| DÉCEMBRE 2015 Dominique ZINENBERG, Les feuillets d'obsidienne, éditions du Cygne, novembre 2015,  
    Le deuxième recueil de Dominique, paru un
    an après le premier, est à découvrir comme une expérience où vie et
    écriture sont inextricablement liées : « Je fais appel aux mots connus
    et inconnus qui sont comme un jardin de curé plein d'arômes. Ils sont lampe
    et sentes ; ils sont gangues et fêlures, hétéroclite engeance au prisme
    discordant. Dans l'urgence, vocable est prêt à m'étourdir : le goût d'un
    mot sur mes lèvres est baiser : je palpe un peu démente son contact
    puissant comme s'il était seul à faire jaillir des mondes. »
 Julie Huard, Paysâmes et Miroirs du monde, aux éditions David, Qc
 Appareil photo en bandoulière et calepin en poche — à mi-chemin entre la
    touriste et la journaliste... De Bali à Dakar, en passant par la Thaïlande
    et le Tibet, elle sillonne depuis plus de trente ans ces « pays du Sud » où
    l’on oublie qu’habitent plus des deux tiers de la population de la planète.
 Plus sur ce livre.
 
 Joanne Morency, Prix de poésie Radio-Canada 2015. Elle a
    publié quatre livres de poésie chez Triptyque ainsi qu'un haïbun
    (récit/haïkus) aux Éditions David. Sa poésie en prose Miettes de moi lui a
    valu à Paris le Prix du Premier recueil 2010 de la Fondation L.-A.
    Finances.
 
    James NOËL, Anthologie de poésie haïtienne contemporaine, Points, novembre 2015, « La singularité
    de cette anthologie tient au fait qu’elle forme un tapis volant de
    subjectivités éclatées. Un brassage de tempéraments passionnants qui
    rassemble quatre générations ouvertes et poreuses aux grands flux de
    l’Histoire, de l’amour, du pays, du jeu, de la colère, du monde, du sexe,
    de l’exil, de la mer, de la joie… »  73 poètes dont nos jeunes
    amis Anderson Dovilas, Pierre-Moïse Célestin, Fabian Charles, Thélyson
    Orélien. ( Entrevue avec James Noël, Radio-Canada)
 Werner LAMBERSY,
    nouvelles parutions
 
    Quelques nouveaux
    recueils de ce poète belge francophone, honoré par le Grand Prix de poésie
    de l'Académie Mallarmé 2015, qui lui a été décerné le 8 novembre dans le
    cadre de la 34e Foire du Livre de Brive-la-Gaillarde (Corrèze), et
    récemment rencontré avec bonheur au Territoire du poème, le 20 novembre : 
    - La Perte du
    temps, Le Castor Astral éditeur, mai 2015,  
    « On n’aura
    pratiqué dans ce recueil que les contraintes d’écouter et de rendre, sur un
    maigre instrument, la partie du souffle qui, comme le vent dans les arbres,
    tutoie les feuilles avant d’en emporter plus loin le frisson. »- Dernières nouvelles
    d’Ulysse, avec des peintures
    d’Anne-Marie Vesco et une préface d’Hubert Haddad, Rougier V. Éditions,
    mars 2015,
 « Dernière
    nouvelles d’Ulysse a été écrit sur une dizaine d’années. C’est un peu le
    journal de bord du poète, son odyssée intime. (…) Ainsi le poète
    poursuit-t-il son chemin d’aède, moderne mais véhiculant la tradition
    ancestrale qu’il assume et authentifie…» (Jacques Morin dans Poezibao).
 - La dent tombée de
    Montaigne, éditions Dumerchez,
    octobre 2015,
 « Privilège de
    l’âge, sans doute, et de la fréquentation des philosophies orientales : la
    déréliction n’exclut nullement une forme de sérénité qui fait que le monde
    dont on nous parle n’est jamais vraiment désenchanté, même si le regard est
    désabusé. » (Michel Baglin, dans sa revue Texture).
 LIENS : Éditions du Cygne - Éditions Amourier - Printemps des poètes - Recours aux poèmes  Visiter son site : Werner Lambersy
 
 - Crichhh...de
    Méliès Bellemare-Caradot, éd. Lulu.com,
    premier livre de ce jeune auteur québécois, (Chelsea)  (10ans) Un
    récit plein d'actions qui vous surprendra.  Voir son site.
 
 
 NOVEMBRE 2015 Recueils :Griffures sur le
    miroir de Flavia Cosma, aux éditions du Cygne
 (Poésie du monde/Canada-Roumanie)  recherche Gertie Millaire
 Ce recueil  est à la fois terrible et réjouissant. La poète l'a voulu
    ainsi. À la limite de l'ordinaire et de l'extraordinaire, il y a le récit
    (car il y a un récit dans ce récital où la peine et le plaisir s'attirent,
    se repoussent, reviennent l'un vers l'autre) C.est la voix de l'amoureuse
    qui en donne toute la ferveur, une voix qui perce sous le soleil autant que
    dans la nuit. La séparation vient très tôt, toujours trop tôt, mais c'est
    la vie, n'est-ce pas ? (Louis-Philippe Hébert)
 *
 L'autre est ta demeure de Jean-Luc Proulx, aux éditions du Cygne,
 recherche Gertie Millaire et Dana Shishmanian.
 
    Poème-récit, métaphore d'une longue marche
    vers le lieu d'une renaissance probable, L'autre est ta demeure raconte une
    histoire : celle d'un homme allant lire à voix haute devant public. Et
    c'est le choc ! Le voilà qui voit. Qui voit l'autre ! Projetant sa
    propre existence aux brûlures d'une vision. Autre est la lumière dès lors.
    Et autre est la poésie. La poésie de Jean-Luc Proulx en appelle ainsi au
    consentement. Pareille au passant, elle trouve refuge dans la rencontre.Natif de Montréal,
    Jean-Luc PROULX est d’abord artiste-peintre, c’est à la suite d’une longue
    solitude, fondatrice dira-t-il, qu’il découvre, en 2011, la poésie. Il
    publie ici son premier recueil. - Rencontré en France pour Dana et
    rencontré au Festival Poésie, Québec, pour Gertie, comme quoi le monde est
    petit...!
 *Bras du nord de Jean Desy et Normand Génois, aux éditions Mémoires d'encrier, recherche Gertie
    Millaire.C’est la nature vivante qui a écrit ce recueil. La vie
    sauvage nous a tenu la main, l’a guidée sur le blanc des pages et de la
    neige, sur le bleu du ciel et de l’encre. Nous avons voulu nos textes ruis-
    seaux enchevêtrés, branches entrelacées, rêves au fond du temps, mirages en
    surimpression. Nous savions nos écritures proches l’une de l’autre, nous
    les avons bouvetées, aboutées, marouflées.
 *
 Gwen Garnier-Duguy, La Nuit Phoenix, Recours au poème éditeurs,
    octobre 2015, recherche Dana
 
    Légende mystérieuse,
    conte des terres celtiques, poème de l’advenue ; l’âme des saints croise le
    poète. Il ouvre la porte ; dans le même temps, il précise sa nature, son
    origine, sa culture. Un credo initiatique parcourt le recueil, en un
    chassé-croisé d’impressions, de formes oniriques, d’émotions et de
    réalités. Un dialogue exigeant s’établit entre la nudité et le corps,
    occupant l’espace sans le posséder, vers le chemin renouvelé d’un lumineux
    mariage. (Extrait de la préface de Jean Maison)Né dans le Finistère
    en 1972, Gwen Garnier-Duguy publie ses premiers poèmes en 1995 dans la
    revue issue du surréalisme, Supérieur Inconnu. En mai 2012, il fonde avec
    Matthieu Baumier le magazine en ligne Recours au
    Poème, exclusivement consacré à la poésie, et en 2014, la maison
    d’édition numérique Recours au poème éditeurs. La nuit
    Phoenix est son troisième recueil de poèmes.
 *Trois recueils de Edmond Michon, aux éditions Edi
    Livre, recherche Éliette Vialle
 
    -La traversée : La Traversée est un recueil de poésie.
    Quelle traversée ? L’auteur laisse au lecteur le soin de le deviner, car si
    le poète écrit avec une idée dans la tête, le lecteur, a la liberté de
    l’interpréter selon sa sensibilité. Ce recueil est aussi le fruit d’un
    travail sur le vers, sur la strophe, sur le poème. Il alterne entre poèmes
    en vers libres et « poèmes à l’écriture automatique ».La Traversée ne
    serait-elle pas un voyage dans le monde de la poésie ? Mais ce qui est
    certain, c’est que si la poésie est un outil pour décrire la beauté, les
    sentiments, elle est surtout un outil d’émancipation de la condition
    humaine. Combien de poètes l’ont-ils payé de leur vie, cette évidence?
 
    -Au centre : Nous retrouvons Roger, après Parcours
    accidentés. Là, il était SDF, suite à une longue histoire. Grâce à Laurent,
    directeur d’un centre d’entraide qui justement cherchait un nouveau bénévole,
    Roger redécouvre la solidarité, le travail et se reconstruit lentement.
    Gabriel et Lucien l’accompagnent, Lucien et José rénovent, Laurent vend les
    trésors rénovés. Quand le centre accueillera des familles sans papiers,
    Laure, avocate, Sophie, assistante sociale et Manon, une étudiante,
    interviendront. Geneviève prépare dans son restaurant les repas du centre.
    Tout cela permet à Roger de reprendre en main sa vie. Seul l’homme peut
    perdre pied et disparaître. En groupe solidaire, il peut retrouver ses
    racines. 
    -Et ma pensée
    vagabonde T1 : Ce livre ne rassemble
    que ma pensée journalière. Attachée souvent à la réalité, elle décrit un
    monde inégalitaire car mené et géré par un système qui créé l’inégalité, la
    guerre, le sang, les larmes… Quelques notes des livres en cours y sont
    insérées ainsi que des poèmes dont le fil rouge reste toujours le même : la
    poésie ne se résume pas à décrire le beau, la nature, les sentiments. Non ;
    la poésie, comme la lecture, comme l’éducation, sont des facteurs d’émancipation
    de l’être humain et c’est en ce sens que souvent, les écrits poétiques y
    figurent. Enfin, ces notes sont des appels à la réflexion, car rien n’est
    fatalité. L’être humain à l’aide de sa pensée, de ses mots, peut changer le
    monde.  D'hématomes en bleus de nuit de Patrick Delaplace-Trinquet, éd. du
    Brouillard Levant,  (quelques textes publiés dans notre librairie (septembre 2013)
 
 XXX  NOUVELLES -  Novembre 2015
 « mes chaussures vides cesseront de penser »…  X - Francopolis viens
    d'apprendre par le journal la Voix du Nord le décès brutal d' Orlando
    de Rudder...  bien triste nouvelle et toutes nos sympathies à la famille et amis...
    et spécialement à Éliette, sa grande amie qui nous a donné à le découvrir
    par ces participations dans Francopolis sous la rubrique Gueule de mots
    :La langue française n'est pas un gargarisme ( nov.2012) - Si je t'aimais (déc.2011) -  Grain de raisin (fév.2011) - Petit sonnet pour ma célébration!
    (nov.2010)
 Il est auteur d'une trentaine de livres.
 
 XX - Nouvelle recrue
    chez Francopolis, Louisa Nadour.
 Mieux la connaître, voir l'article chez Francopolis janvier 2013 -
    Entretien avec Louisa Nadour par Marie Virolle
 et voir sa fiche:  ÉQUIPE FRANCOPOLIS
 
 ***
 OCTOBRE 2015
 Recueils :
 - Carnet de l’Obscur
    de Mireille Diaz-Florian et Encres de Gilbert Conan, Ed. le Betteur
 
    Les poèmes du Carnet
    de l’Obscur s’inscrivent dans un double mouvement où le regard posé dans
    l’instant contemplatif, devient progressivement pénétrant. Le texte
    restitue la densité d’une traversée. Le toucher du peintre, en partage du
    silence, ouvre des espaces de lumière. (en librairie oct. 2015)- Richard Taillefer, PoéVie Blues, Premédit, 106 pages, 13 €
    (septembre 2015)
 Richard Taillefer regarde ce monde comme un témoin atemporel mais il en
    reconnait toujours d'avance ses faiblesses et ses maux parce que "Je
    pense à ceux que j'aime et à tous ceux qui ont perdu l'essence même d'exister"
    et Tout peut être réinterrogé jusqu'aux réalités existentielles qui
    résultent d'un tel consensus. Le poète écrit son "message in the
    bottle", cette élégie disco fulgurant du temps et de l'espace, où tout
    et tous, sont déjà configurés car "Nous ne sommes / Que matière des
    astres / Égarés dans l'éblouissement des nuits clandestines". (Marina
    Nicolaev)
 - Buenas tardes, de Mireille Diaz-Florian, nouvelle parue
    dans la Revue Brève (anthologie trimestrielle de
    la nouvelle
 
    - Nouvelle Maison de la poésie, "La Factorie" et se trouve à l'endroit où se tenait
    La Compagnie Ephéméride où déjà la poésie tenait une grande place depuis
    1993. En 2004 , on lui a confié la mission d'organiser le Printemps des
    Poètes , puis en 2008 , la Compagnie initie des résidences de poètes,
    notamment avac Sheymus Dagtekin , Claude Ber et Françoise Ascal. Chaque
    année une innovation : création d'ateliers d'écriture (2012) , projet
    européen en 2013 autour d'un événement poétique bilingue, réunion également
    cette année-là d'un comité de lecture chargé de sélectionner les poètes
    invités à "Place à la Poésie" et de remettre un Prix doté au
    poète le plus apprécié. Et maintenant voilà qu'est fondée la toute première
    Maison de la Poésie de Normandie. La soirée inaugurale a eu lieu le 22
    septembre près de Val de Reuil , dans l'Eure.
 - MÉLUSINE : POÉSIE / AQUARELLES / MUSIQUE / FILMS, L’ensemble
    mélusine est né de trois libertés. La mienne, qui m’a fait  écrire le
    texte, celles du peintre et aquarelliste Pierre Jaouën et du
    musicien-compositeur et jazzman Emmanuel Bex qui ont désiré s’en emparer.
 Voir l'annonce Microcultures
 Anthologies et revuesD’écriture en
    écriture, anthologie des auteurs de La Gazette de la Lucarne (3e volume), La Lucarne des écrivains, 20
    € (septembre 2015)
 
    Voici la suite de la série de publications
    anthologiques réunissant les auteurs de la Gazette de la Lucarne : ce
    troisième tome est un verger de quatre-vingt-dix auteurs plus quelques
    artistes, réussissant encore à nous émouvoir, nous étonner par leur
    diversité, leur jubilation, leur mystère. - Quatre-vingt-dix jardiniers, des vocables récoltant leurs légumes rares,
    leurs fruits aigres ou sucrés, leurs efflorescences inédites : un beau
    jardin d’images et de textes écrits au fil des saisons, celui du cœur et de
    l’esprit. Soirée de lancement le 10 octobre (voir Événements).
 
 Poésie/première,
    numéro 62 (septembre 2015)
 L’élégante et riche
    revue dirigée par Philippe Biget, Guy Chaty, Martine Morillon-Carreau, et
    Jean-Paul Giraux, publie dans ce numéro un dossier sur les Journées de
    poésie de Tarn 2015, avec notamment l’intervention de Jacques Ancet, invité
    d’ARPO, un interview avec l’artiste plasticienne Wanda Mihuleac, un dossier
    Dylan Thomas préparé par Michèle Duclos, des articles - Monique W.
    Labidoire sur Paul Farellier, Jean-Louis Bernard sur Evelyne Morin,
    Jacqueline Persini sur Jean-Hugues Malineau -, une nouvelle de Fabrice
    Marzuolo, un groupage de poètes dans la traditionnelle rubrique Poésie
    plurielle, et des notes de lecture dont nous signalons celle de Guy Chaty,
    dédiée au recueil Fenêtre avec esseulement d’Ara Alexandre Shishmanian.
 ÉVÈNEMENTS France
 
    -  Lancement
    de l’anthologie D’écriture en écriture avec les auteurs (dont nous
    signalons la participation d’Ara Alexandre Shishmanian). 
    -  Soirée D’une langue à l’autre (3ème
    édition), avec les éditeurs Brândusa et Christian Tamas, et des auteurs de
    la maison franco-roumaine Ars longa. Cette fois, en compagnie de
    Louis-Philippe Hébert (Canada) pour son recueil  Marie réparatrice,
    Isabelle Poncet-Rimaud pour son recueil, Un recueil  Un regard sur
    l’épaule, Daniela Tordoi pour son roman La Plante-boussole,  Michel
    Ducobu (Belgique), pour Siège sage, Denis Emorine pour De toute éternité,
    Rodica Chira pour son essai Autres mondes. Approches SF et Christian Tamas
    pour ses nouvelles Les arbres. Les lectures et discussions seront suivies
    d’un buffet. Samedi 10 octobre, à la Lucarne des écrivains, à partir de 19h
    (115 Rue Ourcq, 75019 Paris, Métro Crimée) 
 Québec
 - Le XIIe Festival
    International de poésie, de Val-David,(Québec) le 3 septembre,
    lectures poésie à la Rédidence et dimanche le 4 octobre le programme est le
    suivant: 1h30-16:00 conferences  et 16h00-18h45, puis, Clôture du XIIe
    Festival International des Écrivains et Artistes sera au Centre
    d'exposition de Val-David a partir de 16h et à 18h45, Agapes fraternelles a
    la Résidence.
 Pésentation  Flavia Cosma et David Brêmel
 Invités:
 Gertrude Millaire (Laurentides/Outaouais) - LouiseCarson(Montréal,)- Janine
    Pioger (Laurentides) -Anabelle Aguilar Brealey (Venezuela/Costa Rica) - Eva
    Halus (Montréal/Roumanie) - Sophie Bouchard (Val-David) Ivan-Denis Dupuis
    (Laurentides) - Flavia Cosma (Val-David, /Roumanie) - David Brême (France)
    - Carmen Doreal (Deux Montagnes\ Roumanie) - Luis Raul Calvo (Argentina)
    -  Anabelle Aguilar Brealey (Venezuela/Costa Rica) - Nicole Davidson
    (Val-David) - Luis Raul Calvo (Argentina) - John Mallette (Laurentides) -
    Viorika Aresteanu (Montreal)- Sandra Stephenson (Montréal)- Felicia Mihali
    (Montréal/Roumanie) - Jeremiah Wall (Val-David) - Adrian Erbiceanu
    (Roumanie-Montreal)- Anabelle Aguilar Brealey (Venezuela/Costa-Rica) - Ljubica
    Milicevic (Montreal,/Serbia) - Tito Alvarado (Morin-Heights,/Chile)- Carmen
    Doreal (Deux Montagnes/Roumanie)
 EXPOSITIONS :  Eva Halus (Montréal,
    QC/Roumanie)-Marie-Pierre Charboneau (Val-David )
 Ljubica Milicevic (Montréal,/Serbie) - Carmen Doreal (Deux Montagnes,) -
    Ramiro Ricardo Feria (Cuba)
 
 - Les passeurs, roman de Nicole Balvay-Haillot
 mercredi 14 octobre  2015 de 9 h 30 à 11 h 30  à la
    Cabane-en-bois-rond
 Académie des retraités de l’Outaouais- Gatineau(Québec) - diaporama constitué
    d’archives personnelles, la romancière Nicole Balvay-Haillot et l’historien
    Raymond Ouimet raconteront la Seconde Guerre mondiale en France, de 1939 à
    1944
 - Christian Quesnel et
    Mélanie Rivet, membres de l'AAAO,
    étudiants à la maitrise à l'Université du Québec en Outaouais et membres de
    la famille Neige-galerie participeront au Salon du livre de Beyrouth, du 29
    octobre au 1 novembre
 SEPTEMBRE 2015
   - Christophe
    Bregaint, À l'avant-garde des ruines, (juillet 2015) préface Pascal
    Boulanger) chez Recours au Poème Éditeurs. Il
    a publié dans de nombreuses Revues: Les Cahiers du Sens, Poésie Première,
    Le Cafard Héritique...et plus. Et un autre recueil est annoncé pour Octobre
    2015, chez La Dragonne. Très actif sur Facebook.(Le poème est parole d’acier, pas parole de bois. Car on n’échappe pas à
    la reconduction de l’enfer : Tu as cru / T’évader / De l’étau. La panique,
    qui accompagne la terreur, surgit dans l’oblique de l’hostilité
    permanente... tiré de la Préface de Pascal Boulanger.
 - France
    Burghelle Rey, Le
    Chant de l'enfance, Éditions du Cygne,  (juillet
    2015, collection Le Chant du Cygne) Pour
    faire vivre la mémoire de l’enfance, ce monde magique où la poésie a pris
    ses racines les plus profondes, les plus définitives et d’où renaît sans
    cesse l’inspiration, France Burghelle Rey a dû faire boiter le mètre et
    même créer, quand il le fallait, un nouveau langage. Pour le poète, «  l’alma mater »  est la Bourgogne des
    années soixante avec ses roses trémières, ses bals à tréteaux, ses soirs
    entre chien et loup et ses routes, les nuits de retour. Plus tard, les
    maîtres, grands poètes-chefs d’orchestre,  ont donné à l’auteur toute
    la musique nécessaire, celle qui couvait en elle et qui est la règle d’or
    de toute émotion poétique ; leurs mots ont fait naître les siens sous
    forme de douzains qu’elle veut transmettre  aux lecteurs car, si la
    poésie est un chant, elle est aussi le plus beau des dialogues
 - Philippe
    Mac Leod, Poèmes pour habiter la terre, Le Passeur éditeur, (juin
    2015, collection Hautes Rives)Dans
    un monde désenchanté, déserté par l’esprit autant que par le divin,
    pourquoi des poètes en temps de crise ? Peut-être, simplement, pour habiter
    la terre autrement, en contemplant, en aimant, en s’interrogeant, avec
    inquiétude parfois, toujours avec émerveillement, attentifs au mystère que
    nous sommes et que nous portons comme un unique trésor.
 Philippe Mac Leod, qui mène une vie contemplative dans les Pyrénées,
    chemine dans sa quête de sens et de présence au réel, animé par la lumière
    intime, celle de l’enfance du monde.
 - 
    Mireille Diaz-Florian, Carnet de l’Obscur, Recueil de poésie
    illustré des encres de Gilbert Conan.Éditions Le Bretteur (Parution en septembre)
 -
    Mireille Diaz-Florian, Duenas Tardes, Nouvelle extraite du
    recueil Vieilles Folles.Vieilles Sages,  Revue trimestrielle, Brèves Anthologie permanente de la nouvelle
    (Volume 106) ***
 Revues- La revue Friches (voir la
    présentation sur notre site Francopolis)présente,
    dans son numéro 118, un dossier consacré à Jean-Marie Barnaud, avec des interviews,
    des textes inédits, des essais critiques, un groupage de poèmes de Bernard
    Fournier, et des poèmes de Danièle Corre,  Marie-Noëlle Agniau, Daniel
    Birnbaum, Dana Shishmanian, Jean-Louis Bernard, Geneviève Vidal, Charles
    Dessailly.
 Dans les notes de lecture, nous signalons celles dédiées à Denise Borias (Signes
    de vie, éditions du Cygne) et Eliane Biedermann (Le bleu des jours
    anciens, éditions Caractères).
 - Commander / s’abonner auprès du directeur de la publication, le poète
    Jean-Pierre Thuillat (jeanpierre.thuillat@wanadoo.fr).
 - Découvrez Concerto pour marées et silence,
    revue annuelle de poésie,
    dont
    le titre, comme le souligne Colette Klein, poète et peintre, le « chef
    d’orchestre » de cette publication foisonnante, a été donné avec
    l’autorisation de Pierre Esperbé (1924-2009), auteur d’un recueil intitulé Concerto
    pour marées et silence (Librairie Chambelland, 1974). Le dernier numéro paru (n° 8 – 2015) nous régale, sur 170 pages,
    avec les contributions poétiques d’une trentaine d’ auteurs, dont Eliane
    Biedermann, Francine Caron, Laurent Faugeras, Evelyne Morin, Colette
    Nys-Mazure, Bojenna Orszulak, Michel Passelergue, Jacqueline
    Persini-Panorias, des notes de lecture sur des volumes de Jean Chatard,
    Maurice Couquiaud, Alain Duault et Monique  W. Labidoire, Paul
    Farellier, Danièle Faugeras, Nadine Lefebure, Isabelle Poncet-Rimaud, Dana
    Shishmanian, Jean-Pierre Thuillat, des dessins et peintures dont un collage
    de Marie-Josée Christien – le tout, rythmé en plusieurs parties, comme un
    concerto symphonique, par des extraits de l’œuvre de Pierre Esperbé. A commander à : Colette Klein, 164
    rue des Pyrénées, 75020 Paris ou
    colette.klein14@orange.fr
 
 
 
 JUIN 2015 
 -Jeanine Baude,  Aveux simples.
    Illustrations de Marc Pessin (encres). Éditions Voix d’encre, mars 2015
    (voir aussi sur Voix d'encre)
 
 - Patricia Laranco, Portrait. Bibliographie. Anthologie.  Le Nouvel
    Athanor, 2ème trimestre 2015, 112 p., 15 € (collection « Poètes trop effacés »).
 
 
 MAI 2015
 
 
 Recueils - REVUES- Écrire à Yaoundé. Temps  totems 
    tambours, de Sabine Peglion
 Ce recueil témoigne
    de la force de la parole poétique qui a su, un temps, réunir autour d’elle
    des poètes venus de Québec, du Luxembourg, de France, de différents pays
    d’Afrique, de ce qui fut pour notre plus grande joie
 « une rencontre tout en couleur
 avec des femmes avec des hommes
 aux mains tendues à la voix forte ».
 
 - Dernières
    nouvelles d’Ulysse. Avis de recherche, de Werner Lambersy
 Suite de poèmes en
    vers court faisant état d’un monde chaotique, Dernières nouvelles d’Ulysse
    se pare des multiples facettes du héros (rusé, opportuniste, guerrier et
    bien d’autre) et des résonnances de sa voix littéraire dans l’ensemble de
    la culture occidentale. Par ce système d’échos plein d’ironie, le poème
    forme un voyage rétrospectif et traduit toute l’ambigüité d’une figure
    fondatrice de notre culture occidentale.
 
 - Nuit à quatre voix, de Stella Vinitchi
    Radulescu
 « Avec constance et bonheur
    Stella Vinitchi Radulescu poursuit son cheminement poétique, forte d'une
    œuvre trilingue pertinente et déjà importante. La poétesse va à
    l'essentiel, pas d'effets dithyrambiques, le mot juste, la phrase brève et
    concise, voire cinglante parfois, incisive.
 Elle demeure fidèle à un certain hermétisme qui insuffle plus de force à
    ses textes, dont la forme souvent mystérieuse bat au rythme de la vie. Une
    vision apparaît, une situation s'installe pour s'estomper aussitôt. Ce sont
    bien les textes en condensés d'une existence et en extraits aux essences
    subtiles qui nous invitent à la découvrir.
 Peut-être afin de mieux pénétrer sa poésie, construite de simples fragments
    fragiles, faut-il chercher l'espérance dans le non-dit. » (Michel Bénard)
 
 - Les quartiers de lune pâle de Jean Botquin
 « La langue de Jean
    Botquin est un murmure d'alcôve, un chuchotement de derrière les buissons,
    mais aussi un cri de plaisir lancé à travers les déserts muets, par-dessus
    les atolls écumeux des mers tourmentées, à travers les cascades sauvages
    bondissant sous la sylve, ou encore assourdi par les mousses et les
    fougères où fuit la proie devant le chasseur avant de s'abandonner et de se
    rendre à merci.
 Elle se fait encore muette, tout en caresses, en frémissements, en
    souffles, en humeurs, en odeurs…
 L'auteur, dans sa fragilité extrême et l'impudeur de ses évocations, nous
    fascine par cette vérité universelle, tendre et sensuelle à laquelle il
    nous arrive à tous de rêver dans nos moments de solitude ; et c'est dans
    l'aveu de cette fragilité que notre humanité se réconcilie avec nos peurs,
    nos doutes et nos espoirs secrets. » (Michel Cliquet)
 
 - Quartier latin, de Flavia Cosma
 « La poésie de Flavia
    Cosma agit sur le lecteur comme une alchimie sensuelle et mystique. Elle
    nous séduit au sens fort. Flavia chuchote à notre oreille les mots oubliés
    qui berçaient notre enfance, fredonne des comptines enchantées. Quartier
    latin est une fête tellurique étonnante où fées et lutins flirtent dans la
    forêt, où la mer et le ciel épousent la liturgie des âmes épanouies.
    L’amour et la mort, la nostalgie de l’être aimé trop tôt disparu, la
    transcendance, thèmes récurrents dans son œuvre, imprègnent la poésie de
    Flavia. Puisse le lecteur tomber amoureux de ce recueil dans lequel la
    poétesse se livre tout entière. » (Denis Emorine)
 
 - L'inconnu cardinal, de Donia Berriri
 Depuis le dernier
    jour, des voix de faille hantent les champs. Aussi, l'épouvantail s'en est
    allé, emportant dans sa fuite les corbeaux et l'été. Les mains séchées par
    l'attente des mûres, ils arpentent sans cadence les terres percées de tours
    vénusiennes. Des éoliennes de souvenirs perdus arrosent les plaines de leur
    vent défendu, les frêles idéaux assourdis par leur souffle continu.
 
 - L’Amour de Madeleine/Die Liebe der Magdalena,
    de Rainer Maria Rilke
 Après la publication
    des Cahiers de Malte Laurids Brigge (1910), Rilke séjourne en Afrique du
    Nord puis en Égypte. Lors de son retour à Paris, son fiacre est arrêté
    longuement rue du Bac, devant une librairie : c’est là qu’il fait la
    découverte d’une plaquette : L’Amour de Madeleine, « sermon anonyme
    français retrouvé par l’abbé Joseph Bonnet à la Bibliothèque Impériale de
    Saint-Petersbourg ». Rilke est bouleversé : « Découvert à temps, ce sermon
    français, écrit-il, m’eût épargné les Cahiers de Malte. Car ce texte court
    tellement dans la direction qui fut donnée au cœur de Malte en allant
    jusqu’au bout et dépassant de loin le pauvre "Brigge"  ».
    Dans l’enthousiasme il traduit sa trouvaille : « Ce texte, écrit-il à son
    éditeur allemand, devrait avoir la possibilité d’arriver en de nombreuses
    mains. » Il sera régulièrement réédité dans sa traduction allemande alors
    même qu’en France sa trace se perdait à nouveau.
 
 - Tant
    que les mots disent, de François Minod
 On n’en est plus à écrire pour vouloir. Non, on en est à écrire pour
    pouvoir. Respirer.
 On pourrait s’en tenir là tant ces phrases semblent cristalliser la
    démarche de l’auteur qui, de livre en livre, nous invite au pays des mots
    dits, tissant avec le lecteur un lien de complicité malicieux face à
 « l’en deçà, à l’innommable”.
 Rencontrer l'auteur sur notre page de l'équipe de Francopolis
 Et Rencontrer sa poésie sur Francopolis, au Salon janv.2015
 
 
 ***
 
 Événements...  15 mai et le 17 mai,
    ainsi que le 6 juin à Paris
 
 
 - Des poètes-auteures
    aux éditions du Cygne
 seront à l’honneur au
    Territoire du poème le 15 mai (brasserie François Coppée, au 1, bd.
    du Montparnasse, Paris 6ème, Métro Duroc
 Séance de lectures des recueils de Donia Berriri, Denise Borias, Francesca
    Y. Caroutch, Florence Issac, Andreea Maria Lemnaru  et Dominique
    Zinenberg.
 
 - François Minod...
 
     
      | 
 | Présentation du
      nouveau recueil de François Minod, Tant de mots me disent, éd. Hesse
 
      Lecture-signature
      que je ferai avec 2 comédiens au théâtre de l’Épée de bois à Paris, à
      l'occasion de la sortie de mon dernier ouvrage "Tant que les mots
      disent" (Editions Hesse) La lecture sera
      suivie d'un pot de l'amitié.  Vous êtes tous bienvenus.
      Lecture-signature au Théâtre de l'Epée de bois à Paris avec 2 comédiens,
      le 17 mai à 20h
 |  - Séance de lecture de François Bordes, Jérôme Villedieu et Dominique
    Zinenberg au 115, rue de l'ourcq 75019 Paris, La
    lucarne des écrivains, le 6 juin
 
 ***
 AVRIL 2015
 Recueils
 
 Fédérop : découvrez cet
    éditeur occitan (sur le site : http://federop.free.fr/) et ses plus récentes parutions de poésie :
 
 - Gabriel Mwènè Okoundji, Chants de la graine semée, poèmes, 2014
 - Moncef Mezghanni, Le merle de la ville captive, poèmes
    traduits de l'arabe
 (Bernard Lesfargues, Odes et autres poèmes, 2014
 - Peire Vidal, Le Loup amoureux, édition bilingue
    occitan-français (Collection Troubadours), 2014
 - Guillaume d'Aquitaine, Le Néant et la Joie, édition bilingue
    occitan-français (Collection Troubadours), 2013
 
 Editura Vinea (le site) une maison d’éditions dirigée
    par le poète Nicolae Tzone, à Bucarest, qui publie des poètes
    d’origine roumaine, en original ou en traduction française ; découvrez ses
    dernières parutions (2014-2015) :
 
 lon Vinea, Femme blanche s’appuyant à un arbre
 Geo Bogza, Poème invective / aux empreintes digitales de l’auteur
 Angela Marinescu, Le langage de la dispar1tion
 Nicolae Breban, Élégies parisiennes
 Robert Şerban, La mort paraffine
 Gheorghe Grigurcu, Une rose apprend les mathématiques
 Dumitru Crudu, Akvika
 Silvia Goteanschii, Dramaturgie des cordes luisantes
 
 Revues
 - Friches. Cahiers de Poésie
    Verte : dernier numéro (n° 117, 1er trimestre 2015).
 Sélection du sommaire
    : Seamus Heaney,
    grande voix contemporaine de la poésie celte ; poèmes de Alain Richer, Jean
    Péchenart, France Bourghelle Rey, Dominique Marbeau ; une chronique de
    Dominique Zinenberg au recueil Plongeon intime de Dana Shishmanian ;
    et un supplément en guise de présentation et dossier de presse concernant
    la parution du recueil : Dans les ruines de Jean-Pierre Thuillat, recueil chroniqué dans Francopolis par Dominique Zinenberg    
    - L’intranquille. Revue de littérature semestrielle
    éditée par L’Atelier de l’Agneau, en Aquitaine (elle
    relaie la revue Chroniques errantes et critiques), qui doit son nom
    à Pessoa et son « livre de l’Intranquillité ». De remarquable tenue
    graphique, elle publie dans son 7ème numéro (2ème semestre 2014) un dossier
    consacré à sept poètes italiens contemporains, des textes de poètes
    à découvrir absolument comme Anna Serra, Régis Nivelle, Laurent Gabriel
    Dura, Olivier Margerit, Patrick Le Divenah, Yve Bressande, Grégoire
    Cabanne, un hommage à J. C. Pirotte, des chroniques, ainsi
    qu’une enquête parmi les revues de poésie à laquelle répondent entre autre
    Décharge, Rehauts, Thauma, Kahel.  ÉvénementsMontreuil-sur-Livre : samedi 11 avril, sur la Place du marché à Montreuil (M°
    Croix-de-Chavaux), de 10h à 20h, on fait la connaissance d’une bonne
    trentaine d’éditeurs indépendants franciliens, dont L'échappée belle,
    Aux  forges de Vulcain, Les xérographes, Le temps des cerises, on
    rencontre des auteurs, on participe à des lectures, ateliers, et concerts.
 
 Nouveau Blog
    : Le temps bleu, animé par Roselyne Fritel
 *** MARS 2015
 
 -
    Mohamed El Jerroudi, Mémoire des temps futurs.
    Éditions du Cygne (Poésie francophone) 50p 10€.
 
    « À travers la
    poésie de ce nouveau recueil de Mohamed El Jerroudi, nous découvrons tous
    les signes d'un monde menacé de destruction. Celui des faux prophètes, des
    guerres réelles ou latentes, du mensonge, de l'absence d'amour et de
    fraternité, de l'extinction de toutes les valeurs véritables. (…).
 Ouvrir les yeux et
    les oreilles sur la mer et les vagues, marcher les pieds nus dans le sable
    qui crisse, écouter la musique du vent dans les montagnes, continuer la
    culture du jardin du père « qui n'a trahi personne » et de la mère qui «
    chantait comme un ruisseau sous un figuier », seules voies de rédemption et
    de survie. » (Jean Botquin)
   
    
    « Poèmes inspirés,
    tout d'énergie spirituelle. Vous partez des choses plus énoncées pour nous
    conduire à la quête de l'Être. J'aime cette poésie cosmique et liée
    paradoxalement à la ténuité de l'instant. C'est une poésie en effet de
    passante, de nomade et qui se veut fille éphémère de la variété des heures
    et des saisons. 
    Il y faut beaucoup
    d'intuition et de sensibilité, et vous débordez de l'un et de l'autre. »
    (Salah Stétié)Présence à
    Francopolis, avec un groupage au Salon de lecture de février (dont un des
    poèmes de ce recueil).
   
    -
    Eric Dubois, Le cahier. Le chant sémantique.
    Choix de textes 2004-2009.  Éditions L'Harmattan, Collection Accent
    Tonique (Poésie). 176 p., 17 €. Composé de poèmes
    extraits de plusieurs recueils précédemment publiés aux Éditions Encres
    vives,
 (dans la collection
    Encres blanches), ce recueil anthologique, dont le choix de textes revient
    à Nicole Barrière, constitue un ensemble « biobibliographique » permettant
    d’entrer dans la sensibilité du poète Éric Dubois pour découvrir et
    redécouvrir son cheminement en poésie.
 Eric Dubois est né en
    1966 à Paris. Auteur de plusieurs ouvrages de poésie aux éditions Le
    Manuscrit, Encres Vives, Hélices, l'Harmattan, Publie.net. Responsable de
    la revue de poésie en ligne Le Capital des Mots. Blogue : Les
    Tribulations d'Eric Dubois.
   L’auteur réfléchit et s’interroge,
    immobile puis marcheur, sur le sens des choses, sur le début et la fin du
    sentier, celui qu’il arpente et celui de la vie, la marche à suivre... (…)
    Et, de chemin en randonnée, on suit l’auteur et ses réflexions au milieu
    des saxifrages à fleurs multiples, gypaètes, mélèzes... Vous ne les
    connaissez pas ? Suivez le guide ! » (Robert Froger) 
    - Denis Heudré, Bleu naufrage - élégie de Lampedusa. Éditions La sirène étoilée,
    http://lasirene.etoilee.monsite-orange.fr/« Des corps sont
    étalés par terre dans des linceuls en plastique. Des corps devenus choses,
    déposés sous nos regards blasés. Des femmes, des enfants, des hommes dont
    on ne saura jamais rien de leur vie, pas même leur nom.
 
    J'ai voulu écrire et
    continuer de ressentir. Sans m'imposer de forme, ni de contraintes. Juste
    la poésie pour direction. Et puis en rien coupable, néanmoins témoin, tout
    ce bleu pour accompagner le malheur...Ce recueil est ma
    modeste contribution à l'insurrection poétique que propose le Printemps des
    Poètes. » (Denis Heudré)
 - Jean Dif, Sous les couteaux des horloges
    (2). Encres vives (n° 439). 6,10 €.
 
    Suite du texte paru sous le même titre
    chez le même éditeur en 2010 (Encres vives n° 388), ce poème-fleuve est une
    introspection, une interrogation sur l’être et sur la parole, une quête de
    soi : « Fils de la nuit / orpailleur des ténèbres / (…) je tamise le sable du
    ciel / j’accumule mon butin / pour l’ensevelir dans des signes / qui ne
    sont que les étoiles / d’un fil de fer barbelé ».
 Jean Dif a commencé à écrire très jeune sous le double
    patronage du surréalisme et de l’École de Rochefort. Il a publié une
    dizaine de recueils et collaboré à de nombreuses revues de poésie. Il est
    également traducteur de poètes hispanophones (Santiago Montobbio, Luis
    Benitez).
 
 - Dominique Sampiero, Avant la chair. Le
    Passeur éditeur, 2015 (collection Hautes Rives). 111 p.
 Ce premier ouvrage de la collection « Hautes Rives » interroge le silence
    qui a baigné l’enfance du poète, comme si le silence était une façon
    d’aimer, d’être là, être avec, rien d’autre. De façon originale, un carnet
    de lecteurs de tous âges et de tous milieux accompagne la prose de l’auteur
    et offre une multitude de regards sur son œuvre.
 Écrivain et scénariste (notamment de Bertrand Tavernier), Dominique
    Sampiero est l’auteur de nombreux recueils de poèmes, livres jeunesse
    et romans parmi lesquels Le Ciel et la Terre (2001), Les
    Encombrants (2009), Bégaiements de l’impossible et de l’impensable (2012),
    La vie est chaude (2013).
 
 - L’insurrection poétique. Manifeste pour
    vivre ici. Anthologie établie par Christian Poslaniec et Bruno Doucey.
    Préface de Bruno Doucey. Éditions Bruno Doucey, février 2015. 256
    p., 19 €.
 Cette anthologie publiée pour la 17ème édition du Printemps des Poètes
    se veut un « manifeste pour vivre ici », selon l’expression
    d’Éluard, manifeste en faveur d’une vie intense et insoumise, celle que
    réclament les poètes, ces voleurs de feu. Une insurrection permanente de la
    conscience contre tout ce qui simplifie, limite et décourage. Le cri de
    cent-dix poètes, français ou étrangers, adeptes d’une parole levée, qui n’a
    jamais vraiment renoncé à changer la vie.
 Événements MARS 2015 
    - En ce mois de mars,
    agité par un Printemps des poètes… insurrectionnel, et mondialement
    déployé au Salon du livre, tous les jours il se passe quelque chose
    ! Ici, juste quelques annonces en Île-de-France extraites au hasard.
 - Vendredi 6 mars à 19h30, à l’Espace Andrée Chedid (60 rue du
    Général Leclerc 92130 Issy-les-Moulineaux, à 2 minutes à pied du métro
    Mairie d’Issy, ligne 12) : Soirée de lancement placée sous le signe
    de l’insurrection poétique, en présence des poètes de Poésie sur Seine et
    de Marcelle Rosnay (en hommage à Jean-Pierre Rosnay). Organisateur :
    Etienne Orsini.
   
    - Vendredi 13 mars
    à 20h, à la Maison du Citoyen et de la Vie Associative de
    Fontenay-sous-Bois (4, Esplanade Louis Bayeurte, RER A plus bus): Café
    Poésie - 17e printemps des poètes - l'insurrection poétique : scène
    ouverte aux orateurs, diseurs, bateleurs, vendeurs de vers au mieux disant,
    danseurs et tressauteurs, musiciens ou tireurs de bruit, bidouilleurs de
    sons et de sens, ceux pour qui la langue est un outil pointu qu'il ne faut
    pas laisser ouvert dans sa poche ... Organisateur : Patrice Cazelles.
 - Événement de lancement : Mercredi 18 mars 2015 à 19h30 à
    la Mairie du 2e (8, rue de la Banque - 75002 Paris, M° Bourse ligne 3).
    L’insurrection poétique. Manifeste pour vivre ici. Anthologie
    établie par Christian Poslaniec et Bruno Doucey.
   
    - Du 20 mars au
    soir au 22 mars, au « 91, Lieu improbable » (atelier d’artistes situé
    au 91, rue Sadi Carnot, à Bagnolet, 5 minutes à pied du terminus du métro
    Gallieni, ligne 3) : Ateliers d’écriture ; Rencontres et lectures
    poétiques en musique, avec entre autres : Anne-Cécile Causse,
    Andreea-Maria Lemnaru, Dana Shishmanian, des poètes de la revue Averse,
    Marie Volta, Régis Meimoun. Organisatrice : Alena Meas.   
    - Le 21 mars, à 17
    heures, à la Médiathèque de Saint-Maur-des Fossés : (23 Avenue Henri
    Martin, RER A) : Lecture-récital qui accueillera aussi des
    animations musicales par des élèves du Conservatoire. Invité d’honneur :
    Pierre Kobel qui présentera l’anthologie poétique  Vive la liberté !
    dont il est le co-auteur avec Bruno Doucey. Organisateur : Jacques
    Gautrand.   -------------------------------- **
 
 FÉVRIER 2015 - Laura Vasquez, La main de la main (Prix de la Vocation 2014),
 
    chez Cheyne Éditeur,
    64 p., 16 € Extrait : Le soir
    garde notre salive dans sa petite bouche, il s'enfonce dans nos yeux, tu ne
    parles pas beaucoup, il s'enfonce dans nos joues, le soir, tes yeux sont
    fragiles, ils sont noirs, ils s'enfoncent dans la cuisine.
  Je pose un pot de miel, c'est la nuit sur
    la table. 
    Laura Vasquez édite,
    en collaboration avec Arno Calleja, la petite revue-feuille Muscle, signalé
    dans cette même rubrique de Francopolis.  **
 
    - Renée, en
    elle,  Cécile Guivarch, aux éditions Henry" Renée, mon
    aïeule. Devrais-je lui dire que je l'aime ou est-ce autre chose? Elle
    m'attire, m'empêche de dormir. Je la sens, chaque nuit, passer son souffle
    sur mon corps. Elle reste, plus ou moins longtemps, à me regarder, à
    m'effleurer, puis elle finit par pleurer. Ses plaintes, tantôt murmures,
    tantôt minces sanglots, s'immiscent entre mes lèvres. Souvent, j'entends
    l'orage, la tempête se déchaîner avec éclairs, tonnerre, pluie battante,
    torrents,boue et sang." D'autres extraits sont parus sur remue.net
    dans une première version.
 Vous pouvez le
    commander auprès de l'éditeur ou encore, je serai présente au Salon du
    Livre, sur le banc de l'éditeur de 11h30 à 14h30 le vendredi 20 mars,
    Paris pour le dédicacer.
 ***
 - Rhapsodie pour un Ange, Paul Durand Degranges
 disponible à la librairie Gallimard
    de Montréal
 Le livre sera disponible en France
    bientôt.
 
 ***
 Evènements Au Territoire du poèmeAprès la séance du 23 janvier,
 dédié au recueil Fenêtre avec esseulement d’Ara Alexandre
    Shishmanian
 (ci-dessous extraits du film réalisé à cette occasion) :
 
    
     
      |    Jaycee, Nadine Lefebure et Christian Deudon, lisant des poèmes d’Ara
 
      
      
      La séance du 20
      février après-midi sera dédiée à la maison L’échappée
      belle édition et à ses auteurs, dont : Florence Issac,
      Emmanuel Berland, Anne-Cécile Causse, Christine Schaller, Dana
      Shishmanian, Patrick Le Divenah-Brasserie François Coppée,1, bd.
      du Montparnasse, Paris 15ème - |  VOIR aussi la sortie de l'album de Marie Volta - Chansons
 |