.
(12 – 180) Une joie qu’on n’imagine pas sans
mélange, comme celle d’un Zarathoustra ? Qu’un chancre se lève pourvu qu’il
ait deux pattes, il les fera s’étripailler. Tout cela pour rien, pour le
derrière d’un idiot.
(12 – 181) Un rappel de l’ode à Staline.
Comprendre : les dictateurs sanguinaires ne valent pas mieux que leur
cul. On préférera achever cet article sur
un autre passage du « Plan secret de l’ergastule », déjà cité, dans
lequel Blanchard décrit à sa façon une vie de poète (« anagogie »
ou non !). Il faudra bien un jour que je
développe ma faculté poétique, il faudra que je me jette à l’eau, que je
franchisse l’aube, ce Pas-de-Calais des familles. Je réfléchirai un peu,
auparavant. Je réfléchirai comme une dynamo luisante avec ses ampères de
cheveux et ses volts cloutés. Puis je me rendrai maître de mon dégoût. Puis
je deviendrai l’homme de mon livre. Puis je recommencerai comme la chanson du
muguet. (7 - 115) Pierre Peuchmaurd
présente un Maurice Blanchard écartelé entre son métier d’ingénieur qu’il
pratiqua avec succès et une vocation littéraire à laquelle il aurait voulu se
consacrer entièrement et dont il attendait une consécration qui n’est pas
venue. On reconnaît dans cette destinée un « type » proustien,
présent dès le début de la Recherche en la personne de M. Legrandin. Cela mérite de citer ici brièvement le passage
concerné chez Proust : [L’ingénieur Legrandin]
était un de ces hommes qui, en dehors d’une carrière scientifique où ils
ont d’ailleurs brillamment réussi, possèdent une culture toute différente,
littéraire, artistique, que leur spécialisation professionnelle n’utilise pas
et dont profite leur conversation. Plus lettré que bien des littérateurs
(nous ne savions pas à l’époque que M. Legrandin
eût une certaine réputation comme écrivain […]), doués de plus de ‘facilités’
que bien des peintres, ils s’imaginent que la vie qu’ils mènent n’est pas
celle qui leur aurait convenu et apportent à leurs occupations positives soit
une insouciance mêlée de fantaisie, soit une application soutenue et
hautaine, méprisante, amère et consciencieuse. (13) Notes (1)
Éluard, Poésie volontaire et poésie intentionnelle (1942). (2)
« Pierre
Peuchmaurd, un poète à (re)découvrir ? »,
Francopolis n° 181, été 2024. (3
– 83) Soit 3 pour Malebolge et 83 la page
dans l’édition du « Poète d’aujourd’hui » chez P. Mainard. (4)
Solidité de la chair. (5)
Celle d’Éluard (1950 – Car la vie et les hommes ont élu Staline / Pour
figurer sur terre leurs espoirs sans bornes), par exemple, ou celle
d’Aimé Césaire qui se termine ainsi : Je suis le fils du peuple persécuté
avec acharnement par les Chevaliers du Ku Klux Klan. Je suis originaire d’un
petit pays qui souffre sous le joug du régime colonial. Mais j’ai visité
l’Union soviétique, et je sais que la cause pour laquelle se bat le peuple de
ma patrie et les peuples opprimés dans toutes les parties du monde,
triomphera, car elle est indissolublement liée aux grandes idées de Lénine et
de Staline ! Une
ode écrite en 1953, à l’occasion de l’enterrement de Staline. On se doit
d’ajouter que dès l’année suivante, Césaire rompit, non sans fracas, avec le
PCF dont il était membre depuis 1945. (6)
Les Barricades mystérieuses. (7)
Les Périls de la route. (8) C’est la fête et vous n’en savez rien. C’est
d’ailleurs là où Blanchard a retranscrit un bout de poème écrit dans une
langue parfaitement ésotérique, conservé de ses huit ans : Estave ô Minaure / Sirtace dismen / Olh janosb héricante
/ Bahia la Carsillo / Mintem.
(8 - 16) (9)
Les Pelouses fendues d’Aphrodite. (10)
L’Homme et ses miroirs. (11)
Le Monde qui nous entoure. Dans ce recueil, un alexandrin digne du
grand Corneille : Le hasard est son maître, et la mort sa passion.
(11 - 168) (12)
Le Pain, la lumière. (13)
Marcel Proust, À la recherche du temps perdu, Du côté de
chez Swann, Gallimard, Pléiade-I, 1954, p. 67. © Michel Herland (*)
Pierre
Peuchmaurd, Maurice Blanchard – Vie
supposée & choix de textes, Nérac,
Pierre Mainard, 2024, 204 p. 17 €. |
Note de lecture de Michel Herland
Francopolis – Été 2025
Créé le 1er mars
2002