Vos textes publiés ici après soumission au comité de lecture de francopolis.



 

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Depuis que Francopolis est entré dans sa troisième année, notre librairie compte environ 120 auteurs. Nous vous invitons à venir la visiter.



 

 LA RENTRÉE
18ième Edition de Francopolis

   
"La silhouette rouge"
par
Laurence de Sainte Maréville

Présentation des textes 

de la SÉLECTION DE SEPTEMBRE

par

GertrudeMillaire

Francopolis : sélection de septembre 2004


SEPTEMBRE

La moisson est mûre et les vergers regorgent de fruits.
C’est aussi le temps de la rentrée et Francopolis reprend lentement ses activités. Notre cueillette ce mois-ci a  donc pour vous huit fruits bien appétissants qui viennent d’aussi loin que la Pologne et le Canada sans oublier la France avec ses raisins prêts pour les vendanges.

Des vignes de France, nous avons,

Gérald,  auteur connu qui revient  avec une autre Nouvelle, très appréciée du comité de lecture.

ELISA

(une certaine magie, un texte qui joue avec le temps…  je tourne dans son manège. Stéphane Méliade. )

**

Guillaume Pétrou, auteur aussi connu de francopolis, nous apporte cette fois-ci, l’aménagement paysager, une sorte de disposition des mots et donne  en plus au lecteur, pleine liberté d'en faire son propre arrangement.

FLUVIAL

(il y a quelque chose de frais… cela me parle de dire Catrine Godin.)
(je le sens bien, ce poème. Il parle, il me parle. Ça ne s'explique pas. Stéphane Méliade)

 **

Sébastien Tillous, un nouveau verger qui nous donne trois pommes croquantes qui semblent séduire le comité de lecture. Un vrai coup de cœur du comité!

ICI VIT 

(On entend bien le vent... sa musique et en plus on sent bien l'éphémère.
Je me laisse prendre par le rythme et la richesse de ces mots...
Il connaît bien ses vents cet auteur... et se laisse transporter. Gertrude Millaire)


(Pour le rythme et l’originalité, la tenue de l’écriture.
J’aime vraiment. Juliette 
)

(séduite – conquise - je ne sais pas trop quoi en dire pourtant
cela n'a pas d'âge, pas d'époque. On entend une musique, puis plusieurs
vielle ou lyre, une guitare fuzz déchirée…Catrine Godin)


SON CHÂLE D’ÉTÉ

(…j’adore la fin
« L’été étend son châle
   Et ton chignon s’en étale
   Assouvi »

... un genre de haïku fulgurant. Juliette Schweisguth)


 LA VOÛTE CÉLESTE

(ce texte aussi est plutôt intemporel... c'est un peu rare je trouve... c't'auteur, ici, il me fait penser  à Thomas Fersen... Catrine Godin)
(il y a trop de mots parfois, trop de jeux de mots volontaires, pourtant je suis sensible au rythme et aux images, et au cri poussé, cette révolte, cette cassure… Quelque chose en creux me retient ici… Juliette Schweisguth)

 **


Venu spécialement du Canada,

Alexandre Amprimoz,
se tient là, juste à côté de chez-moi, sur la rive ontarienne, tout près des Chutes du Niagara où habitent quelques francophones qui font de leur mieux pour ne pas se faire assimiler. Il nous présente  une suite de 5 textes… son vin de glace quoi!

SANS SOURIRE  qu'il dédie à " Tamtam, Pouff, Moimi Richard et Tête Blanche"
 
Sans sourire 1Sans sourire 2 - Sans sourire 3 - Sans sourire 4 - Sans sourire 5

 (j'aime l'étrangeté, je ne sais pas vraiment pourquoi je pense étrangeté... dans le découpage, le noir sujet, la continuité ... étrange boucle. Catrine Godin)
(A la fois étrange et familier, servi par une écriture de l’extérieur. Yves heurté)


**
 

De Pologne, nous accueillons Bozena,
une première visite chez francopolis et elle pous apporte sa  récolte
d’INSTANTANÉS DE LA MÉMOIRE, une suite de quatre textes.

texte1  -  texte 2 texte 3  -  texte 4

(L’idée est forte, le texte tient le coup et ne s’essouffle pas. Et on ne tombe pas dans une sensiblerie de mise. Je marche à fond. Yves heurté)
(une suite qui se tient et qui ouvre sur la vie... un beau récit quoi!  plein d'émotions... ça vient me chercher cette écriture. Gertrude Millaire)
(Merci pour cette mémoire, ça traduit aussi la conditon du poème, c’est un combat humain, et poétique. Seuls les mots peuvent ramener la mémoire, les mots et leurs blancs, leur indicible que trace ce poème, un peu comme un corps, un cœur humain que l’on voudrait caresser, caresser pour calmer le cri, la douleur, mais le poème lui-même devient cette caresse, calme peut-être ce corps qui l’a créé…Juliette Schweisguth)

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Petit retour dans les vignes pour fêter avec un auteur français, connu de francopolis,
Marcel Maillet qui nous ouvre deux bonnes bouteilles :

 TEXTE  SANS TITRE   et  CELLE AU VENTRE DE NEIGE

(les symboles sont beaux et forts. Catrine Godin)
(un style différent... ça sent la terre... à l'état sauvage... pur… une belle écriture pleine d'images...
la pensée indienne que j'aime. Gertrude Millaire)


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et Gilles Bizien, se joint à nous, une première visite dans la vigne de  francopolis,
cet auteur français nous offre une belle variété de fruits,  extraits de son recueil," SOLEILS".
 

TEXTE 1   -   TEXTE 2    -   TEXTE 3    -   TEXTE 4    -    TEXTE 5  

(il touche...il a des symboles
il parle... une langue abstraite... il est beau.. Catrine Godin)
(Alliage curieux et pas fréquent de préciosité et d’une impression de justesse., le tout pour un bien beau résultat. Yves Heurté)


 **


Et la tournée se termine au Québec, dans un verger où
Julien Dupuis  semble bien s’amuser avec ses mots croquants qui semblent divertir le comité de lecture.

CAUSERIES SUR BRASSENS

(C’est du Rap ! Avec une jolie dégaine, un zest de provoc, du j’me fous de ta gueule, si t’es pas content fous le camp.Yves Heurté)
(j'aime bien les métaphores, le rythme rap et toutes les allusisons, puis j'aime brassens, et même si ce n'est pas la poésie de Brassens, il y a un ton et une révolte qui se ressemblent. Juliette
Schweisguth)

RADIO-CANADIEN TOI-MÊME !

(jubilatoire, celui-là, même s'il faut avoir les clés pour saisir les allusions. Stéphane Méliade)

L'ANTIMOINE

(un mordant assez commuicatif. Stephane Méliade)

NOUVELLE FABLE DU HÉRON

(j'adore cette "fable" et la fin "héron héron petit, pas tapon" ça me fait revenir aux contines d'enfance, aux mots que l'on entend enfant en se demandant ce qu'ils signifient. Juliette Schweisguth)

 
**
 

Maintenant,  vous pouvez allonger la fête et venir vous enivrer  au Salon de lecture

dans un décor artistique et sur des mots poétiques de  Laurence de Sainte Maréville.

et pour ceux qui étaient en vacances en juillet, ça vaut le détour de passer par  

la  Roumanie et le pays des Incas
 

La rentrée 2004  présentée par Gertrude Millaire


 


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Créé le 1 mars 2002

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