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Notre librairie compte plus de 400 auteurs et près de 2000 textes.
Nous vous invitons à venir la visiter.

Vous y trouverez des poètes, des nouvellistes et romanciers, des auteurs de pièces de théâtre, hommes et femmes,
connus et inconnus, venus des cinq continents.




L’hiver à Paris (le 15 janvier à la Défense…)


Présentation 

de la SÉLECTION

des auteurs

FÉVRIER

2014

préparée

par

Dana Shishmanian



Les 6 auteurs de cette sélection viennent d’horizons très différents. De formation littéraire (Anne-Cécile Causse, Dominique Zinenberg, Fabienne Alliot) ou scientifique (Codohue), professant différents métiers dont même celui d’éditeur, le plus noble de tous, pour nous, poètes… (Florence Issac), aimant qui le poème d’expression, qui la notation de voyage (Jacques Gautrand), les poètes déploient leurs paroles telles des cris, des chuchotements, ou de traits furtifs de pinceau entre deux clins d’œil…
C’est le défi que nous nous proposons : de découvrir la poésie là où elle niche de droit ou de fait, avec ou sans préparation, de manière intentionnelle ou spontanée, de gré ou de force… car parfois, elle nous empoigne au détour d’événements de la vie, et nous retourne vers nous-mêmes, nous remodèle, nous transforme. Nous ne sommes plus les mêmes après son passage, et ce, qu’elle reste ou non ; souvent, elle vient et elle part, pour revenir qui sait quand… Mais soyons-en sûrs : elle ne lâche rien ! Tout ce qu’elle a semé en nous, tout ce qu’en en a récolté, tout ce qu’elle véhicule de nous vers les autres, des autres vers nous, s’insère dans un tissu signifiant qui donne sens à la vie.

Dana

              

****

Auteurs retenus pour notre première bordée  2014

Anne-Cécile Causse, née à Limoges en 1985. Dans le cadre de ses études de littérature allemande, elle s'interroge, au regard de l’expérience de la seconde guerre mondiale, sur les rapports entre langage et silence, sur une possible expression de l'intériorité dans les poèmes d’Ingeborg Bachmann. Elle est publiée dans les revues Le Capital des mots, Neiges, Recours au poème, Arpa, sur le blog Monde en poésie, animé par Brigitte Maillard, ainsi que dans l’anthologie de poésie contemporaine en ligne Poésie maintenant, dirigée par Pierre Maubé.

- Son premier recueil, L’Aube, après toi, paraît en mai 2012 chez L’Echappée Belle éditions.


Jacques Gautrand, né dans le Roussillon, sur les rives de la Méditerranée. Après avoir vécu et travaillé en Afrique et en Océanie, il s’est installé en région parisienne.  Il est journaliste indépendant, consultant et conférencier. Il a publié, jeune, un premier recueil de poèmes sur des photographies de Dominique Antoni « Du Côté de Barbès » (éditions D&L- 1973 -épuisé) et dans des revues.

Dominique Zinenberg, née à Paris le 8 novembre 1953. J’y ai fait mes études de Lettres, y ai vécu jusqu’en 1984. Je suis enseignante en collège bien que je sois agrégée. Je vis en Normandie, à Vernon. Publiée dans trois revues de poésie : Friches n° 107 (et dans cette même revue dans des numéros ultérieurs quelques articles sur des recueils de poèmes), L’Arbre à Paroles n° 153 et Arpa n° 105.

Florence Issac, militante, elle fonde en 2002 l’association l’Echappée belle regroupant des amis artistes de tous bords. En mars 2006, elle fait partie des membres des poètes du monde et adhère au manifeste pour la paix... En 2010 elle fonde la maison d’édition l’échappée belle édition qui comprend actuellement cinq collections : poésie, architecture, photographie, nouvelles, danse. Ses livres traitent de solitude et de quête de tendresse pour un monde plus juste.

Bich Tran, alias Codohue, Je suis une fille de Hue, ma ville natale. Âpres l'obtention de mon bac a Hue, d'une maitrise en Sciences Économiques a Saigon et d'un diplôme d'ingénieur centralien à Lille, je suis devenue Consultante Manager dans le domaine d'informatique de gestion. J'ai commencé à faire des poèmes depuis un an, afin d'exprimer ma sensibilité, ma passion pour la beauté de la vie et la subtilité de l'amour.

Fabienne Alliot, enseignante, vit et travaille en région parisienne. Elle a publié des poèmes dans des revues (Comme en poésie, Le chaînon Poétique - Champigny-sur Marne), dans l'anthologie Poésie sur Marne par Hélices Poésie, dans Les 30 rencontres avec « La main », et Les 30 rencontres avec « Le livre », par les Adex (Ateliers D'Expressions, Poésie & Peinture en Valois). Participation à des récitals poétiques avec Hélices Poésie, Le dits de Vergne, Le Chaînon Poétique... Elle peint et dessine et expose dans diverses expositions collectives.


Bonne lecture et Belle découverte !


Textes commentés par le Comité de lecture.  -
(  Michel Ostertag - Éliette Vialle et Gertrude Millaire )

*

Commentaires sur l'ensemble de la sélection

Michel : Cette fournée est de grande qualité, toutefois, à mon goût avec trop de textes qui se veulent descriptifs au détriment de l’émotion toute simple que tout poète se doit de présenter au lecteur afin qu’il soit touché par ce qu’il écrit. La tendance des textes montre une esquisse de ce que les poètes veulent exprimer, une sorte d’adolescence d’esprit, qui est touchante, certes, mais qui ne fait pas d’eux des poètes accomplis ou sur le point de le devenir.


 Auteur 1. Anne-Cécile Causse
 
  Cing
textes sont retenus
Première publication chez Francopolis

Texte 1. (palpable) - T2. (court poème)
T3.
(encore toi) - T4. (ce visage) - T5. (l'ombre)


*
Commentaires sur l'ensemble de ses textes :

 Éliette
: Oui à tous les poèmes : ensemble très léger, musical avec les allitérations en consonnes liquides » L », les reprises en crescendo de chaque vers du premier poème, images à peine suggérées, beaucoup de délicatesse et le rythme soutien avec douceur les images. Belle harmonie entre thème et texte.

Gerty : Mélancolie… oh! Nostalgie quand tu nous tiens !
Mais  on y ressent une tendre tristesse, sans colère ! Un peu déchirant à entendre!



Commentaires : T 1.  sans titre - (palpable)

Michel : Oui,  sans hésitation.Très beau poème, rythmé merveilleusement, en fait toute la poésie que j’aime.

Gerty : Oui… cette répétition du « palpable » pourrait  jouer contre lui mais il enchaîne si bien son émotion qu’elle devient aussi palpable pour nous.


**

Commentaires : T 2. sans titre - (court poème)

Michel : Oui, malgré un petit côté d’inachevé.

Gerty : Petit oui… vraiment trop court… pour orienter le lecteur.


***
Commentaires : T 3. sans titre - (encore toi)

Michel : Oui.  Douce interrogation !

Gerty :  Oui…
mon préféré je crois… un exploit ! Dire autant en si peu de mots, mots précis, choisis… chaque mot taillé comme une pièce de casse-tête et qui s’emboîte à merveille. Un délice.

« Aux bras lents et vides
de la mémoire
répondaient de sévères silences. »

« Je me suis laissé dire que la lumière
se paraît de teintes indolores
avant de tomber
au plus bas de l’été. »


****

Commentaires : T 4. sans titre -  (ce visage)

Michel : Oui. Petit chant d’amour.

Gerty : Oui, même délicatesse d’écriture… dès les premiers mots, je reste sous le charme de cette triste tendresse.

« Souviens-toi,
la traversée grise nous avait lentement
retiré notre peau,
l’air, tout autour, s’endormait. »


*****
Commentaires : T 5. sans titre - ( l'ombre)

Michel : Oui.  Esprit Haïku.

Gerty : Oui… mais je reste un peu sur ma faim, il me manque une finale et pourtant je sais, tout est dit si tendrement mais on ne veut pas l’entendre.

« L’espace que libère l’ombre
quand elle écarte l’été
au berceau de ta main. »


* *

  
Auteur 2. Jacques Gautrand

  cinq textes retenus
. 
Première publication chez Francopolis

T1. Sur la grève -  T2. Ghardaïa - T3. Chot
T4. Cot-liure (Collioure) - T5. Barcelone


Commentaires sur l'ensemble de ses textes.

Éliette : Oui texte 2, 3 , 4 , 5 .
Peintre avec des mots qui ressuscitent l’atmosphère de ces lieux, je les connais tous, et je les retrouve tels que je les ai ressentis. Si mon avis semble orienté, c’est que l’auteur a saisi en poésie  l’essence même de ces lieux : bravo pour Ghardaïa !

Gerty : Une toute autre poésie, ici l’auteur baigne dans le concret… tout passe dans l’observation, j’entends parfois plus un guide touristique qu’une poésie… et pourtant on y rencontre le poète dans un face-à-face.

*

Commentaires :
T 1. Sur la grève


Michel : Oui.  Bien que je n’ai pas vu la patte du poète.

Éliette : Oui.
Quel rêve Gammarth ! J’y suis allée souvent, mais le texte me plaît, je sens craquer sous mes pieds les coquillages de la mer.

Gerty : Petit oui… un texte d’observation… il lui manque tout de même un peu de couleur poétique,

**

Commentaires :
T 2.
Ghardaïa

Michel : NON. Je n’ai pas lu de la poésie. Seulement une carte postale pour m’inviter à voyager !

Gerty : Oui… pour la fin car le reste est vraiment trop descriptif de Revue touristique.


***

Commentaires : T 3. Chot

Michel : Oui. Par la force des mots, cet auteur exprime des moments vécus et intériorisés puis transmis au plan de la poésie.

Gerty : Oui,  voilà, le tableau prend forme, on y arrive lentement à cette émotion, cette solitude on la ressent… on se sent ailleurs, on y respire cet air d’ailleurs et son silence nous habite. Et j’aime bien cette forte définition de l’échange en toute complicité :

« les gens ici
sont économes
de paroles
comme on préserve l’eau
on apprend à converser
d’un regard
d’un froncement de sourcil. »



****
Commentaires : T 4. Cot-liure (Collioure)

Michel : Oui. Grande poésie. J’ai envie de déclarer ce poème comme le meilleur de toute la fournée. Tout y est : poésie pure, description et émotion dans l’expression. Bravo !

Gerty : Oui… mon préféré je crois, j’aime le coloré vif de son vocabulaire, le dépaysement… la poésie du vécu… riche en expression, une simplicité pas si simple qu’elle à l’air et j’aime beaucoup ces petites trouvailles :

« La patine des quais de lauzes
aimante toujours les pas
des marins désœuvrés
ils ont remisé leur trogne de forbans
contre ces visages tristes de retraités dociles
roulant méticuleusement leur linceul
dans du papier à cigarettes »

et
« l’air du large ronge patiemment une ancre échouée
et dissout les aiguilles de l’horloge au clocher de pierres »

«  brise de mer
m’a capturé dans ses filets…

et la fin… même tout en douceur, je ne veux pas l’entendre…
mais je comprends… !

*****

Commentaires : T 5. Barcelone

Michel : OUI. Cela sent le vécu ! Le problème est de mixer description et poésie. Un savant dosage est nécessaire sinon on risque d’être en déséquilibre.

Gerty : Oui… même si c’est plus descriptif que poétique, j’aime son rythme, sa fougue, sa course… sa simplicité bien travaillé, bien enroulée… on entend l’homme mais on suit le poète !

« Où l’ivresse nous saisit
Comme des papillons épinglés
Sur une aurore à la Dali. »




* * *

   Auteur 3. Dominique Zinenberg

cinq textes sont retenus
première publication chez Francopolis
Fukushima.
Cinq poèmes extraits du recueil inédit
« Les Feuillets d’obsidienne »


Commentaires sur l'ensemble de ces textes.


Éliette : Oui aux Texte 1, 2, 3, 4 et 5
Je pense que c’est un long texte en cinq parties, les mots disent bien l’horreur que suggère le titre « Fukushima »
On croirait du Rimbaud (et pourquoi pas ?) :


«
Remous tohu-bohu cymbales tout tangue
Et tient dans les lézardes mêmes
»

Ou encore :
« elle a été la vague
L’alpha et l’oméga
D’un peuple
»

Mots très forts, violents, tout suggère un anéantissement
« les serres de l’air
Sont stylets
»

Et j’aime la chute :
« l’ordalie du poème »

Bien sûr il y a des inégalités, mais l’ensemble est fort.

Gerty : Oh là là…. Des mots, des mots, des mots… sans trame sonore… souvent loin de l’émotion.  Le rythme du scientifique… à trop vouloir chercher le mot juste en poésie on y perd son latin… Faut dire que le sujet complique la création de poème…

  
*

Commentaires :
T 1. Fukushina

Michel : Oui,
pour la tentative. Sujet terrible à traiter. Comment transmettre l’émotion ressentie.


Gerty : Oui. par respect, plus pour le sujet que le style… j’entends le drame mais je ne ressens pas son émotion… sa douleur, sa rage… comme si tout était vu de l’extérieur.


**

Commentaires :
T 2. suite

Michel :
Descriptif. Je ne vois pas la poésie. Je préfère ne pas voter et me rallier à la majorité des votes.

Gerty :  Oui…
plus direct… descriptif de fait… la dramatique est là mais matière à poésie ? J’en cherche l’odeur… l’âme du poème… le sujet est touchant et dramatique mais encore faut-il que l’auteur soit prêt à enfourner sa poésie.


***

Commentaires :
T3. suite

Michel : Oui. 
très beau poème :
« des pans de vie s’effacent
les pierres aussi se fanent et l’inscription poncée n’est qu’un miroir sans tain.
»

Gerty : Oui… il s’approche de ses émotions pour embrasser le style plus  poétique, moins descriptif… on sent enfin sa sensibilité… sa voix plus chancelante.


****

Commentaires : T4. suite

Michel : Oui.
Subtile, recherche d’images, un peu trop intellectuel tout de même !

Gerty : Oui… 
regard qui retourne une fois de plus se cacher dans les mots… camouflant l’émotion de la scène qu’il dénonce… trop cérébral.

*****

Commentaires : T5. suite

Michel :
Grande qualité du choix des mots qui désorientent le lecteur. Les mots s’enchainent :
«  Aimer à l’agonie des hêtres les passants et les bêtes
Fouir et sans taire terrer terrer...
»
mais mon émotion de lecteur s’épuise. Quand même Oui.

Gerty : Petit Oui… Je reste sans voix…. Je n’arrive pas à vraiment entrer dans ce genre de poésie… vocabulaire  trop recherché,  ça manque de fluidité… et d’émotions…. Un style différend quoi !



* * * *

Auteur 4. Florence Issac

  Ensemble de haïkus
Première publication chez Francopolis



Commentaires sur l'ensemble de ses textes.

Éliette :  Série de haïkus, difficile de juger quand on ne connaît pas vraiment les règles ; l’ensemble est confus je n’arrive pas à discerner un fil directeur, certains me semblent boiteux, et j’en distingue quelques uns plus musicaux et suggestifs :
le 1, le 9 et le 13 méritent  OUI.

Michel : J’ai du mal à classer les haïkus suivant leur qualité que je ne discerne pas. J’accepte de noter OUI pour ces treize haïkus avec des nuances toutefois. Mes préférés sont : le 3/ 4/ 8/ 10/ 11 mais sans les placer loin au-dessus des autres.

Gerty :  Une série de haïkus. Jamais facile à voter…  et je n’y ai pas trouvé cet esprit haïku… mais des poèmes courts qui ne m’ont pas tous séduit.
Au fait je ne retiendrais que ceux-ci qui à ma connaissance possède le rythme haïkus : le 5 : un haïku bien rendu, le 8, pour sa fluidité, le 10 pour sa construction humoristique et le 13, humour bien rendu en si peu de mot... mais je publierais l'ensemble pour que le lecteur en fasse sa propre opinion.
*****

  Auteur 5. Codohue

quatre textes sont retenus,

Première publication chez Francopolis


T1. ( réveillon) - T2. (araignée d'or)
T3.
( hier) - T4. ( toi et moi )

Commentaires sur l'ensemble de ces textes.

Gerty : L’ensemble des textes de cet auteur, semblent plus venir du style conte… roman… que poésie… une certaine naïveté d’écriture qui me fascine par cette fraîcheur de jeunesse… cet élan de dire tout simplement.
 
*

Commentaires : T1. ( réveillon)

Michel :
Non. La part d’une petite nostalgie ne peut remplacer l’absence de poésie.

Éliette :2  OUI /non
Un tableau d’hiver je ne saisis pas, on passe du descriptif au sentimental puis à la nostalgie.


Gerty : Petit oui… pour la légèreté de son style qui m’amuse, mais je me pose la question… ou classer cet écrit : réflexion… conte… narration, journal intime ?

**

Commentaires : T2. (araignée d'or)

Michel :
Petit oui, pour la naïveté qui se dégage de ce texte.

Éliette : Oui. Araignée qui devient symbole et entraine à la réflexion.

Gerty : Léger oui…
texte tout, sauf poétique mais d’une si belle naïveté qui me fait sourire que je ne peux le refuser.

***

Commentaires : T3. (hier)

Michel : Petit oui. Journal intime avec une teinte poétique. Un côté adolescent qui me touche.


Éliette : Oui.
Sentiment partagé quelle que soit la civilisation.

Gerty : Petit oui… je suis toujours en déséquilibre avec cet auteur… il m’agace et me séduit à la fois… journal intime naïf,  style adolescent… 

****

Commentaires : T4.  ( toi et moi)

Michel : Un Oui tout petit ! Tellement galvaudé, ce sujet demande tellement d’originalité, ici, trop de « déjà lu ».

Éliette : Oui. Chant d’amour, bien écrit, des clichés, mais ensemble musical.

Gerty : Oui… mais c’est un peu comme si chaque strophe était fermée… une simple observation de chaque instant sans lien réel, sans progression.


******
Auteur 6
Fabienne Alliot
 
tous les
textes
sont retenus,
Première publication chez Francopolis

T1. La pluie   T2. L'arbre blanc dort
T3. L’arbre détache la feuille 
-  T4. Longer le mur de béton  - T5. L'ouverture de la cage




*
Commentaires : T1. La pluie

Michel : OUI. Un amoureux de la nature qui la voit dans sa légèreté. Un contemplatif poète. C’est touchant.

Éliette :  bof ! Non. Gentil, joli par moments , beaucoup de clichés

Gerty : Oui… 
quelques images poétiques sont là je dirais le style manque vraiment de finition mais au fait, non… il a prit une tangente différente… je n’accroche pas vraiment mais n’arrive pas non plus à l’ignorer… une certaine fascination dans cette légèreté.


**
Commentaires : T2. L'arbre blanc dort


Michel : Oui.
Léger et simple tout à la fois.

Éliette :  Petit oui.
Texte épuré on dirait un haïku , une contrefaçon.

Gerty : Oui…
pour le rythme et la légèreté du texte, d’une simplicité joyeuse.


***
Commentaires : T3. L’arbre détache la feuille


Michel : OUI.
Pour moi, cette poésie relève du haïku

Éliette : Petit oui.
Mêmes remarques que le précédent.

Gerty : Oui…
le poème pourrait être retravaillé mais du coup il perdrait cette légèreté et ce regard rieur qui semble dire… voilà


****
Commentaires : T4.
Longer le mur de béton

Michel : Oui. 
Je retrouve ici, toute la poésie que j’aime. Cela me rajeunit. Bravo le poète !

Éliette : Oui. Plus travaillé, idée intéressante.

Gerty : Oui…
une belle légèreté… dans sa démarche nonchalance… il a le rythme.


*****
Commentaires : T5.
L'ouverture de la cage

Michel : Oui.
Grande pureté de style. Les images suggérées sont belles et poétiques à souhait.

Éliette : Oui.
On s’habitue aux images délicates et surprenantes. Les deux derniers textes paraissent meilleurs.

Gerty : Oui… ce dernier poème court dans la même légèreté que les précédents… mais mon préféré… peut-être à cause du rythme et la fin différente.

« Plonger ses doigts
Dans les pétales
De mots d’eau
Et prendre son envol »



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Nous vous invitons à présent au Salon de lecture

nous recevons Maggy De Coster
qui nous offre des poèmes inédits pour Francopolis


et visiter notre Revue Février 2014


***


Dana Shishmanian pour Francopolis, février 2014
et les membres de Francopolis.

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Créé le 1 mars 2002