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ARCHIVES : CRÉAPHONIE

Sabine Peglion - Marie-Claude Rousseau - Sylvie Grégoire... et plus



PARTIE II



1.   L’expérience

L’eau et le feu


Sevenfold Flame - Positif & négatif. Spray or, 2005.
Atelier de l’artiste, Floréal, Maurice



Sevenfold Flame – Radiate for all to see. Plaque découpée – dorée, 2005.
Centre for Natural Healing and Meditation - Bonne Terre – Vacoas, Maurice

 « Se veut l’étincelle de vie en tout être. La flamme à un stade de développement intérieur. 
Allusion à la descente du Saint-Esprit durant la méditation – Au Feu de la Pentecôte et au don des langues.


« De quelle mémoire traîne-t-elle nostalgie et désir
quel amour latent répand en elle effluves de feu
enduite d’huile sa chair se souvient
brûlante d’étreintes rubéfiantes
haletante jusqu’au cri devant tant d’espaces sublimés
ressuscitant d’entre les spasmes

transmutant le cri en vibrations essentielles

notes     résonances    musiques
irradiations des planètes revisitées
et de leurs pierres étincelantes

oum oum oum          oum oum oum         oum

souvenir de l’Aphrodite du myrte et des nuits vénusiennes
prégnance des lueurs vertes irisant le temple nuptial
réminiscence des senteurs du santal blanc
rémanence d’explosions et de lumières mercuriales
incarnant la danse immémoriale des planètes en fusion
rassemblant enchâssées les fragrances fruitées
des corps et des âmes dans la vasque-abreuvoir rituelle

noces    parfums    extases
irradiations des planètes revisitées
et de leurs pierres ensemencées

oum oum oum         oum oum oum         oum

dans l’attente de l’amant parti en ascèse consentie
sa peau frémit à l’eau des ablutions
ses sens s’éveillent à l’eau de son corps
ses cellules boivent de toute leur nudité l’eau solaire
son essence aspire l’eau de l’air
et quand les épousailles reprendront avec force et vigueur au septième jour
l’eau retrouvera le feu et le feu se nourrira à nouveau de l’eau

notes     résonances     musiques 
noces    parfums     extases
irradiations des planètes revisitées
et de leurs pierres fécondées
par des fiançailles d’éternité

oum oum oum         oum oum oum         oum
oum oum oum         oum oum oum         oum »


Sur l’autel de feu et d’eau,
dans Point Barre No 3 – Nos Fleurs du Mal,
éditions Librairie Le Cygne, Île Maurice, 2007


Le feu du cœur


Threefold Flame. Découpe bois recouverte de soie.
Centre for Natural Healing and Meditation - Bonne Terre – Vacoas, Maurice
« My heart's flame – Évocation de l’étincelle de vie en tout être ; les trois couleurs symbolisant l’Amour, la Sagesse, et la Puissance. »


« Roulent les houles de la fraternité
distances abolies
transparence

Ne t’ai-je pas nommée,
Femme,
Messie de l’ère nouvelle ?

Porteuse d’éveil
tu l’es et le seras,
perceptions allumées
d’une conscience hors-temps.

Le feu du cœur réactivé,
vibrer à l’unisson,
attiser le feu de la Terre,
parachever le plan de la Lumière.

Sous le signe
de La Croix du Sud
ratifié
des profondeurs
océanes ! »

Inédit, Ile Maurice – Floréal, 20 avril 2010

« Souffle l’Esprit,
en moi, inlassablement,
égrène le grain du mantra :
Abba, Père !
Abba, Père !
Abba, Père !

Résonne aux quatre coins
de mon corps-Temple,
ton royaume au cœur-flamme,
bleu-pouvoir, or-sagesse, rose-amour,
Triple Flamme : Père, Fils, Esprit.

Cette flamme en moi brille,
en faire feu jusqu’à lumière,

SOLEIL

Entaille après entaille,
tailler ma propre pierre,

construire de lumière ma cathédrale,
de l’étincelle alimentée,
vibrer infiniment :
Abba, Père !
Abba, Père !
Abba, Père !

escalader la spirale jusqu’à fusion,
Ascension !
ABBA ! PERE !

Le grand Je-Suis-Le-Je-Suis »

ABBA ! PÈRE !, dans Point Barre no 5 – Palsambleu,
éditions Librairie Le Cygne, Île Maurice, 2007


L’œil inverse  




L'œil de l'intuition ou l'étoile de la sagesse.
Verre, 2005.
Atelier de l’artiste, Floréal, Maurice




L’œil du réveil ou Awareness, 2008. En couverture de Yoga. Swami Venkatesananda. Première adaptation en français et Textes complémentaires, Divine Life Society, Mauritius Branch, 2010.

« La houle voiles hissées se déplie assiège le rivage
MON ŒIL RIVÉ INVERSE AU VOYAGE
L’âme en pèlerinage

L’heure palpite de lumière
Pointe-aux-Roches pulse sous la fougue d’Éole

Éole a resserré l’écoute
La houle voiles tendues s'étale
drap de dentelle au confluent des noces
MON ŒIL RIVÉ INVERSE AU VOYAGE

Souverain le dieu a épousé la plage
tourbillonne
dépouille coqueluches éparpille pollens
alimente tapis nuptial pour fête sauvage
à l’aine des tropiques

Éole me frôle Éros
me transforme gemmail
Ample sa chape m’enroule haleine d’armoise
étreinte d’embrun et de lumière

La houle s’allonge effluves lustrales
nous recouvre libation à l’autel des sables
Nos corps se confondent sous la voûte radieuse d’avril
Et dansent nymphes et naïades
MON ŒIL RIVÉ INVERSE AU VOYAGE

Éole s’essouffle
décline solaire le long de l’échine
je frissonne et titube

Il erre sur la mer
libère le chant des légendes
amplifie Mélusine
fouette rochers qui résistent
se brise décor d’écume et d’émeraude
polyphonie d’orgues, prélude à l’indéfectible retour
MON ŒIL RIVÉ INVERSE AU VOYAGE

Éole en feu a retrouvé son souffle
Il déploie les vagues renforce la parole
réprime éolithes indociles
qui retroussent la houle
haletant
la déroule
MON ŒIL RIVÉ INVERSE AU VOYAGE

Constance latence
VOLUPTÉ
Éole allume l’allure de la lame
l’exhausse crête embrasée
oriente son avance s’engouffre dans son sein
le gonfle
enfle ma poitrine
la soulève à son rythme
l’océan s’étale en moi ivre d’univers
se dilate à me rompre
m’épouse et me comble

La lueur liminaire
ravive la mémoire des rives premières
glisse fleuve
les eaux se rejoignent lisses de silence
sur les vastes voies de SOMMEIL

Racines enlacées accouplées dans l’Alliance
l’ÎLE se désaltère de transparence

Signes-Souffle ou Logo d’l’âme suivi de Je t’offre mon arbre, 
Espace Multipliants, 1995 (pp. 41-42)



“When thine eye is single…”


Astre à l’arc-en-ciel, cristal poli, 2006

« Traversé un soir de grand vent par un éclair dans cet espace vide, il reçut en rêve une lumière.

‘‘Sache, Énigme, que ton épreuve n’aura pas été vaine. Celui qui évolue transforme son environnement. Tu as un rêve de vie et c’est là ton trésor. Même si tu étais le seul à y croire.  Ton œil s’est ouvert sur la Roche qui Pleure. Ces mensonges-là sont légions, tu le sais. Il est bon de voir, pour n’être pas dupe. Voir, c’est aussi pouvoir accepter ce qu’on ne peut seul changer. Trouver la note et la tenir, celle d’une rencontre possible entre voix/voies divergentes. Tu n’accepterais pas l’épreuve, si tu ne remerciais déjà ceux-là qui te l’ont imposée. Et c’est encore à la Roche qui Pleure que tu reviendras escalader tes rêves à la rencontre de la 7ème vague, celle qui de tes larmes te lave et te console. (…)

La mer ce soir-là se souleva comme une seule vague. Une vague qui la contenait toute. Si haute qu’elle balaya la caverne toute entière. Retournant à l’océan, elle emporta  Énigme.
On raconte que par pleine lune à la Roche qui Pleure un corps lumineux danse dans l’or de la nuit Les Huit Trésors. »


Extrait de La roche qui pleure,
Espace Multipliants, 2000 (pp. 30-31)


Essence



Third eye symphony. Peinture acrylique et photo, 1985.
Atelier de l’artiste, Floréal, Maurice
« Dans la tête, le personnage d'à-côté (en photo), à la batterie.
Thématiques récurrentes (entre autres) : musique - cosmicité – spiritualité. »


« Tu nous ramènes, femme, à notre essence,
semences d’étoiles.
Rayonnement vibratoire
amplifié des confins des galaxies,
baume des cœurs
quand
montent les eaux
fulminent les feux
ciel de cendre
nuage de lave
éjection de flammes.

La grande Nasa voit bleu,
face à la boule rouge !

Y lira-t-elle la seule nuit de la dissolution en marche ?
Le seul feu d’une irrémédiable déconstruction,
ou l’allumage salutaire de la libération,
ou encore la brûlante passion de Kali-Ma ?

Surprise par les irruptions solaires,
l’œil sceptique,
la grande Nasa
brûlera-t-elle, inconsciente, sa rétine,
au feu ascensionnel de la Shakti ?

Embrasée, malgré elle, du feu-fluidité de l’eau,
laissera-t-elle pacifier ses dernières résistances
à l’afflux de la Lumière,
s’hydrater au sein de cet Éveil inespéré ? »

Inédit, Ile Maurice – Floréal, 9 mai 2010

La marguerite


Marguerite, peinture, 2000. Collection privée (Mme Manda Boolell, Curepipe, île Maurice)


« Marguerite, ma préférée,
mon azalée à moi.
Collé à ma rétine
ton œil-mandala
m’aimante me hante.
Au cœur de la nuit
tu es lumière de mon temple
lampe de mon silence. »

Marguerite, mon azalée, dans Pile/Face,
Éditions du Totem 2005 (p. 58)



Marguerite, 2004. Première version-mandala de la peinture reproduite dans Pile/Face (qui elle contient des signes-symboles d'écritures, à l’instar de la « marguerite » de 2000 ci-dessus). Collection privée.

« Anna brûlait de vivre l’Illumination, de rejoindre la Source, comme une terre natale dont elle aurait été que trop longuement en exil. Ses jours, ne prenaient-ils pas, depuis un certain temps, l’allure d’une ascèse mystique ? Objectif que synthétisait un texte à la résonance prenante, comme le sont souvent les partitions anonymes, et qu’elle avait, depuis peu, mis en évidence dans sa chambre à coucher. Calligraphié sur parchemin, il était enchâssé dans un épais cadre doré, tel une hostie dans un ostensoir. Ces lignes lui avaient été transmises par le Swami Abhishiktananda, son guru d’alors, des décennies auparavant :

‘‘Le papillon fut le seul
qui, s’étant avancé
en plein cœur du brasier,
ploya les ailes,
et finit par n’être plus
qu’une seule couleur
et une même substance
avec la FLAMME.
Celui-là seul connut le feu
qui s’y brûla,
et lui seul pourrait dire
qui jamais pour le dire
ne reviendra.’’

Par ailleurs, Anna, la septuagénaire, se laissa partiellement porter par ces vagues de sensualité qui l’animaient. Sans négliger une pratique spirituelle, où elle s’identifiait, au long d’une méditation journalière, avec la Flamme, cette Source dont elle se savait issue, mais qui n’était plus qu’une mémoire lointaine. Elle voyait son choix de ne pas supprimer totalement son éveil sexuel, tout en nourrissant sa relation avec La Source, comme une façon privilégiée, au crépuscule de sa vie, de se reprogrammer vers une régénérescence certaine. »

Noces intimes, noces secrètes, dans Nouvelles Sensuelles,
Collection Maurice, 2006

« Entends-tu
à l’heure où le zénith incandescende l’espace
monter mes marées de l’immense
se soulever mon souffle dans l’éther frissonnant ?

Entends-tu résonner mes errances
Isis pleurant Osiris
mes pas à travers terres
pour rassembler mes membres
leur insuffler vie nouvelle ? »


Extrait de Messie de l’ère nouvelle,
Espace Multipliants, 2000 (p. 6)




Le Lotus aux 1000 pétales (Sahasrara), créé à l'ordinateur, 2010.
Reproduit d’après Yoga. Swami Venkatesananda. Première adaptation en français et Textes complémentaires, Divine Life Society, Mauritius Branch, 2010 (p. 123)


“See!
The healer’s heart is burning all-encompassing,
open,
to welcome your painful memories,
multicolored imbalance,
your unavowable love,
your feelings felt fully.

Hear!
The healer’s heart is bursting with deep love,
ready
to guide you on the path of ecstasy,
attuned to time on high,
to unlock the clogged doors
of your heart and soul,
thrusting them fully open
for light to flow through.”

VII. You Dream of a Healing Stream, dans Healing,
Éditions du TOTEM, Floréal, Maurice, 2010 (pp. 24-26)
.

4.    L’essentielle nudité

Apesanteur


Apesanteur, peinture, 1984.

« Sud, tu ôtes l’écaille de mon œil. Je jette par-dessus bord ces verres qui teintent toutes vérités. L’opacité du regard n’a que trop longtemps nourri l’exil ; n’a que trop sûrement différé la rencontre. Il n’est que d’Être. Conscience. Coïncidence du regard. Et la vie coule fluide. À ainsi sarcler mes habitudes, tu aiguises, Sud, ma soif de l’essentielle nudité. La boussole orientée vers l’océan des aubes immémoriales, mes voiles appareillent au batelage. Je suis coquillage habité d’espaces et d’alizés. Je te chante et te cherche, impatiente, comme la crête, de chevaucher la vague. Le vol du courlis vers Gris-Gris est ma quête, l’urgence du retour ; immuable le fond de l’océan, insondable le mouillage de ma mémoire. J’ai sorti des cantines, cartes et compas. Ma pirogue toujours en vigie cherche pour amarre le fil d’or de ma lémurie. (…)
Grisé, le vent s’essouffle et décline. L’eau baisse la voix. La vigueur retrouvée, le vend reprend sa danse. Il erre sur la mer, bouscule les rochers, les fouette et se brise en myriade d’émeraudes et d’opales. Il reprend son souffle, s’engouffre au sein de la lame, gonfle ma poitrine. La mer s’étale à me rompre, et me comble. L’heure a perdu la trace du temps. Et j’ai retrouvé la mémoire. Du sommeil immémorial, je me désaltère. (…)
L’enfance ici perdure le poète. La mémoire de la Nef bercée par la mouvance marine s’étale de sisal à corail, monte des tombales, célèbre la parole. Pierres, poète et sable, terre, mer et vent psalmodient leur litanie. Tao, Torah, Croix, Shiva, Allah, chantent l’âme de l’île.
De la crique, une houle lance son alléluia au soleil. L’Être s’étire enivré d’espace et de lumière. Je vogue sur les rythmes sans rives du mystère, l’estuaire raccordé. »

Extrait de Littoral Sud, dans Le tour de l’île en quatre-vingt lieux,
Collection Maurice, 1994 (pp. 99-101), reproduit d’après Pile/Face,
Éditions du Totem, 2005 (pp. 15-16)
.


Le cerf-volant


Dyptique : Cosmic Lyn-Lyn, peinture, 2002 (photo : Robert Furlong),
d’après Pile/Face, Éditions du Totem, 2005 (p. 6)

« Revenue d’un grand voyage au mois d’avril durant ses vacances scolaires de Pâques sur la vaste terre australienne – le père de Lyn-Lyn est pilote de longs courriers – la petite fille avait conté au jardinier du Totem, tous deux assis côte-à-côte sur la dalle de pierre sous le Badamier plus que centenaire du jardin longeant la mer de la Baie du Tombeau, son émerveillement à un festival de cerfs-volants durant son séjour à Sydney, sur la plage de Mandy, où son père, filant à toute allure le sien, lui avait révélé que le fil du cerf-volant nous raccorde tous au Ciel, et qu’il existait dans La Grande Péninsule un festival du genre, au nom de Patangera, quand des roues sont montées en cerfs-volants, des Chakari, mêlant leur souffle à celui des vacanciers, faisant de tous un seul peuple. Le visage du jardinier du Totem s’était éclairé, « kikfwa, » avait-il dit, bondissant du banc de pierre, « kikfwa samem dan nu ti zil zot dir Patang pa ninport ki kalite servolan, » dans un éclair d’illumination, comme enveloppé d’une radiance peu ordinaire il lui avait, lui aussi, déroulé en ce jour d’avril, sa version personnelle de la pelote de fil qui s’élance vers l’infini et qui, de la Terre, nous raccorde à des contrées insoupçonnées. Sautillant, il s’était lancé dans une explication de la fabrication-maison de cet objet de rêve par les gosses de l’île-point, et d’un même élan, s’en était allé trouver des tiges de feuilles de cocotier, utilisées localement comme balai, pour se mettre, dans l’instant, à la construction de l’armature de son œuvre, lançant Lyn-Lyn, à son tour, vers la petite butik sinwa, la dernière du genre, à quelques mètres de L’Espace Totem, pour se procurer du ‘papier mousseline’ pour les ailes, et du fil à rallier l’infini.

Fils de cerfs-volants
des plages de nos enfances
résonnent rires sonores
monte fièvre de la Patangera îlienne
‘mo patang balye koko-papye muslinn’
claque aux alizés-lumière
le perdre          le retrouver

Filer les jours
   Filer la vie

       Filer son rêve
           Filer sa quête

chakari polychromes multiformes
des plages de nos errances

UN avec son cerf-volant
‘mo patang balye koko-papye muslinn’
UN avec le ciel-lumière

Au cœur de la vie
Résonne éclat de rire
TOUS raccordés au Grand Tout ! »
 
Le jardinier du Totem, dans De l’autre côté du ciel,
Collection Maurice, 2011


Sois ce que tu es




2025. Poème-dessin, dans Je t’offre ma terre, Éditions de l’Océan Indien, 1990 (p. 60)

« Laisse tes flots charrier les cadavres des hiers
Ta flamme incendier les forêts du regret
Demain saura naître en son heure
Tu ne peux amputer le passé ni greffer l’avenir
Seul vibre le présent comme seul brille le mercure
(…)

QUI QUE TU SOIS  –  SOIS CE QUE TU ES
Feu courant le long du brasier – brûle et brûle
Censeurs en crue voudront refroidir tes ardeurs
Ne te laisse pas éteindre
le vivant sera ta flamme
Si dans la jungle tu écartais les tiges de la vérité
Que ton œil illumine ta demeure
Ta chaleur fera fondre éteignoirs et autres rabat-jours
QUI QUE TU SOIS  –  SOIS CE QUE TU ES

Extraits de Je t’offre ma terre,
Éditions de l’Océan Indien, 1990 (pp. 41 ; 55)


Biographie


Jeanne Gerval ARouff naît le 4 juillet 1936 à Mahébourg (Île Maurice), entre rivière et mer, là où la Rivière La Chaux se donne à l'océan.
Après une petite enfance mahébourgeoise, sa famille s'installe à Vacoas.

La benjamine (six frères et trois sœurs) se dépense autant dans des activités sportives – tennis, bicyclette, chorégraphie – que dans ses études, particulièrement la philosophie. La pratique des arts martiaux (karaté, judo) comme du yoga lui donne à jamais une discipline et une part de méditation et de contemplation dans sa quête spirituelle.


Dire l'Île (1ième station) publié en novembre 2013 - Jeanne Gerval ARouff

   L'arbre-Totem (2
ième et 3ième station) publié en décembre 2013 - Partie I

  
L'arbre-Totem (2ième et 3ième station) publié en décembre 2013 - Partie II
 L’Essentielle androgynie (4ième station) publié en janvier 2014
 
       


Jeanne Gerval ARouff L’essentielle androgynie ,
station 5- Partie1 et 2
Revue Francopolis février 2014
recherche  Dana Shishmanian

 
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Créé le 1 mars 2002


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