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il se présente à vous
où l’absence est une
attente en partance
les yeux humides scrutent la terre
à la recherche d’un papillon
incrusté dans le granit le sourire apeuré
percé de mille trous
l’aigle survole
péniblement la vallée
aux blessures
angéliques Instant lucide désinvolture des rivières
quand elles s’incrustent
dans nos yeux Ce
« je » si familier autrefois
est
devenu étranger pour moi
épineuse avalanche de
questions pourquoi un clin d’air à accompagner avec des mots sur un chameau comme des pigeons sur une ligne
électrique
un
matin brumeux qui projettent le retour vers une terre
lointaine Que dit
la mer du vent d’Ouessant ? Que dit
le temps à tout ce qui veut grandir ?
Que dit
l’homme au temps quand il aime ? Texte commenté par le Comité Francopolis et commentaires sur l'ensemble de ses textes mars 2011
---------- > La bougie qui éclaire |
Créé le 1 mars 2002
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